Révolte des gueux

retrouvent dans les chapitres 25 et 26 des Essais (1580) de Montaigne qui rejoignent egalement le Pantagruel (1532) et le Gargantua (1534) de Rabelais. Enfin, la volonté de Victor Hugo d'éduquer le peuple se retrouve dans nombreux de ses textes. Claude Gueux(1834) narre l'itinéraire d'un homme condamné aux travaux forcés pour un vol destiné à faire survivre sa famille affamée. Séparé arbitrairement d'un codétenu auquel il s'était attaché, il finit par tuer son geôlier, parfaitement conscient qu'il sacrifie

révolution industrielle, dans les mines, les champs ou les usines. Il s'indigne de leur situation et de se qu'on leur fait vivre alors qu'ils devraient rêvasser ou jouer. J'ai beaucoup aimé l'énergie que Hugo met dans se poème, on ressent sa colère et révolte intérieur par rapport a ce qu'ils vivent. Arthur Rimbaud: « Le Dormeur du Val » C'est un trou de verdure où chante une rivière,Accrochant follement aux herbes des haillonsD'argent ; où le soleil, de la montagne fière,Luit : c'est un petit val

rencontre Berlioz,Chateaubriand, Liszt, Giacomo Meyerbeer, et rédige des recueils de poésie dont les Feuilles d'automne. Il publie en 1829, le recueil de poèmes les Orientales. Le Dernier Jour d'un condamné paraît la même année et est suivi de Claude Gueux en 1834. Dans ces deux courts romans, Victor Hugo présente son dégoût de la peine de mort. Le roman Notre Dame de Paris paraît en 1831. ------------------------------------------------- Années théâtre[modifier] La Bataille d'Hernani (Grandville

et le grandiose. Le roman hugolien n'est pas un divertissement : pour lui l'art doit en même temps instruire et plaire et le roman est presque toujours au service du débat d'idées (exemples dans Le Denier Jour d’un condamné en1829 ou encore Claude Gueux en 1834 qui engage une réflexion sociale sur la peine de mort dont il réclame l’abolition).  ; * Le dramaturge Hugo a laissé libre cours à son idée du nouveau théâtre avec le drame romantique, un théâtre qui unit comédie, mélodrame, tragédie

donne la petite croix de buis qu’elle porte autour du cou pour le protéger. 2 • Mathieu tue Tortegoule qui surveille les terres de son seigneur, car celui-ci, l’ayant reconnu, veut le ramener au château. C’est aussi un sentiment de colère et de révolte qui le pousse à agir ainsi. 3 • Thibault grave sur l’avant-bras de ses compagnons la même croix que celle qu’il porte sur le visage. Cette croix est, d’après lui, le signe de leur liberté. 4 • Le Borgne a perdu son œil à l’âge de Mathieu. Il s’est

d'automne », « les Rayons et les Ombres », « les Châtiments, la légende des siècles »,  le théâtre avec le Drame romantique, « Hernani », « Ruy Blas », le roman, « Notre Dame de Paris, les Misérable ». Il a aussi touché à d'autres genres, « Claude Gueux » montre une pratique journalistique, « Le Dernier Jour d'un Condamné » est un court roman sous la forme d'un journal intime, la « Légende des Siècles » est une épopée poétique visionnaire et bien d’autre encore. Il était un révolutionnaire et a été

critiques contre Tartuffe à celles du fils de la maison : « Car il contrôle tout, ce critique zélé » v.51. Elle occupe désormais le terrain pendant les quatre répliques suivantes et fait l’historique de l’entrée de Tartuffe dans la famille : « Un gueux qui, quand il vint, n’avait pas de souliers / Et dont l’habit entier valait bien six deniers » v.63-64 et s’indigne « qu’un inconnu céans s’impatronise » v.62 et fasse « le maître » v.66. Mais surtout, elle voit clair dans les intentions cachées de

fanatisme qui a provoqué la révolte, et en Hollande, de nouvelles révolutions sont prévisibles parce que ce pays est en train de subir toutes sortes de vexations. Il considère que les multiples brimades sont le germe d’une révolution qui mettra peut-être un siècle à mûrir, mais qui se produira inéluctablement. En ce sens, Forster légitime la révolution par le droit naturel. Tant que le peuple ne jouit pas de tous ses droits, on peut s’attendre à des mouvements de révolte, même en Angleterre où le

intervenir auprès de la gouvernante générale afin que celle-ci raisonne Philippe II sur l’application de l’Inquisition notamment. Rien n’y fit. Et malgré cela, les membres de la haute noblesse restèrent fidèles au roi d’Espagne.32 Cet épisode des Gueux, comme avaient été surnommés les membres du Compromis, fit tache d’huile, et une vague d’iconoclasme se répandit à travers les Pays-Bas et plus particulièrement à Tournai, Valenciennes et Anvers. Les nobles, ne désirant pas mettre à feu et à sang

Père Ubu, te voilà devenu un véritable homme. Père Ubu: --Oh non! moi, capitaine de dragons, massacrer le roi de Pologne! plutôt mourir! Mère Ubu (à part): --Oh! merdre! (Haut) Ainsi tu vas rester gueux comme un rat, Père Ubu. Père Ubu: --Ventrebleu, de par ma chandelle verte, j'aime mieux être gueux comme un maigre et brave rat que riche comme un méchant et gras chat. Mère Ubu: --Et la capeline? et le parapluie? et le grand caban? Père Ubu: --Eh bien, après, Mère Ubu? (Il s'en va en claquant la