Revenu minimum d'insertion

contrats d’accompagnement dans l’emploi (CAE), contrats initiative emploi (CIE), contrats d’avenir (CAV) et contrats insertion-revenu minimum d’activité (CI-RMA) ont été signés, parmi ces 502 000 contrats, 353 000 sont des nouveaux contrats , ces contrats ont été crée par la loi de programmation pour la cohésion sociale du 18 janvier 2005 . Or depuis 2010 le Contrat Unique d'Insertion a été adopté et s'ajoute au CIE et au CAE selon si le secteur est marchand. Ces contrats sont dit d'aide à l'emploi chacun

système d’imposition (impots) se révèle très inégalitaire . Alors que les fonctionnaires sont ponctionnés à la source, c’est-à-dire avant distribution de leur salaire, d’autres comme les professions libérales ne déclarent pas l’ensemble de leurs revenus et échappent donc à la taxation. La Grèce fait des choix politiques étonnants comme le budget de l’armée est le plus important d ‘Europe (4,5% du PIB). Le statut protégé de l’Eglise Orthodoxe froisse la population. L’Eglise ne paye aucun impôt alors

demandeurs d'emploi devraient perdre leurs droits à l'assurance-chômage en 2010, a annoncé Pôle emploi. Or, seuls 38 % de ces "fins de droits" pourraient bénéficier de la solidarité nationale, via l'allocation spécifique de solidarité (ASS) et le revenu de solidarité active (RSA). Près de 600 000 chômeurs ne devraient donc pas trouver auprès des structures publiques de solution à leur sort, entraînant un accroissement inéluctable de la pauvreté dans notre pays. En outre, de nombreux indicateurs

-redistribution horizontale : c'est-à-dire une redistribution entre agents subissant des risques sociaux différents (actifs/retraités ou malades/bien portants) -redistribution verticale : c'est-à-dire une redistribution visant à réduire les inégalités de revenus. II. Instruments de la redistribution. A. La fiscalité. La redistribution s’effectue grâce à la fiscalité qui englobe le prélèvement des cotisations sociales obligatoires à l’Etat et les impôts. Cette fiscalité peut s’opérer selon 2 logiques :

1er article : LEVY C., « Vivre au minimum. Minima sociaux et condition salariale : l’Europe vue d’en bas », in revue TEF (Travail-Emploi-Formation) N°4/2003, pp 71-90 Cet article synthétise une recherche de trois années (fin 2001) effectuées en Belgique, France, Allemagne et le Royaume-Uni sur les effets des nouvelles politiques sociales sur les conditions de vie des travailleurs à bas salaire, des bénéficiaires d’allocations de chômage et de revenus de l’Assistance. Le détournement du

L'augmentation des inégalités sociales déclenchent le processus d'exclusion. En 88 F. Miterrand promet au français un revenu minimim à "ceux qui n'ont rien, qui ne peuvent rien, qui ne sont rien un moyen de vivre ou plutot de survivre". 1er décembre 88 création RMI, qui constitut un dispositif contre la pauvreté en tentant de supprimer toutes formes d'exclusion avec un droit à un revenu minimum et un accès à des droits connexes. Le RMI desincite au travail, par les efftes de seuils qui réduisent les minima

dus aux individus eux-mêmes et dont la réalisation entraîne une perte de revenus (ex : maladie, chômage, accident du travail, vieillesse...). R. CASTEL parle d'insécurité sociale et insiste sur le rôle de l'Etat à travers les minima sociaux afin d'éviter la désaffiliation sociale des citoyens.  Les minima sociaux L'ensemble des aides sociales qui garantit aux personnes les plus démunies un revenu minium – ex : minimum, vieillesse, RMI, allocation spécifique de solidarité.... 1.1.4. - Logique

Depuis une trentaine d’années, la France reste marquée par un chômage de masse dont le niveau apparaît relativement plus élevé que dans d’autres pays comparables. Depuis 1984, le taux de chômage n’est jamais revenu en-deçà de 8,5 %. Au cœur des préoccupations de tous les gouvernements, l’emploi a fait l’objet de politiques variées mais elle doit s’adapter à un certain réalisme et d’une volonté partagée de préserver le "modèle social français". 2000 Réduction du temps de travail passage de 39 à

1992, un arrêté donne une définition officielle des catégories de personnes qui sont en situation de précarité : chômeurs, bénéficiaires du RMI, personnes sans domicile fixe, jeunes âgés de 16 à 25 ans exclus du milieu scolaire, ou en situation d'insertion professionnelle. [source Wikipédia] Lien entre précarité et pauvreté La pauvreté est le manque des ressources pour pouvoirs subvenir à ses besoins. La précarité est l'état d'absence de sécurité. De nos jours

l’objectif est de prémunir contre un risque de perte de revenu (chômage, maladie, vieillesse, accident du travail). Les prestations sociales sont financées par des cotisations sur les salaires (comme dans une assurance privée) et sont donc réservées à ceux qui cotisent ; – Une logique d’assistance, qui a pour objectif d’instaurer une solidarité entre les individus pour lutter contre les formes de pauvreté. Elle consiste à assurer un revenu minimum, qui ne couvre pas forcément un risque spécifique. Il