Révolte

étudiantes à Rome et guerre au Vietnam, la population civile se trouve prise dans un soulèvement à une échelle plus que nationale. Alors que tout le secteur secondaire commence à se révolter car, même si la situation économique de la France se porte paradoxalement au mieux, les conditions de travail ne lui conviennent pas, la révolte prend de l’ampleur et parvient bientôt à la capitale. Les étudiants Parisiens se soulèvent dès lors et clament leur envie de mettre fin à la société traditionnelle de l’époque

vraie destruction des lieux soit par une rénovation qui aussi oblige les habitants a quitter leurs logements et donc souvent a se trouver très loin du centre c’est a dire des espaces communes. Cette destruction est à la source de résistance et de révolte des anciens habitants. Le droit a la ville est un droit aux services publics, à la vie sociale, à l’hygiène, a l’éducation, au travail. Non seulement des destructions et les rénovations prennent ces droits des mains des habitants mais aussi les relogements

les classes, ou du moins expriment leurs opinions sur la situation dans les différents milieux sociaux. L'extrait ''La grève'' de Germinal de Zola exprime tout à fait cette tendance. Ce texte nous plonge au cœur de la description d'un peuple en révolte, nous en fait témoin et nous laisse imaginer la peur que ce genre de situation pouvait engendrer chez les bourgeois de l'époque. Dans cet extrait de Germinal, Zola insiste notamment sur la violence de la scène et la vision apocalyptique

voire individualistes. C'est-à-dire qu’ils refusent toute influence, contrainte, sujétion, pression, autorité, domination, tutelle… etc. Ils refusent d’être soumis à une autre puissance que la leur. Ils revendiquent, à travers leurs mouvements de révoltes, leur indépendance d’esprit, d’opinion donc la possibilité de décider, de faire leurs propres règles de conduite. Les « hipsters », communauté de jeunes nord-américaine, revendiquent leur identité, leurs valeurs auprès du reste de la société. Ils

autonome ou bien pour ces deux raisons. Mais en définitif, les situations de dépendance se prolongent de plus en plus pour les enfants des classes moyennes. Les problèmes s'accumulent, et la rue gronde. Les années précédentes ont été celles de la révolte des jeunes : des émeutes des banlieues aux mobilisations contre Contrat Première Embauche en passant par le mouvement des jeunes chercheurs et des stagiaires. Les classes moyennes sans projet Pour Louis Chauvel, les classes moyennes françaises

jusqu'aux premiers groupes de jeunes (les rockers et les mods) et à l'explosion du phénomène des Beatles, les jeunes anglais se rebellent contre le mode de vie de leurs pères et trouvent dans la musique rock et pop le langage capable d'exprimer leur révolte. Au cours de ces années, on commence à ressentir le besoin d'un renouveau politique et culturel dans quelques cercles de gauche: en 1960 est fondée la New Left Review, à laquelle collaborent des intellectuels comme S. Hall, E. P. Thompson, R. Williams

beaucoup diminué. En effet, au Moyen-Age par exemple, les guerres étaient très nombreuses, de plus elles se faisaient sans raison valable sur un simple désaccord entre deux rois. Aujourd'hui les guerres se font rares, elles sont dues principalement aux révoltes dans les pays sous développés. Si deux idées opposent des pays, des accords seront trouvés évitant ainsi le conflit. Donc, avant il était impossible de parler de guerre juste alors qu'aujourd'hui on peut en parler. « Guerre juste » : un paradoxe

attaque Bonaparte et le second Empire. Il aime la justice et la vérité, et i n’hésite pas à le dire haut et fort. Dans chacun de ses livres, il montre la révolte des petits pour des raisons justes mais qui finalement n’aboutissent à rien. Il dépeint la société dans laquelle il vit sans mettre les sombres détails. D’une prostituée bourgeoise aux révoltes des mineurs, les dix romans qui constituent « l’œuvre de sa vie » sont un témoignage poignant d’un âge social basé sur l’étude physiologique et sociale

Créon, en lequel on reconnaît la figure du maréchal Pétain. •Liens avec d'autres œuvres Le personnage d'Antigone n'arrête pas d'inspirer les auteurs et les metteurs en scène. Chez Cocteau (1922) ou Brecht (1948), le personnage demeure symbole de révolte contre l'ordre établi. Antigone de Jean Cocteau, il crée « une contradiction » de la version de Sophocle en 1922 au théâtre de l'Atelier, c'est une pièce en un acte qui reprend la structure profonde de l'oeuvre originale. Il y a aussi une version

d'Afrique qui se sont souvent révoltées : mise en place du système esclavagiste scandé par les révoltes d'esclaves Phénomène mal documenté car echec de ces révoltes qui n'ont pas laissé des traces précises La seule révolte esclavagiste réussie est celle de l'ile de Saint-Domingue. Sociétés esclavagistes qui établissent très tôt des codes des esclaves, des règles et lois qui permettent de juguler ces révoltes. Codes qui s'inspirent des codes mis en place dans les antilles, Virginie première à mettre