Reve Bénéfique

d'imprimerie pour des erreurs de typographie) Construction Début : Entrée dans le rêve, la pensée : « Vers le palais » (v.1), « on voit venir » (v.5), Etapes intermédiaires : Descriptions du cadre, des éléments le composant (v.6-18) Prise de parole (v.19-24) Enumérations de faits (v.26-30) Fin : Comparaison entre viande et pensées Cerveau et mets Vocabulaire Champs lexicaux : * Rêve, imaginaire * Pensées * Nourriture * Les 5 sens : toucher (v.9), gout (v

en prose qui raconte un rêve 1. Structure *Utilisation de la 1e personne (x10) : Omniprésence du moi dans le récit *Focalisation interne : Dans le rêve de l’enfant jusqu’à son réveil, monde vu et raconté par lui *2 octosyllabes encadrant 2 strophes irrégulières et sans rimes : Parallèle entre début et fin : -Ligne 1 : « J’ai embrassé », passé composé : Action passée -Strophes : Imparfait description : Raconte action passée -Ligne finale : « il était » : Rêve achevé, imparfait fin de

l’emmène pour une meilleure vie. Nous allons voir dans un premier temps en quoi ce texte est romantique, puis nous verrons en quoi ce texte est un espoir d’avenir et pour finir comment Flaubert ridiculise ce rêve et dénonce t-il le bovarysme. En effet ce texte est une satire du rêve romanesque parce que des la première ligne, « elle se réveillait en d’autre rêves » montre qu’Emma part dans des rêveries. La surcharge de détails donnés par Flaubert : « Au galop de quatre chevaux, elle était

valeurs en cours, mais au profit, justement, des valeurs humaines les plus hautes" Marcel Duchamp comme précurseur, Picabia. Le Surréalisme (env 1920 à 1945): opposition à toutes les conventions sociales, logiques, et morales. Mouvement prônant le rêve, l'instinct, le désir, et la révolte. Issu du Dadaïsme, mais nouveaux matériaux, et nouvelles techniques. Dali, Giacometti le Bauhaus (1919 à 1933): Institut d'Arts et Métiers fondée à Weimar (Allemagne). Centré sur l'architecture et le design

nouvelle femme. Le point d'exclamation exprime ses sentiments. Le vers 21, « je fermai les deux yeux, dans ma froide épouvante » montre la réaction du poète. Il ferme les yeux car il croit assister à un cauchemar, il ne sait plus si il est dans dans un rêve ou dans la réalité. Celle-ci est tellement atroce qu'il se réfugie dans le monde onirique pour ne pas y faire face. Les mots « clarté vivante » au vers 22, renvoie à la même idée. L'adjectif « vivante » s'oppose à la vision de la mort qui se met en

le moment où les choses prennent un air irréel (les « ombres fantastiques »), le moment également où on passe de la veille au sommeil. Le chant lexical du rêve est en effet très important dans ce poème. On relève « idéal », « rêvées », « rêveur ». Le jeune homme a « un pied près de [s]on coeur » : le réel (les pieds blessés) rejoint le rêve et l'idéal (le coeur est le siège des émotions). De la même façon, la comparaison au vers 11 rapproche (on pourrait dire « transforme ») l'eau de la rosée en

règles. IV-Conclusion L’univers de Brazil nous transporte dans monde surréaliste. Toutefois, les situations rencontrées par le héros sont celles auxquelles nous sommes confrontés dans la réalité, mais dans une moindre mesure. La limite entre le rêve et la réalité est floue. On en vient à se demander si Jill est réelle ou irréelle (la mère de Sam devient Jill.) Le film de Terry Gilliam possède une réelle visée critique avec un travail sur les détails. Cependant cette richesse de l’image perd le

revint chez moi toute triste et ma mère me demanda se qui m’arriver, je lui répondit « Rien, tous va bien ». Et encore une fois j’alla me réfugier dans ma chambre pour dessiner des chevaux. Oui les chevaux j’adore ça, et ça depuis toute petite. Je rêve un jour de pouvoir galoper, ou encore sauter !! Rien que d’y penser j’en ai les yeux qui brillent. Mais malheureusement la réalité me rattrape vite. Ma entra dans ma chambre et me demanda de me mettre à mon piano, car oui ma mère m’oblige à jouer d’un

toute femme de couleur, se révèle franche. Pendant le premier tercet, la vision passe de l’île au port, lieu de voyage, de grand départ. Le port est un lieu protégé, mouvementé, mais aussi un lieu d’expansion et donc un endroit propre à incarner le rêve, le voyage. C’est dans ce sens que Baudelaire utilise l’mage portuaire. Il utilise les assonances en –a- et en –oua- qui cherchent à mettre de l’harmonie. D’ailleurs, la très grande richesse des rimes aux vers 12 et 14 fait écho au vers 6 et connote

ce sens. Dire que le rêve, qui est en soit un caractère primaire de l’homme peut perdurer dans notre monde d’aujourd’hui n’apparaît pas comme une évidence. Tout d’abord le rêve apparaît comme compliqué dans une société où les mauvaises nouvelles se suivent, par exemple la crise qui perturbe en ce moment la majeure partie des français ou encore des catastrophes écologiques dont les conséquences ne sont pas exactement connues. Cela participe donc à mettre de coté le rêve pour se concentrer sur