Retable

« La Guerre » Triptyque d’Otto Dix. Triptyque ou Retable. C’est une Scène de guerre. Dimension du panneau centrale : 204 x 204cm. Dimension des panneaux latéraux : 60 x 204cm. Le peintre : Otto Dix (1891 – 1969) était un peintre allemand qui a voulu participer à la 1ère guerre mondial 14 – 18. Par la suite, il s’est consacré à son art pour dénoncer les horreurs de la guerre. Quand les nazis arriveront aux pouvoirs, Otto Dix sera considéré comme un « artiste dégénéré » et la plupart de ses œuvres

nationalistes s’affurlent en Akkelagne. C’est dans ce contexte particulier que le peintre realise cette oeuvre afin de rappeller les souffraces de la guerre la brutalité des combats et le traumatisme des conflits. Dix a composé son oeuvre sur un modele d’un retable sourmontant un table d’autel dans une église de la renaissance. Composé de 3 tableaux principaux et d’un predelle il est appelle Tryptique. Les panneaux sur les cotés mesure 204cm sur 102 cm et la piece centrale mesure 204 sur 204. La technique utilisé

En 1449, il quitte Fra Angelico et reste en Ombrie pour une Annonciation à Narni, signée OPU[S] BENOT[I] DE FLORENT[IA], au monastère de San Fortunato, près de Montefalco, pour une Vierge à l'Enfant avec saints et anges et d'autres travauxdont un retable de saint Thomas recevant la ceinture de la Vierge (musée du Latran), dans la chapelle de Saint-Jérôme la Vierge et les saints, la Crucifixion et d'autres sujets ; sa dernière peinture au monastère où il remplit de divers sujets sur la vie des saints

par le pape Jules II pour honorer Saint Sixte II, Saint patron familial, présente une iconographie simple, une Vierge à l’enfant entourée de Saints et des Chérubins. La Transfiguration, Raphaël, vers 1519-1520. Pinacothèque du Vatican, Rome. Le retable représente deux épisodes racontés l’un après l’autre dans l’Evangile selon Saint Matthieu : La Transfiguration en haut, avec le Christ en gloire entre les prophètes Moïse et Elie ; en bas au premier plan, la rencontre des Apôtres avec l’enfant possédé

Les autres personnages ont un visage calme aux traits réalistes. Van der Weyden exécute de grandes compositions dramatiques pour les membres de la puissante cour de Bourgogne. Il crée notamment l'admirable Jugement dernier (circa 1445-1449), retable unique en son genre, composé de 15 panneaux commandés par le chancelier Nicolas Rolin pour les Hospices de sa ville de Beaune (cet immense polyptyque de 2,25 m de haut et de 5,46 m de long s'y trouve toujours). À côté de ses oeuvres à caractère religieux

confiance de son maître et collabore à la création de tableaux (il aurait exécuté les anges du Baptême du Christ). On mentionne sa beauté et son goût pour les amours masculines. Artiste indépendant à partir de 1478, Léonard réalise quelques commandes (un retable pour la chapelle du Palazzo Vecchio et plusieurs tableaux). Mais désireux d'être libéré des ennuis matériels, il cherche rapidement un mécène. Apprenant que Ludovic le More veut ériger une statue équestre en l'honneur de son père François Sforza

imprimées occasionnelles. Les 1ère répondaient à un besoin croissants d'information des banquiers et des marchants italiens et allemands, tandis que les seconds permettaient aux imprimeurs détendre leurs marchés au-delà de celui du livre, insuffisamment retable. Ces feuilles volantes restaient occasionnelles même si parfois elles formaient des séries numérotées. Au cours du XVIe siècle, des publications de nouvelles annuelles, semestrielles ou sans périodicité fixe, ,commencèrent à voir le jours sous forme

facture encore hésitante comme « vierge à l’enfant « ( Philadelphie , museum of art ) , « crucifixion » (venise , musée Correr ) ou encore « lamentation sur le chrits mort « ( grenade , fondation Rodriguez Acosta) . On lui attribue aussi le « Retable de Monforte » (au musée de Berlin ) , « La dominationde la Vierge « ( musée de Bruges). Aucune œuvre signée de sa main . Le triptyque Portinari (seul tableau documenté ) constitue son œuvre la plus importante, sa plus grande commande ( 1475 -1479)

peintre. Son père le place chez un maître chargé de lui enseigner le latin, mais le jeune Nicolas n’est occupé qu’à dessiner. Sa rencontre, à l’âge de dix-sept ans, avec le peintre Quentin Varin, de passage aux Andelys pour exécuter une série de retables, détermine probablement sa vocation. Après une formation initiée en Normandie, en 1612 Poussinentre dans l’atelier du nancéen Georges Lallemand, à Paris. Ayant alors accès à la Bibliothèque Royale, il étudie les reproductions gravées des œuvres

siècle | Château de Vincennes, XIVe siècle | | | | | Cité fortifiée de Carcassonne, XIVe siècle | Cité fortifiée d’Aigues-Mortes, XIVe siècle | Palais de la cité, Paris, XIVe | Chapelle royale, XIVe, Vincennes | | | | | Sculpture | Retable de Carrières-sur-Seine, XIIe siècle | La visitation, Reims, XIIIe siècle | L’Ange au sourire, Reims, XIIIe siècle | Vierge en bois d’Abbeville, XIIIe siècle | | | | | Vierge de la Sainte-Chapelle en ivoire, XIIIe siècle | Gisants de Henri