Reviens-moi

perpétuelle recherche de l’objet ancien et grâce à se retour dans le passé il est possible d’admirer une époque inconnue. L’objet ancien rassure puisqu’il se réfère à d’anciennes valeurs. Le vêtement vintage fait partie du patrimoine culturel d’un pays et reviens très souvent au goût du jour et ne meurt jamais. Certains individus sont passionnés, amoureux par les objets anciens. L’expression « tomber amoureux » est employée à propos d’un vêtement dans le document 2. De même, il est question de « passion

Philippe Geluk, auteur de la célèbre BD « le Chat » a un jour écrit : «  Je reviens de Pise. C’est une bien jolie ville, bizarrement construite. Tout y est incliné, sauf une tour qui y est droite. » Personnellement, j’aurais plutôt envie de dire que, oui en effet, Pise est une bien jolie ville, presque normalement construite où tout est y droit, sauf une tour qui y est inclinée. Cet exemple montre que la vision que P. Geluk s’est faite de Pise est très différente, opposée même, à la mienne et probablement

Sganarelle,valet de Dom Juan,s’entretient avec Gusman,l’écuyer de Don Elvire.On apprend que la jeune femme après avoir été enlevée d’un couvent puis épousée par Dom Juan vient d’être abandonnée par lui.Sganarelle ôte à Gusman tout espoir que son maître revienne jamais à elle.A cette occasion,il brosse un portrait de son maître,grand seigneur impie et débauche ainsi qu’éponyme.En faisant cela,Sganarelle dresse son propre portrait. PB : 1Le Portrait du personnage éponyme de Dom Juan. a)Champs lexical

comment tu trouve le nouveau ? Stylo-Bic répondit : - En vérité, je suis plutôt content, Stylo-Plume a enfin trouver quelqu’un de plus beau que lui, j’espère que ça va lui faire fermer son bouchon ! Puis Gomme s’endormit en priant que son ami Crayon revienne. Le lendemain son vœu était exaucé : Crayon était revenu. Mais le nouveau était toujours là. Gomme ne put contenir sa joie : « Tu es revenu ! Mais où était tu passé ? Comment est-tu revenu ? Crayon répondit le sourire en coin : - J’ai juste

l’intérieur de son corps, comme un souvenir. Avec peine, il escalade la paroi rocheuse, et les cailloux qui s’éboulent font un bruit qui résonne dans tout le paysage de pierre. Tayar s’immobilise, recroquevillé contre les rochers, il attend que le silence revienne. Là-haut, il y a encore davantage de lumière. Plus rien ne le sépare du ciel. L’étendue du plateau calcaire est immense, le ciel bleu pâle à l’horizon, sombre comme la nuit au zénith. Le vent fait trembloter les broussailles, agite les feuilles

quand l’année finit, qu’on vit revenir le printemps, Mes compagnons fidèles m’appelèrent pour me dire : « Malheureux, il est temps de te rappeler ta patrie si les dieux veulent que tu sois sauvé, que tu reviennes dans ta belle demeure et sur le sol de ton pays » » II. Les compagnons, opposants dans le retour d’Ulysse a. Arg : Ses compagnons le retardent Ex : Ils ouvrent l’outre des vents et repartent en arrière Citation :

la route au Seigneur. Berger de Dieu, réveille-nous, Voici le temps de la promesse, Nos yeux regardent vers ton jour, Visite-nous par ta tendresse. 1er dimanche de l’Avent : 1 - Tu es venu dans nos ténèbres, Une lumière a resplendi. Reviens vers l’homme à ta recherche, Fais briller ton étoile en nos vies ! 2 - Tu nous as fais à ton image Pétris d’amour et d’infini. Viens donner à ton ouvrage La splendeur que nos mains ont ternie. 3 - Le monde a faim de voir des signes Dans

grande sœur. Si tu as des chaussettes trouées, envoie moi les trous que je les raccommode. Enfin tout va bien sauf que le chat est crevé. J'espère que ma lettre ne te trouvera pas de même. Tu nous dis que tu es très malade, si tu ne vas pas mieux, reviens mourir à la maison, ça nous fera plaisir. Je vais te laisser non sans te dire que ton père a un énorme furoncle au cul. Sur quoi je t'embrasse très fort. Ta maman chérie qui pense toujours à toi en trayant les vaches. P.S : Si tu n'as pas le temps

soudain ces bruits, ces mêmes bruits, se firent entendre. Ma mère, dont la main était devenue glacée, me lâcha ; et son corps se raidit . Ses yeux s’écarquillèrent et elle me cria, elle hurla : -RENTRE ! RENTRE A LA MAISON ! NE RESTE PAS ICI ET NE REVIENS JAMAIS ! Terrifié, Je m’enfuis en courant. Ma dernière vision de ma mère vivante fût celle-ci, s’élevant dans les airs, et hurlant, avant qu’elle ne retombe violemment contre une dalle mortuaire. Ce jour là, j’ai couru, laissant mes larmes glisser

au nécessaire autant qu’au superflu. Il n’y avait d’ailleurs pas de police ni de lois écrites mais il y avais une éducation suffisante qui apprenait aux enfants le respect de chacun. Le paysage était splendide. J'en ai appris de jours en jours. Je reviens bientôt. J'irais te voir et je te raconterais la suite. Bisous.