Rimbaud Mémoire Versification Et Syntaxe

R évisions Introduction Fiches outils Sommaire des fiches outils Fiche 1 Périodes et mouvements littéraires p.7 Fiche 2 Les genres littéraires p.10 Fiche 3 Les registres p.13 Fiche 4 Figures de style et versification p.16 Fiche 5 Rédiger une réponse aux questions sur le corpus p.21 Fiche 6 Le commentaire de texte p.23 Fiche 7 La dissertation p.27 Fiche 8 L’écriture d’invention p.30 Révisions 5 Cned – Académie en ligne Introduction Ce cours est destiné aux élèves désireux à la fois

entre l’amour et le thème de l’illusion (titre, fin…) ; Fréquence des figures d’opposition, lexiques péjoratif et mélioratif abondants ; Thèmes amoureux : désir, prières, séduction (champs lexicaux) ; Registres alternés : pathétique et tragique ; Versification croisée (chiasmes formels et grammaticaux) … B. La problématique de l’analyse va alors émerger sous la forme d’interrogation(s). En effet, ce qui domine au terme de cette recherche correspond à ce qui a motivé la fabrication de l’œuvre en amont

Lycée franco-éthiopien Guebre Mariam / Année scolaire 2002-2003 Première ES http://www.weblettres.net/pedagogie/contributions/commentetudierversification22.doc COMMENT ETUDIER LA VERSIFICATION Il convient d’analyser cinq éléments : I - LA FORME : sonnet ode, pantoum, etc. II - L'ORGANISATION STROPHIQUE - L'unité strophique : quatrain, tercet, distique - La formule de l'unité strophique : vers isométrique (12 - 12 ...) vers hétérométriques (10 - 8 ...) III - LE METRE : alexandrin, décasyllabe

authentiques dans une société dominée par l’argent. » Mouvement gagné par le « mal du siècle » ? désillusion face au monde. Les grandes figures du romantisme : - Victor Hugo (1802-1885) : Hernani, Notre-Dame de Paris etc - Chateaubriand (1768-1848) : Mémoires d’Outre-tombe, Atala. - Alfred Vigny (1797-1863) : Les Destinées, Chatterton. - Alfred Musset (1810-1847) : On ne badine pas avec l’amour, Lorenzaccio etc. - Alphonse Lamartine (1790-1869) : Méditations poétiques. Caractéristiques du mouvement :

l’analogie. Elle désigne une chose par une autre qui lui ressemble ou partage avec elle une qualité essentielle, une similitude. La comparaison affirme une similitude, la métaphore la laisse deviner. « Je me suis baigné dans le poème de la mer. » (Rimbaud) « Tu as la tête ailleurs. » - Métaphore filée : métaphore ou comparaison continuée par la persistance du recours au champ sémantique qu’elle a initialement introduit dans le discours. L’effet visé est la suggestion d’images rapprochant deux réalités

les auteurs écrivent la même matière romanesque parce qu’ils sont euxmêmes qui sont derrière. Le « monologue intérieur » a d’importance. Un autre genre est le journal intime et les mémoires. Les mémoires mélangent l’histoire personnelle et l’histoire politique comme c’est le cas de Chateaubriand avec les Mémoires d’Outre-tombe. La poésie est le grand moyen d’expression de la subjectivité. Mais ils étaient meilleurs prosateurs que poètes. Malgré ça, la poésie est très présente au contraire du

spirituelle du monde et veulent trouver d’autres moyens d’expression pour dépasser la simple représentation réaliste. En réaction contre les certitudes matérialistes et scientifiques du naturalisme, les symbolistes revendiquent comme aînés Baudelaire, Rimbaud, Verlaine et Mallarmé (ce dernier devient le chef de file du mouvement). Les symbolistes utilisent généralement des images et des analogies2 pour évoquer le monde, suggérer les états d’âme et les idées abstraites sans les expliciter alors que la pensée

expression qui fait référence à ce qui vient d’arriver, le risque courut par Alceste, il se met en péril - Scène de transition qui se caractérise par un dialogue vif, l’alexandrin est brisé à 3 reprises, accélération du rythme. On remarque une syntaxe, avec des phrases très brève et elliptique (faire exprès de ne pas dire ex : « si je » vers 447), nominale (ex : vers 444 »plus de société), expéditive. Prépondérance du mode de l’impératif (ex : « ne me parlez pas… laissez-moi). 2ème

patentes de l’influence de son illustre aîné. Il lui emprunte aussi le lexique (complice, à neuf, encens, ranci, fleurs, rajeuni, enroué, Te Deum, rides, le remords est dans l’amour pour le seul « Nervermore ») et un certain nombre de procédés de versification. Répétitions, refrains, bouclages Ce qui a surtout marqué Verlaine chez Baudelaire, ce sont les phénomènes de répétition omniprésents dans ses poèmes. Quand il lui rend hommage dans L’Art du 16 novembre 1865, c’est ce trait de style qu’il souligne

une introduction et une conclusion à votre lecture. ➠ Reportez-vous au corrigé de l’exercice n° 1 à la fin du chapitre. 24 Séquence 6 – FR10 © Cned – Académie en ligne Point méthode 1 Règles de versification a) L’alexandrin Il s’agit du vers le plus long dans la versification traditionnelle française. Il remonte à un poème épique de la fin du XIIe siècle, Le Roman d’Alexandre, qui lui a donné son nom et est utilisé pour tous les genres «nobles» : épopée, tragédie, puis poésie lyrique