Rideau de théâtre

statue il y a également un globe blanc (grelot) divisé en deux horizontalement. Il semble être fait dans la même matière que le buste de la femme. A côté de trouve aussi une feuille verte ondulée. En arrière-plan, un rideau rouge sombre délimite une partie du tableau. Le bord du rideau se prolonge par la raie de la chevelure, le nez, les lèvres, le menton et enfin par une éraflure sur le muret. Derrière, il y a un ciel bleu parsemé de nuages, et en dessous une mer azur et calme. La perspective du

sont susceptibles d’accueillir artistes, spectateurs, décors, ainsi que la machinerie pouvant les faire fonctionner. Gymnase, chapiteau, usine en friche, quai de gare, ascenseur, plein air, appartement… la scène ne se limite pas aux quatre murs d’un théâtre établi. Il est toutefois évident qu’un plateau pourvu d’un équipement de machinerie permanent et performant apporte un confort de travail et des gages de sécurité pour les équipes de techniciens et d’artistes. Ce document provient du site Internet

mimique : à travers son œuvre il met en scène deux personnages (Lui et Moi), dont l’un d’eux se met en scène (Lui, tel un comédien, jouera le rôle d’un proxénète séduisant une jeune fille, le rôle de sa femme, celui de musiciens…). Les thèmes du théâtre et de la musique sont très présents dans l’œuvre. Nous verrons par la suite qu’ils constituent une réflexion philosophique. Dans ce passage Lui imite un grand virtuose ce qui peut sembler paradoxal puisque ce protagoniste ne possède pas de

purger la société de ses vices. Il abandonne le théâtre profane après les représentations de Phèdre, qui se trouve en concurrence avec une pièce sur le même thème. Il se consacre alors à des tragédies religieuses. Jean-Louis Martinelli est un lyonnais. Ainsi, il fonde en 1977 le Théâtre du Réfectoire, puis dirige le Théâtre de Lyon. A partir de 1992, il devint directeur du Théâtre National de Strasbourg. C’est en 2002 qu’il prend la tête du Théâtre Nanterre-Amandiers pour mettre en scène des auteurs

texte présente le décor de l'acte I J'énonce l'idée directrice : 1. Le décor représente un lieu de rencontre et de discussion : un café, un dimanche midi ⇒ 2. Le décor est extrêmement précis ⇒ 3. Le décor est artificiel : c'est un décor de théâtre ⇒ Transition : AXE 2 : ce texte présente le personnage de Jean J'énonce l'idée directrice : 1. Jean s'habille de façon soigneuse ⇒ 2. Jean est de mauvaise foi ⇒ 3. Jean méprise Bérenger comme l'épicière méprise la ménagère ⇒ Transition

façon plus marquée encore, Edmond Rostand, dans l'ouverture de son drame Cyrano de Bergerac, nous présente un théâtre au lever du rideau. Ainsi nous pouvons nous demander dans quelle mesure le spectateur est partie prenante de la représentation théâtrale. Comment celui qui n'est au départ qu'un regard sur la pièce et le destinataire de l'œuvre devient-il une force active dans un théâtre conçu comme une création collective ? I. Le spectateur : un simple regard sur la pièce Si

pièce originale l’abaisser du rideau, c’est lui qui a modifié la pièce pour la transformer en scène tragique. Lors de l’abaisser du rideau, le spectateur se doute que la guerre va être évitée. Puis deuxième coup de théâtre Demokos a lui des répliques courtes qui s’enchaînent très rapidement, elles sont appelées Stychomythies avec un champ lexical de la guerre et des répliques plus courtes et don plus violentes. Hector le frappe de son javelot pour le faire taire : le rideau se baisse sur les paroles

Le théâtre grec se joue en plein air, dans un endroit choisi pour ses qualités acoustiques (capacité d’un lieu à laisser entendre les vibrations sonores), c’est pourquoi, même au dernier rang les spectateurs entendent parfaitement. Les gradins sont creusés à flanc de colline:c’est le théatron c’est-à-dire le lieu d’où l’on voit, aux premiers rangs ce trouvais les sièges d'honneur. Le spectacle a lieu dans deux endroits distincts : -L’orchestra en forme de cercle c'est la où se plaçais le choeur

sentiment fut presque douloureux : toutes ces lumières m’éblouirent, cette atmosphère chaude et embaumée m’étouffa… Tout mon sang reflua vers mon cœur et je fus près de défaillir… Mais, en ce moment, je sentis un peu de fraîcheur, on venait de lever le rideau. Je me tournai instinctivement, cherchant de l’air à respirer… C’est alors que j’entendis une voix… oh !… qui vibra jusqu’au fond de mon cœur… Tout mon être tressaillit… Cette voix disait des vers mélodieux comme jamais je n’en avais entendu… des

la mise en scène : Peggy Thomas et Quentin Simon Une coproduction de L!acteur et l!écrit, du manège.mons/Centre Dramatique de l!Atelier Théâtre Jean Vilar, du Festival de Théâtre de Spa. Avec la participation du Centre des Arts Scéniques, du Centre Dramatique d!Arlon et de l!Ecole de la Comédie Saint-Etienne Dates : du 27 janvier au 1er février 2009 Lieu : Théâtre Jean Vilar Durée du spectacle : 1h40 Sans entracte Réservations : 0800/25.325 Contact écoles : Adrienne Gérard - 010/47.07.11 - adrienne