Ricardo Etat Stationnaire

2.2 Ricardo (1772-1823) Issue d’une famille de financier Il s’inscrit dans le prolongement de Smith car il reprend toutes les questions de Smith en essayant d’aller plus loin dans l’analyse. Son projet est de créé une science économique et d’établir des lois. Il perçoit le capitalisme comme un système avec donc des lois pour l’expliquer. 2.2.1 La théorie de la valeur chez Ricardo Le bon critère pour établi la valeur d’une marchandise on prend la valeur d’échange et non pas la valeur d’usage

totalement avec le courant précédent attaché au libéralisme économique. Son fondateur : Smith avec le désormais célèbre La richesse des nations (recherche sur la nature et la cause de la richesse des nations) de 1776, il se poursuit par les idées de Ricardo, Say ou encore Malthus considéré comme le dernier vrai classique. Cependant, on attribue à Marx un penchant « classique » qui en font pour certains le dernier de la lignée, bien que de nombreuses divergences l’éloignent de ce courant. On parlera par

publication est habituellement considérée comme l'acte de naissance de l’économie politique. Pour la première fois apparaît l'idée d'une convergence spontanée d'une économie de marché vers un état normal d'harmonie des intérêts (l'état naturel») . Quelques décennies plus tard, l'économiste anglais David Ricardo prend parti pour le libre- échange dans les Principes de l'économie politique et de l'impôt (1817). Sa théorie de la valeur-travail aura une grande influence sur Karl Marx. Entre ces deux

le fonctionnement et l'évolution du capitalisme. 4.2. Une théorie de l'entrepreneur 1ère idée : Sans innovation, l'économie est stationnaire (pas de croissance économique) : état stationnaire de Ricardo, reproduction simple de Marx, équilibre général walrassien (tous les agents sont satisfaits et ne désirent plus changer leurs dotations). L'économie stationnaire prévaut avant le capitalisme et fonctionne à l'image d'une boucle fermée se reproduisant à l'identique (Schumpeter fait l'analogie avec

n’avaient pas de concurrence. L’une des grande critique économique contre les corporations c’est cette organisation rigide qui conduisait au prix trop élevé des marchandises avec l’idée que comme il n’y avait pas e concurrence les producteurs institue un état quasi permanent de pénurie qui du coup conduit à une insuffisance de l’offre et qui gonfle le bénéfice des maîtres artisans. Liberté et droits naturels Pour les libéraux de cette époque la liberté est naturelle à l’homme. En découvrant la liberté

Exogène : due à un facteur providentiel (le progrès technique tombé du ciel) =/ endogène : la croissance entraîne la croissance - II/ Mesure de la richesse A/ Différents indicateurs La croissance économique est généralement mesurée au sein d’un Etat par l’évolution positive sur un an d’un indicateur de dimension pour une nation. - Le PIB (Produit Intérieur Brut) = somme des valeurs ajoutées des unités résidentes (depuis un an ou plus) sur le territoire national, quelque soit leur pays d’origine

avancer les savoirs en économie. L’école classique prône l’harmonie des intérêts individuels et le respect de l’ordre naturel. a)Adam Smith et la fondation de l’école classique. Adam Smith (1723-1790) a dit qu’il n’y a pas besoin d’un Etat fort et autoritaire : l’Homme est un être social sympathique qui n’a pas besoin d’être soumis. Smith est le fondateur du libéralisme moderne : pour lui, «la véritable richesse n’est pas l’or mais le produit que l’on peut consommer.» La richesse

terme, n'a jamais le rythme qu'il faut. Pourtant, comme processus de transformation de l'activité productive élevant son efficacité et la quantité produite, la croissance économique est consubstantielle de nos sociétés modernes. Par définition non stationnaires, animées par ce que le philosophe de l'art Harold Rosenberg appelle, s'agissant de l'art moderne et contemporain, «la tradition du nouveau» (1988), nos sociétés ont l'économie de leurs structures : la croissance n'est qu'une manifestation de leur

Introduction à l’analyse économique ------------------------------------------------- David Ricardo roesch Table des matières I) Les bases de la théorie ricardienne. 2 A) La valeur travail et l’économie de la production 3 B) La répartition de la valeur => le revenu 4 II) Les lois Ricardiennes, 5 A) la loi de la dynamique économique en économie fermée : la loi des rendements décroissants. 5 B) La loi des coûts comparatifs : la loi de la dynamique économique en économie

l’échange et la division du travail  La main invisible : de l’égoïsme individuel à l’harmonie collective V. Thomas Malthus Pères des lois sur la population VI. L’économie politique de David Ricardo  La dynamique en économie fermée : la loi des rendements décroissants. Le mythe politique de l’état stationnaire.  La dynamique en économie ouverte : la loi des coûts comparatifs.  Une véritable économie politique VII. La problématique globale de Karl Marx  Circulation du capital : l’origine du