Ricardo Etat Stationnaire

doit aux choses qu’une hausse illimitée de la richesse et de la population extirperait dans le seul but de soutenir une population nombreuse mais non meilleure ou plus heureuse, j’espère sincèrement pour la postérité qu’elle se contentera d’être stationnaire avant que la nécessité ne la contraigne à le devenir. » ( Vers une croissance nulle - J.S.MILL – Principes d’économie politique (1848) ➢ « Si la croissance économique n’est pas synonyme de développement, une notion qui évoque des valeurs

publics différents suivant les époques. 1) La pensée antique et médiévale La littérature économique grecque, était écrite par des philosophes s’adressant à un public doté d’une solide formation philosophique. Elle concernait les problèmes d’une cité état démocratique reposant sur le travail des esclaves, tout naturellement les philosophes grecs se sont penchés sur des rôles de l’échange et de la monnaie, puisqu’il fallait approvisionner la ville. Platon s’est intéressé à la division du travail et Aristote

L’économie politique est une science sociale née principalement en Europe au XVIIIe siècle. Son émergence était conditionnée par un état de la science et de la société. Un état de la science parce que les sciences sociales sont nées après les sciences exactes et naturelles et sur le modèle qu’offraient ces dernières. Quant  à l’état de la société, il supposait qu’on puisse considérer les aspects économiques en soi, qu’on puisse identifier les questions économiques comme relevant d’une logique propre

l'école classique, écrivant pourtant au commencement de la révolution industrielle, pensaient qu'aucune croissance ne pouvait être durable, car toute production devait, selon eux, inexorablement converger vers un état stationnaire. C'est ainsi le cas de David Ricardo pour qui l'état stationnaire était le produit des rendements décroissants des terres cultivables, ou encore pour Thomas Malthus qui le liait à son « principe de population ». Toutefois, Adam Smith, à travers son étude des effets de productivité

production de richesse. A long terme, les profits des entreprises deviennent nuls c’est a dire que l’activité individuelle est proche de 0 pour l’entrepreneur « état stationnaire ». Tant que des entreprises réalisent des bénéfices, il y a de la concurrence; si l’entreprise vend au cout de production, elle ne fait pas de profits. David Ricardo et Thomas Malthus disent que dans certains contestes, une redistribution vers les salariés peut être soutenable pour stimuler la demande. Conclusion de l’intervention

spécialisant les quantités produites sont plus importantes que si chaque économie produisait les deux biens. Ricardo défend cette position en promouvant l’abolition des Corn Laws en Angleterre qui protégeaient les propriétaires terriens de la concurrence continentale, accroissant leur rente. Plus encore, l’économiste britannique craignait que la croissance s’épuise (état stationnaire) en raison de la rente différentielle. En effet, la pression démographique conduit à la mise en culture de terres

cryso-ethonismes = le bonheur par l’or. Cette doctrine préconise d’avoir par tous les moyens la possession de métaux. La possession de métaux consiste à détenir une quantité la plus grande que possible. La prospérité d’un état fait la prospérité d’un commerçant ce qui fait d’un état un état fort et puissant. Le mercantilisme est favorable à un type d’échange à un type d’échange. Le commerce est uniquement intéressant et à une condition qu’il permette de dégager un solde excédentaire, ce qui implique une

retrouve ds compta nationale => avec contenus différents. Production : combinaison des facteurs de X° (Kistique ds pays dvlppés). Choix de combi productive pour une meilleure efficacité productive (effets sur niveau de vie, tps de L, recettes Etat, profits entreprises, emploi)=> nouveau partage des gains de productivité (conflictuel) I - Une notion évolutive, plus ou moins extensive et mesurable… A/ La conception de la X° a varié historiquement dans la théorie économique… Le mercantilisme

à l’afflux de métaux précieux en provenance du nouveau monde et tente de formuler une loi selon laquelle le pouvoir d’achat des monnaies est inversement proportionnel à la quantité d’or et d’argent existant dans un pays. Cette loi, reformulée par RICARDO (1817) puis par Irving FISHER (1911), est connue sous le nom de théorie quantitative de la monnaie : M.V = P.Y M : masse monétaire V :  vitesse de circulation de la monnaie P : niveau général des prix Y : niveau de la production   3 - Les variantes

nationale est macroéconomique. Entre la microéconomie et la macroéconomie, certains auteurs parlent de maisoéconomie qui se situerait entre les deux. Ce serait l'analyse des grandes firmes internationales (pas une entreprise, mais pas non plus un État). Ainsi se pose le problème de savoir s'il faut considéré le tout avant le particulier, ou alors partir des individus pour expliquer la société. Certains économistes pensent qu'il y a un problème de passage entre la microéconomie et la macroéconomie