Reveries Au Bord Du Lac Rousseau

amorosa de René Char-p13 Les yeux brillants de Michel Butor -p14 Les enfants qui s’aiment de Jacques Prévert -p14 L’amour et la folie de Jean de la Fontaine -p15 Le pont Mirabeau de Guillaume Apollinaire -p16 -le temps qui passe p17 à p24 Le lac de Lamartine -p18-19 Demain de Robert Desnos-p20 Poème de Samuel Beckett-p20 Le temps de vivre de Boris Vian-p21 J’ai bien le temps de vivre de Claude Roy-p22 Pourquoy m’as-tu vendu, jeunesse de Charles d’ORLEANS-p22 Le temps perdu de René-François

de dramaturge). II°) XVIII° (> XIX°) : les conquêtes de l’esprit philosophique et l’éclosion de la sensibilité romantique 1750-1789. La figure qui incarne le mieux cette éclosion de la sensibilité romantique est ROUSSEAU (notamment dans les dernières œuvres : les Confessions et les Rêveries du promeneur solitaire). Le siècle des « Lumières » ? Par ses « lumières », la raison (la « Raison » est une des notions-clefs du siècle) agit comme un guide. Le mot « lumières », qui était habituellement réservé

La traversée du lac avait été imaginée peut-être pour rappeler le Voyage à Cythère de Watteau. Nos costumes modernes dérangeaient seuls l'illusion. L'immense bouquet de la fête, enlevé du char qui le portait, avait été placé sur une grande barque; le cortège des jeunes filles vêtues de blanc qui l'accompagnent selon l'usage avait pris place sur les bancs, et cette gracieuse théorie renouvelée des jours antiques se reflétait dans les eaux calmes de l'étang qui la séparait du bord de l'île si vermeil

et La fourmi » est l’une des premières fables écrite par Jean de La Fontaine. Elle parait en 1668 dans son premier recueil. Cette fable, devenue un « classique », a subi de nombreuses critiques par ses contemporains car son style était novateur ; Rousseau l’a en effet donnée en exemple de ce qu’il convenait de ne pas faire lire aux enfants car il craignait que ceux-ci ne prennent la cigale comme modèle. Cette fable comme tout autres de La Fontaine contient une morale bien précise consistant a sensibiliser

nature et de l’amour. Les principaux précurseurs de ce mouvement en Europe sont Chateaubriand avec le lyrisme dans Atala (1801) ou encore dans René (1802) et la nostalgie des paysages américains dans Les Mémoires d’outre-tombe (1848) et Rousseau avec Les rêveries du promeneur solitaire (1782). Le romantisme est le mouvement qui incarne la liberté : c’est « le libéralisme en littérature ». Cherchant l’évasion dans le rêve, dans l’exotisme (« Parfum exotique » de Charles Baudelaire), il exalte le

(Rous-seau) . — Les Rêveries du promeneur solitaire (Rousseau). — Le Neveu de Rameau et Jacques le fataliste (Dide-rot). INTRODUCTION Le terme de « Lumières » fut employé dès le XVIII° siècle. Les Lumières commencent en fait à la fin du XVII° siècle, avec Fontenelle et Bayle, dont on dit qu’ils sont les pères fondateurs du XVII° siècle ; elles s’achèvent avant la révolution, avec Sade et les Anti-Lumières. Quatre grands noms ont marqué ce siècle : Mon-tesquieu, Voltaire, Rousseau et Diderot (voir

Jean-Jacques Rousseau Les Rêveries du promeneur Solitaire PREMIÈRE PROMENADE Me voici donc seul sur la terre, n'ayant plus de frère, de prochain, d'ami, de société que moi-même. Le plus sociable et le plus aimant des humains en a été proscrit par un accord unanime. Ils ont cherché dans les raffinements de leur haine quel tourment pouvait être le plus cruel à mon âme sensible, et ils ont brisé violemment tous les liens qui m'attachaient à eux. J'aurais aimé les hommes en dépit d'eux-mêmes

classique, p. 415-416). Auvray, « En extase je tombe… », « Toute sa face estoit de crachats enlaidie… ou vif et mort ensemble… », in Anthologie de la poésie baroque, éd. Jean Rousset. * Stendhal, La Chartreuse de Parme, Première partie, chap. II, « Le Lac de Côme… hâte-toi de jouir. ». Rabelais, Tiers Livre, chap. IV, de « A ce patron figurez… » à « … dedans leurs fourneaulx » (Seuil/L’Intégrale, p. 387-388). * Bernanos, Dialogues des carmélites, troisième tableau, scène 1, « Alors, dans mon idée… »

Mais avec l’annexion du canton de Vaud, les francophones commencent à imposer leur culture dans leur propre langue. Parmi les premiers auteurs qui représentent les débuts littéraires de l’expression française, nous pouvons mentionner Jean Jacques Rousseau (1712-1778), Germaine de Staël (1766-1817) ou Benjamin Constant (1767-1830). Avec la deuxième moitié du 19e siècle arrive l’âge d’or de la littérature nationale, la vie culturelle prolifique donne naissance aux figures illustres de la Suisse romande :

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Les confessions’’ (1765-1770) Autobiographie de Jean-Jacques ROUSSEAU pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 10) l’intérêt littéraire (page 12) l’intérêt psychologique (page 13) l’intérêt philosophique (page 17) la destinée de