Ricardo Etat Stationnaire

d’une valeur de 32%. Depuis la crise de 2008-2009, on observerait un nouveau recul de ce taux de marge, l’emploi s’est donc peut-être maintien malgré la crise. B – Les théories de la répartition 1 – L’approche classique et la question de l’état stationnaire Pour les classiques il existe trois revenus : les salaires (rémunération des travailleurs), les profits (rémunération des détenteurs de capitaux), les rentes foncières (rémunération des propriétaires des sols). La somme de ces trois revenus constitue

TD d’économie 18ème /19ème siècle = Etat doit s’occuper des fonctions du type régalienne (sécurité externe = faire la guerre, police, infrastructures, éducation, élaboration de la loi). Il n’a pas à intervenir directement dans les problèmes économiques = Etat circonscrit Crise 1929 = crise majeure du capitalisme avec chômage massif, déflation. Donc pour résorber le chômage, il faut l’intervention de l’Etat 1945/1970 = compromis sociaux avec intervention massive de l’Etat (politique budgétaire

moins développée que sa concurrente anglaise. Ce fut probablement une des causes de la Révolution française [1]. Le XVIIIe siècle se termina par un retour au protectionnisme à cause des espoirs déçus du traité de 1786 ainsi que de la guerre. David Ricardo (1772 – 1823) est le véritable théoricien du libre-échange avec la théorie des « avantages comparatifs ». Il affirme que le commerce enrichit les deux partenaires, car rapidement chacun fait ce pourquoi il est le plus doué. Pourtant, ces deux théoriciens

toujours réussi à surmonter 1- des prédictions déjoués -De nombreux économistes s’accordent à dire que le capitalisme, à long terme est voué à disparaitre, ou sera néfaste. En effet ; Ricardo a émis l’hypothèse qu’à long terme l’évolution de la répartition des revenus est vouée à aboutir à un état stationnaire. Dans le même ton, Karl Marx dans « Das Kapital », montrera qu’avec la lutte des classes, et la révolte du prolétariat, le capitalisme est voué à disparaitre. -De même, Schumpeter dans

selon lui : « L’économie politique, considérée comme une branche des connaissances des législateurs et de l’homme d’état, se propose deux objets distincts : le premier, de procurer au peuple une subsistance abondante, ou pour mieux dire de le mettre en état de se procurer lui même ce revenu ou cette subsistance abondante ; le second, de fournir à l’état ou à la communauté un revenu suffisant pour le service public : elle se propose d’enrichir à la fois le peuple et le souverain ». Alfred MARSHALL a publié

permettre de dégager un revenu qui va être sois dépensé sois épargné pour augmenter le capital Le capital et son accumulation jouent un rôle dans l’augmentation des richesse. SMITH a dit qu’il pouvait lutter contre l’état stationnaire car pour les classiques le capital permet d’obtenir de nouvelles sources de revenus mais selon SMITH le taux de profit peut être amené à baisser. SMITH explique la baisse du taux de profit par la concurrence car si il existe des profits dans un

corriger les insuffisances de la théorie de l’avantage absolu, Ricardo (1817) a proposé la théorie de l’avantage comparatif. Selon Ricardo, ce n'est pas l'avantage absolu qui compte mais l'avantage relatif. Il tient compte de la limite de la théorie de l’avantage absolu, en proposant une autre explication de la division internationale du travail. Cette théorie permet à tous pays de participer aux échanges internationaux. Selon Ricardo, chaque pays se spécialise dans les produits pour lesquels il dispose

CHAPITRE 1 : LES THEORIES DE BASE DE L’ECONOMIE INTERNATIONALE. Ces théories s’opposent aux théories du 16ème siècle. A cette époque apparait le concept d’« Etat Nation » crée par Jean Bodin (économiste français (1530 – 1596)). Il invente la conception de l’Etat moderne c'est-à-dire c’est l’Etat qui fait l’unité d’un royaume et l’unité est l’application de la même loi sur l’ensemble du territoire. Avec ceci va se poser la question de la richesse de l’Etat-Nation. Durant les 16 ème et 17 ème

Il y’a plusieurs interprétations possibles d’une situation, dues à la diversité des êtres humains. Il existe des notions essentielles en économie telles que les notions de besoin, de bien et de rareté. 2. la notion de besoin : Un besoin est un état d’insatisfaction éprouvé par un individu ou groupe d’individus. Les besoins humains sont variés voir multiples : D’une part ils varient en fonction du temps, de l’espace et des goûts D’autre part ils sont communs à tous notamment ceux physiologiques

l'école classique, écrivant pourtant au commencement de la révolution industrielle, pensaient qu'aucune croissance ne pouvait être durable, car toute production devait, selon eux, inexorablement converger vers un état stationnaire. C'est ainsi le cas de David Ricardo pour qui l'état stationnaire était le produit des rendements décroissants des terres cultivables, ou encore pour Thomas Malthus qui le liait à son « principe de population ». Toutefois, Adam Smith, à travers son étude des effets de productivité