Ricardo Etat Stationnaire

macroéconomique (qui appuie ses théories et raisonnements sur l’échelle globale de tous les agents). INT-01-04-01-J1-FO 3  CFPB ■ Les principales théories économiques ou courants de pensée Le courant classique Adam SMITH, Jean Baptiste SAY, David RICARDO. Pour une période couvrant la fin du XVIIIe et la première moitié du XIXe, avec la révolution industrielle et les évolutions d’une économie d’artisans vers une économie d’industriels et d’ouvriers. Le courant néo-classique Léon WALRAS, Alfred MARSHALL

Chez les classiques, à l’image de J-B SAY qui explique que la croissance est la règle et que la crise est temporelle. Le marché va s’adapter aux nouvelles données et mettre fin à la crise. En outre, RICARDO au travers de sa loi des rendements décroissants montre que l’économie tend vers un état stationnaire. La crise de surproduction est donc impossible. Les régulationistes, eux, parlent d’une crise de mutation en raison de la baisse de la productivité et l’augmentation des revendications salariales

« absolus ». - La valeur des marchandises, sources d'enrichissement, provient de la quantité de travail nécessaire pour les produire. C’est la théorie de la valeur travail. → mots clefs : libéralisme, libre-échange, division du travail, main invisible, État-gendarme, avantage absolus, spécialisation, valeur travail. Jean Baptiste Say (1767-1832) est devenue célèbre en traduisant l'ouvrage de Smith. Sa théorie des débouchés « l'offre créer sa propre demande » explique l'impossibilité des crises globales

moins coûteuse), David Ricardo prône également le libre-échange, mais basé sur les avantages relatifs : chaque pays a intérêt à se spécialiser dans la production des biens pour lesquels il dispose d'une avantage interne en termes de coûts de production. Selon Ricardo, le libre-échange apparaît comme un jeu à somme positive d'autant plus bénéfique que les échanges internationaux induisent une augmentation de la richesse internationale ralentissant la marche vers un état stationnaire. (voir division du

n’est pas mesurable. Deux écoles sont distinguées : l’école classique anglaise et l’école classique française. a.1. L’école classique anglaise L’école classique anglaise est dominée par quatres auteurs : Adam SMITH, Thomas Robert MALTHUS, David RICARDO et John STUART MILL. Dans cette école, la valeur d’un bien ne dépend pas de sa valeur d’usage mais plutôt de sa valeur d’échange (conception objectif), dans la mesure où, selon eux on ne peut mesurer l’utilité d’un bien. a.1.1 Adam SMITH (1723-1790)

du train, la “main invisible” du marché et le libre échange et la spécialisation internationale Jean Baptiste Say (1767-1832) : la loi du débouchés “l'offre crée sa propre demande” David Ricardo (1772-1823) : priorité au commerce international et promotion du libre échange pour éviter l'état stationnaire de l'économie et abandon des pratique protectionnistes Caractéristiques de la pensée libérale classique du XIXe siècle : existence d'un ordre naturel harmonie entre les intérêts individuels

productivité (3ème bras ou spécialisation des tâches) Pour qu’un pays produise plus, il n’y pas d’autre possibilité. II. La théorie classique de la croissance On en trouve les prémisses chez Adam Smith (1776, premier ouvrage d’économie), chez David Ricardo (1819), Thomas Malthus. La théorie classique est aussi appelée la théorie de l’extinction de la croissance. Les économistes classiques considèrent trois facteurs de production : - Le travail. Sa rémunération est le salaire. Le salaire est déterminé :

arbitrairement l’entrée des marchandises. L’autorisation d’importer n’est valable que pour un nombre réduit de produits. Durant le gouvernement Edith Cresson (1991-1992), les magnétoscopes japonais ont été contingentés. Pour des raisons politiques, un Etat peut interdire les importations en provenance d’un pays. Les Etats-Unis utilisent parfois cette arme à l’encontre de pays jugés dangereux. Le blocus est l’ensemble des mesures visant à l’isolement d’un pays sur le plan économique. Napoléon 1er a élaboré

David Ricardo (1817) Des principes de l’économie politique et de l’impôt Traduit de l’Anglais par Francisco Solano Constancio et Alcide Fonteyraud., 1847 à partir de la 3e édition anglaise de 1821. *** Augmenté des notes de Jean-Baptiste Say Chapitres I à XVI Un document produit en version numérique par Pierre Tremblay, Collaborateur bénévole Courriel: muishkin42@hotmail.com Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

absolu + dépendance externe sur des secteurs vitaux. Admet le protectionnisme si industrie défensive, montée du chômage, mesure de répression. Ricardo : pays se spécialisent dans la P° pour laquelle ils ont un avantage relatif. 2 pays doivent opter pour le libre-échange en se spécialisant. Commerce extérieur : facteur de repousser l’état stationnaire car la libre importation de blé diminuera les salaires = hausse des profits = investissements. Il suppose les facteurs de P° immobiles entre pays