Ricardo Etat Stationnaire

révolution industriel et observent une économie en pleine transformation. Les innovations sont nombreuses et se développent aux seins de la société. C’est la raison pour laquelle ils sont une conception positive du développement économique. Smith, Ricardo, Malthus et Say constituent les principales figures du courant classique, ils voient dans l’économie une science de l’accumulation aussi ils s’interrogent sur la manière d’augmenter les richesses produites. Concernant la répartition de cette richesse

international si bien qu’un certain nombre de pays industrialisés le G20 ont commencé à réfléchir à une nouvelle régulation de l’économie international = nouvelle gouvernance de l’économie mondiale. Si une nouvelle régulation est mise en place et que les Etat reprennent la main on peut de demander si on va pas assister à une nouveau ré encastrement de l’économie dans le système. Au fond on voit bien que l’analyse économique du marché est inséparable de la question de l’organisation institutionnelle du

sensualisme, le subjectivisme plus évident pour aller vers l’abstraction du coût moyen de production dans la société des hommes : la théorie de la valeur travail est une théorie objective de la valeur. • Pour Sir William Petty, Adam Smith, David Ricardo, Karl Marx et beaucoup d’autres classiques, la valeur d’une marchandise ou d’un service dépend des coûts de reproduction nécessaires pour obtenir cette marchandise ou pour effectuer ce service : ne concerne pas le marché de l’art (= chose d’espèce)

l'histoire de la planète. La mondialisation n'est pas libérale. Il continue à avoir de barrières entre les nations. Les états continuent parfois de pratiquer le protectionnisme de façon parfois déguisée. La Chine est toujours concernée par un état qui contrôle l'économie. De nombreux pays ont des politiques économiques et sociales même si on a assisté à un discours libéral de la part de ces pays. La mondialisation n'est pas libérale sous un autre angle. Si on considère que la mondialisation

intervenir du tout dans le fonctionnement des marchés, cela conduit à un Etat mini qu’on appelle « l’Etat gendarme » cad que le rôle de l’Etat se limite aux fonctions régaliennes (police, justice, défense nationale, affaires étrangères). * « laisser passer » = libre échange. Smith pense que le libre échange est le moyen de repousser les limites du capitalisme mais à long terme, on doit cependant aboutir à un état stationnaire de l’économie. Pour Keynes l'épargnant a le choix entre investir son

car trop formalisée Elle s’est mathématisée et coupée de ses racines historiques. Aujourd’hui c’est la théorie néoclassique qui est dominante en microéconomie (recherche, enseignement) Prix nobels d’économie = néoclassiques Classiques : Smith, Ricardo Ils démontrent l’avantage du libéralisme économique avec une démarche nouvelle (néo) Les classiques se concentraient sur les groupes sociaux, les néo sur l’individu (individualisme méthodique). Théorie de la main invisible : dans une société sans

disponible non consommée correspond à l’épargne. V – La notion de sous-développement A – Termes utilisés PED : Pays en Développement Sud / Nord Périphérie / Centre le Tiers-Monde, terme géopolitique créé par Alfred Sauvy en 1952 en référence au Tiers Etat. B – Un monde peu différencié avant la révolution industrielle On situe la prise de conscience du sous-développement au début des années 1950 avec la Conférence de Bandoung en Indonésie en 1955. En 1962 eut lieu la Conférence de Nations Unies pour

les transformer : le meunier transforme le blé en farine et le boulanger transforme à son tour la farine en pain. » * Au moment de la révolution industrielle (1780 – 1880) Naissance d’un courant d’économiste : l’école classique (Adam Smith, Ricardo, JB Say, Malthus…). Smith donne une def de la richesse dans Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations, livre 2, chap 3 : « certaines des plus grave et les plus importante en même temps que certaines des plus frivoles professions :

La division du L dans la manufacture d’épingles permet d’être plus productif et par extension plus riche. Smith et Ricardo dans le théorème des avantages absolus. Ricardo prolonge avec celui des avantages comparatifs. Ces deux économistes sont d’accord sur la valeur L. Pour William Petty, on parle de quantité de travail incorporée dans une marchandise Smith et Ricardo distinguent le prix naturel (coût du travail) et le prix de marché (à combien est vendu un bien sur un marché). Le coût en

été posé par des auteurs tels que Smith et Ricardo, qui pressentaient tous deux la croissance comme résultant de l’accumulation du capital c’est-à-dire de la quantité des moyens de production mis à la disposition des travailleurs. L’augmentation de la richesse par tête provenait de celle du capital par tête cependant les classiques avaient une vision pessimiste du long terme : la croissance est destinée à disparaitre progressivement. Malthus et Ricardo prédisaient un épuisement de la croissance