Richesse

Des critiques sont faites sur l'évaluation du PIB en tant qu'indicateur de richesse. L'une des parution les plus connu est celle de Dominique Méda qui dans « Qu'est ce que la richesse » expose le fait que le PIB ne donne pas l'état de répartition et des inégalités, ainsi que l'accroissement du PIB pas forcément le bien être d'un individu. Pourtant la croissance du PIB est l'objectif premier, comme dit D.Méda il est devenu le « veau d'or » moderne, une « formule magique ». Rappelons le, le Produit

si la définition de la générosité présenté par Aristote est valable. Selon moi, la définition aristotélicienne de la générosité est bonne, car il ne définit pas le généreux par la quantité de richesses distribuées, mais par l'état du donateur. Certains aspects comme un donateur n'ayant aucun bien ou richesse peuvent créer des confusions. Cependant, je continue de croire que la définition aristotélicienne est valable, car malgré le fait qu'Aristote mentionne que la générosité concerne les biens d'usage

les) autre(s) document(s) du dossier? 2. Construisez un plan détaillé pour répondre à la question : Le PIB est-il un bon indicateur de bien-être d'une population? Document 1 : Comparaisons internationales Document 2 : Le PIB est […] la somme des richesses créées sur le territoire du pays. En effet, tous les agents résidents sont producteurs de biens ou de services. Comme ces biens et services sont hétérogènes (tonnes de gruyères, nombre de camions, heures de cours …), l’évaluation de la production

ensemble de pratiques, marqué par la lutte contre la pauvreté et l'enchaînement d'actes de production, de distribution et de consommation d'objets considérés comme des biens ou des richesses (ensemble qui fonde une économie) des connaissances mises en œuvre au cours des actes relatifs à la pauvreté et à la richesse et transmises par des enseignements plus ou moins spécialisés (il y a une «science économique» et des économistes) L'économie se rapporte donc principalement à la question récurrente

TD n°4 : Le PIB est-il un bon indicateur? Plan proposé : 1ère Partie : Le PIB est un bon indicateur de la richesse matérielle d'un pays .... A - Le PIB permet de mesurer la richesse réellement créée dans un pays Argument 1 : Le PIB est la somme des valeurs ajoutées, ce qui évite des doubles comptes (doc 2 et 4 + cours) et permet donc d'avoir une mesure exacte des richesses. Argument 2 : Le PIB permet de calculer la croissance économique, qui est la mesure “officielle” du progrès

mondiale derrière les Etats-Unis d’Amérique. Le produit intérieur brut est l’indicateur de richesse utilisé par les pays du monde entier pour calculer leur croissance économique. Mais cet indicateur renseigne sur la situation économique d’un pays, sans prendre en compte certaines économies (souterraine, solidaire …) et il prend en compte les réparations écologiques en tant que richesses produites et non comme pénalité. C’est pour cela qu’il est intéressant de présenter le PIB

d'alphabetisation et taux de scolarisation) et pour un autre tiers d'un indicateur de niveau de vie ( le PIB/hab en Parité de pouvoir d'achat). La croissance est nécéssaire au développement : la croissance économique ( augmentation de la quantité de richesses créées ) enjendre l'augmentation des revenus distribués, celui ci provoque: - l'augmentation de la consommation des ménages => élévation du niveau de vie => augmentation du PIB par habitant - Le déplacement de la consommation des biens alimentaires

nouveaux indicateurs de la richesse des nations, fait 12 propositions pour mettre en place des indicateurs plus qualitatifs permettant de mesurer l’amélioration du bien être des populations et la durabilité de la croissance. Dans ce cas l’accroche répond à la question non : Le PIB est-il le seul indicateur pertinent pour mesurer le développement ? En septembre 2009, la commission Stiglitz, chargée, par le Président Sarkozy, de développer de nouveaux indicateurs de la richesse des nations, fait 12 propositions

intelligible : « nous devons résolument transformer le Cameroun en un CHANTIER DE L’ÉMERGENCE, c’est-à-dire en un pays qui CRÉE DES RICHESSES et les REDISTRIBUE DE MANIÈRE ÉQUITABLE ». On le voit, tout citoyen camerounais qui réussira à remplacer dans sa pensée le concept d’ÉMERGENCE par celui de "CRÉATION des richesses" d’une part, et celui de "REDISTRIBUTION ÉQUITABLE des richesses" d’autre part, commencera en réalité à s’imprégner de la vision présidentielle. Et au-delà de ce premier effort intellectuel

justices : > La justice distributive : quel est le critère de justice qui doit nous orienter dans la distribution primaire des richesses ? Elle suppose une distribution proportionnelle des richesses : à chacun sa juste part. Quelle est la juste part ? Cela suppose une distribution proportionnelle. > La justice commutative : les individus vont échanger leurs richesse, pour etre juste, la valeur de l’échange doit être équivalente (elles doivent avoir la même valeur). Plusieurs possibilités : A