Rhinocéros Métaphore

mélancolique vers un passé irréversible, tentation de l’anticipation de l’avenir, le lyrisme est un présent déchiré par le temps et qui enchante l’éphémère. • Le lieu : par le langage, le lyrisme ouvre le lieu clos sur l’infini à travers la rêverie et la métaphore : promontoire hugolien, maison roulante de Vigny, corps féminin devenant île ou rivage... L’intime se confond avec l’universel. Subjectivité !" À travers son chant, le sujet lyrique s’approprie les objets qui lui sont extérieur pour les disposer

) “L’homme descend du songe”. C’est un mythomane et un mythifie (qui aime les récits : mot n’existe pas) invétéré. Avoir raconté des histoires confère une aura au compteur et le dote d’un fort pouvoir de persuasion : le recours au symbole, aux métaphores... Marque les esprits en frappant leur imagination. (Ex: dans la bible il y a une quarantaine de parabole de Jésus) Les hommes politiques n’échappent pas à la nécessité de raconter des histoires aux citoyens qui se lasse très vite des pesantes

Hugo). Gaston Bachelard avait déjà bien décrit cette « psychologie » du réaliste qui pense que le réel, c’est ce qui est « dessous » et « caché ». Mais cette double posture, où l’on peut retrouver la bonne vieille opposition entre métonymie et métaphore, est sans doute un peu simpliste, et il y a http://www.revuerectoverso.com 3 ISSN 1954-3174 Revue Recto/Verso N°7 – Septembre 2011 ©Philippe HAMON certainement bien des variantes combinatoires de cette opposition. Je pense au

contient aucune comparaison, le poème renferme trois métaphores (emploi d’un terme concret dans un contexte abstrait : appeler par exemple la Mort une « faucheuse »). La   première   concerne   les   « pas »,   qualifiés d’« enfants de mon silence » (v. 1), parce que le bruit des pas de la femme se perçoit mieux dans le silence que le narrateur s’impose. Aussi semblent-ils « naître » de ce silence. Si l’on voit dans cette femme la Muse du poète, la métaphore demeure, mais change de sens : les « pas » traduisent

baroque très travaillé. Il est baroque car savant dans sa construction, précieux, presque dans la surcharge décorative, dans l’exagération qui donne une dimension épique. Pierre de Marbeuf utilise toutes les ressources du langage en poussant les métaphores dans leurs derniers retranchements. Ses jeux du langage s’adressent plus à l’intellect qu’à l’affectivité. Marbeuf joue avec le langage aussi bien dans ses aspects visuels que sonores : ainsi « aimer » est visuellement proche d’« amer » et d’«

des sentiments, des émotions comme dans ce poème où l'auteur fait référence à une expérience vécu dans le passé sans la représenter exactement. La poésie convient totalement à ce genre littéraire, elle permet grâce à des figures de style tel la métaphore, la comparaison, parallélisme à des sensations contrastées et permettent ainsi des rapprochement entre les deux périodes relatées. Lyrisme traduit par la recherche de musicalité et d'idéal (= représenté par Rose/Nature) Poème très encadré

Figures de style Comparaison : Exprime une ressemblance entre 2 réalités - Terme qui est comparé - Terme de comparaison - Terme qui sert de comparatif - Point de ressemblance EX : Ma fille est comme le soleil. Métaphore : Exprime une ressemblance entre 2réalités,mais sans l’aide de l’outil de comparaison. EX : L’araignée, petite main noire velue, s’agrippait à ses cheveux. Personnification : Figure par laquelle on fait parlé ou agir un absent, un mort

Pléiade comme Ronsard. Ici, le temps est représenté par la métaphore de l’eau qui est filée tout au long du poème. Champ lexical du temps avec des divisions temporelles : "la nuit", "le jour", "l’aurore", "le soir", "les heures", "l’année", "moments", "l’éternité" et présence d'adjectifs significatifs : "l’heure fugitive", "nuit éternelle". On observe la métaphore du temps du temps "l’océan des âges" (21, 35-36) assimilé à l’eau -> métaphore filée du temps qui coule. Les allitérations en [l], des

poème : Ce poème est composé de 6 quatrains écris en alexandrins. Les rimes sont croisées tout au long du poème. La ponctuation est inexistante. Le poète s'identifie dans le poème grâce à la redondance de "Je". On remarque beaucoup d'images et de métaphores très expressives (l'oiseau=soldat) comme (v12) "abandonner son nid" = partir au front, quelques comparaisons permettent de partager les émotions du poète (v7) "comme une paume aux souffles de la mer". Le poème l'amour ( de la France) et la guerre

Ils étaient heureux dans la limite des difficultés de la nature. Le tableau de la société moderne Besoin du travail d’un autre → disparition de l’égalité → apparition de la propriété engrenage → travail nécessaire → esclavage + misère Métaphore filée : sur l’exploitation de l’homme avec l’exploitation des champs Champ lexical du travail des champs. « campagnes riantes…hommes » (L 28- 29 –30) Riante pour les propriétaires (=> esclavage)= satisfaction au prix du travail des hommes. =>