Ricardo Etat Stationnaire

spécialisation . - D. Ricardo : → ouverture de l'économie n'est pas uniquement favorable à la productivité Mais surtout condition nécessaire à l'accumulation de capital ( Exemple du Corn Law auquel Ricardo s'oppose) . → Ricardo met l'accent sur la répartition du revenu national en contradiction avec cette loi → Loi qui entraine l'économie dans une spirale dépressive . → Loi du Corn Law = interdiction légale d'importer du blé en Angleterre → Plonge L'État dans une situation stationnaire . Abolition corn

absolus ou la théorie des coûts comparatifs ou des coûts relatifs (Ricardo), justifie l’échange international. • L’épargne est source de croissance et d’accumulation du capital. • L’État doit avoir un rôle minimal, cantonné à ses missions régaliennes (ordre, justice, administration publique). C’est le concept de l’État-gendarme. II. Thomas MALTHUS (1766-1834) • La loi des rendements décroissants (RICARDO) de la terre énonce que toute nouvelle terre mise en exploitation

et les effets d’apprentissage qui sont liés. Quelque soit son habileté dans ce domaine, un ouvrier ne pourrait faire qu’un seule épingle seul en une journée, alors que la division du travail permet une production journalière supérieure. -David Ricardo (1722-1823) économiste britannique : « La dynamique de la répartition» : Cela repose sur la représentation qu’il a sur la société anglaise de l’époque. Il existe selon lui trois types d’agents économiques : -Les ouvriers qui offrent leur force

économique grecque était écrite par des philosophes s’adressant à un public doté d’une solide formation philosophique, elle concernait les problèmes d’une cité-état démocratique reposant sur le travail des esclaves. Les philosophes grecs s’attardent sur l’échange de la monnaie car il fallait approvisionner la ville qui était une cité-état. Les penseurs grecs ont montrés une attention particulière pour les aspects éthiques du prêt à intérêts et pour la vie financière en général. • La pensée médiévale

douanières sur la moutarde et le roquefort. Automatiquement, les exportations françaises de ces deux produits ont diminué sensiblement et certains petits producteurs français ont connu de graves difficultés financières. Pour des raisons politiques, un Etat peut interdire les importations en provenance d’un pays. Les Etats-Unis utilisent parfois cette arme à l’encontre de pays jugés dangereux. Le blocus est l’ensemble des mesures visant à l’isolement d’un pays sur le plan économique. - Les mesures para-tarifaires

l'accumulation du capital (rôle de la division du travail avec l'exemple de la manufacture d'épingle) 2) RICARDO : accumulation du capital => augmentation de la demande de main-d'oeuvre => augmentation des salaires => démographie augmente => mise en culture de nouvelles terres moins productives => augmentation des prix => augmentation des salaires et de la rente => baisse des profits. On arrive à un "état stationnaire". Moyen de dépasser cela : vision du travail, commerce international. 3) MARX : rendements décroissants

LA DOCTRINE MERCANTILISTE 1) Présentation Ce n'est pas une théorie économique. C'est une pensée tournée vers l'action. C'est de la politique économique. Idée que la puissance d'un état passe par sa puissance économique. Cela signifie que: éco est indépendante de la morale éco est > à la politique 2) Objectif = enrichissement de tous: → la richesse devient la valeur suprême: la finalité de la vie sociale devient économique: l'enrichissement. La production de richesse doit augmenter,

système, il n'est que de relire les développements qu'il y consacre, dans Epochen der Dogmen-und Methodengeschichte. Un écrivain anglais, dans un article récent, a très justement montré les liens qui existent entre le système de Schumpeter et celui de Ricardo 1 ; et l'auteur, contrairement à certains de ses commentateurs 2, estime qu'il doit plus à Stuart Mill (et à Walras), pour sa conception générale de l'équilibre qu'à J. B. Clark. Le second groupe d'auteurs dans lequel J. Schumpeter a largement puisé

quantité de travail stable à long terme. Dans ce cas, seule une augmentation de capital peut faire varier la production. Or du fait de la loi des rendements décroissants, la productivité marginale tend vers zéro. A terme l’économie parvient à un état stationnaire. La croissance ne peut alors être provoquée que par une augmentation de la quantité de travail, considéré comme un facteur exogène, et par le progrès technique, perçu comme « une manne tombée du ciel » donc aussi comme un facteur exogène au

conçu « la théorie la plus statique que la science économique ait été capable de produire jusqu’ici » avouait « on ne sait rien de la théorie dynamique »( manuel d’économie politique, 1909). Tout au plus, les uns et les autres, depuis Smith et Ricardo voyaient ils dans l’épargne (« l’abstinence des propriétaires » de Mill) » le « moteur » de la croissance. La vérité est que la seule théorie fondée sur une analyse dynamique du capitalisme était celle de Marx et que peu nombreux étaient ceux qui