Richesse

INTRODUCTION Dénommé la première fois par Adam Smith, le mercantilisme est un courant de pensée économique qui s’est étendu du 16ème siècle au 18ème siècle. Il marque une rupture avec les théories de l’Eglise, qui refuse l’accumulation des richesses et le prêt, en référence à la chrématistique critiquée par Aristote. Cette période mercantiliste reflète également l’apogée du principe d'Etat Nation par les monarchies absolues européennes. Non pas présenté comme une doctrine économique d’ensemble

des méthodes et des théories scientifiques dans le domaine de l’économie. Les idées émanent d’auteurs différents et portent sur la manière dont les hommes s’organisent ou doivent s’organiser pour produire, repartir, distribuer et consommer les richesses de la société. Schumpter dans « l’histoire de l’analyse économique » (1954) fait valoir trois arguments : -Les avantages pédagogiques : étudier les auteurs anciens permet de comprendre les problèmes économiques, comprendre leur importance et comprendre

Age, l’économie reste largement soumise à la morale. La richesse maternelle, l’accumulation de l’argent sont reprouvé par l’idéologie dominante qui privilégie la recherche du salut. L’intérêt de la capitale, assimilée à l’usure, est condamné par les théologiens qui se préoccupent de la recherche d’un prix juste et de la justice dans les échanges. La Renaissance voit la formation et le développement des états nations. Dans ce cas, la richesse apparaît comme nécessaire au développement du pouvoir du

interquintile du RDB y est plus faible (3,4 contre 3,8). Avec une socialisation de la richesse créée légèrement moindre qu’en France, la Suède obtient de meilleurs résultats en termes de lutte contre la pauvreté et de réduction des inégalités de RDB. m Question 3 Pour réduire les inégalités, l’État dispose de plusieurs moyens. Il peut d’abord agir sur les inégalités de revenus [résultant de la répartition] primaires [des richesses], en fixant un niveau minimum de salaire, voire en encadrant les rémunérations

la suivante : Après avoir présenté le document, montrez en quoi il traduit l’évolution générale de l’économie mondiale entre 1820 et 2000 ; mettre en évidence l‘intérêt historique de ce document ainsi que ses limites. Doc. 1 – Croissance des richesses et des revenus dans le monde (1820-2000) Angus Maddison, L’Economie mondiale 1820-1992, OCDE, 1995. Questions : Première partie : Présenter le document 1. Sujet, titre + nature + auteur et source + unités utilisées + bornes

Le développement est la capacité d'un état à produire des richesses et à satisfaire les besoins essentiels de la population. Il existe des inégalités à toute les échelles. Les besoins continuent à croître, il est donc nécessaire de mettre en oeuvre des modes durables de développement. 1) Un développement inégal A Les indicateurs : Le P.I.B est utilisé pour mesurer la valeur de la production à l'intérieur d'un pays ➞ La richesse. L'I.D.H qui combine l'espérance de vie montre le bien être

profilées à plus de 20 millions d'habitants ? Ville Pays population milliards d'hab) et l'Inde (1 milliard d'hab). La richesse des pays du Nord Les pays dits « du nord », industrialisés, développés et riches concentrent seulement 20% de la population mais produisent 90% de la richesse mondiale. Le Japon, la Canada, les USA et l'UE concentrent à eux seuls 80% de la richesse mondiale. L'Australie et la Nouvelle-Zélande, même situées dans l'hémisphère sud font partie des pays du nord. Les sociétés

économique qui mesure le niveau de production d'un pays ainsi que les richesses créées par les differents agents economiques que ce soit en terme de production marchande ou non-marchande. Le PIB est-il un indicateur "ideal" ? Le produit intérieur brut est un important indicateur de la richesse nationale et de la croissance, ceci dit il ignore d'inombrables facteurs. I. LE PIB Le PIB, produit intérieur brut, mesure la richesse créée par tout les agents economiques, durant un certain temps,

 Question 3 Qui produit les richesses ? 1-Que produit-on ? Document 1: Qu'est-ce qu'une production créatrice de richesses ? La production est une création de biens et de services destinés à satisfaire des besoins individuels ou collectifs. Pour être considérée comme créatrice de richesses, une production doit être le fruit d'un travail rémunéré et déclaré. Ce n'est pas le cas de la production domestique (passer l'aspirateur chez soi...) et de la production souterraine

FICHE DE LECTURE D’UN OUVRAGE SOCIOLOGIQUE - « Sociologie de la bourgeoisie » -Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot -Coll. Repères, Ed. La Découverte, 2000, 128 p. I. Idées principales Habituellement, le sens commun restreint l’idée de richesse à sa dimension matérielle. D’autres formes, le capital culturel et le capital social, détermineront la place dans la société. Cumulée, cette fortune se fonde sur la famille et le groupe. Elle reste méconnue dans sa structure, et dans son ampleur