Rimbaud Voyelles Analyse

impressions, sensations, réalité supérieure, opposé au scientisme et au matérialisme EXERCICE Mettez les auteurs des siècles précédents dans la bonne colonne: Victor Hugo, Mallarmé, Racine, Zola, Corneille, Baudelaire, Verlaine, Flaubert, Rimbaud, Balzac |classicisme |romantisme |réalisme / naturalisme |symbolisme | |17ième siècle |18ième siècle |19ième siècle

précis projeté. » Romances sans paroles fut édité en 1874, pendant son emprisonnement. Mais Verlaine l’a écrit au cours de ses voyages avec Arthur Rimbaud. Écrit sur une période d'à peu près un an, ce recueil se divise en quatre parties. La première, les Ariettes oubliées, est écrite avant leur départ. Paul Verlaine est partagé entre sa femme et Rimbaud, ce qui explique pourquoi il est difficile aujourd'hui de savoir à qui il s'adresse dans ces poèmes. La seconde, Paysages belgesrelate l'été 1872

nous sembler difficile d’accès car le choix même des symboles est personnel et diffère d’un auteur à l’autre. Une part de la personnalité du poète est révélée par ce choix : il parle donc de lui. Comme Rimbaud dans cet extrait du poème Voyelles. A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles, Je dirai quelque jour vos naissances latentes […] La poésie décrit une vision figurée et intuitive du monde. La réalité est d’abord « filtrée » par la poésie et l’écriture du poète. Le poème

l’accentue pas. On parle de e caduc ou e muet en fin de vers, mais aussi devant une voyelle ou un h muet, devant quoi il s’élide. « Pré/ten/dai/t a/rri/ver/ san/s en/com/br[e] à/ la/ vill[e] » (La Fontaine) = 12 syllabes En revanche, le e se prononce devant une consonne ou un h aspiré. « J’im/plo/re/ ta/ pi/tié/, Toi,/ l’u/ni/que/ que/ j’aim[e] » (Baudelaire) = 12 syllabes Diérèse ou synérèse ? Quand deux voyelles se suivent dans une syllabe, elles peuvent être prononcées de deux façons ; l’usage

l’accentue pas. On parle de e caduc ou e muet en fin de vers, mais aussi devant une voyelle ou un h muet, devant quoi il s’élide. « Pré/ten/dai/t a/rri/ver/ san/s en/com/br[e] à/ la/ vill[e] » (La Fontaine) = 12 syllabes En revanche, le e se prononce devant une consonne ou un h aspiré. « J’im/plo/re/ ta/ pi/tié/, Toi,/ l’u/ni/que/ que/ j’aim[e] » (Baudelaire) = 12 syllabes • Diérèse ou synérèse ? Quand deux voyelles se suivent dans une syllabe, elles peuvent être prononcées de deux façons ; l’usage

Initiation à l'analyse littéraire. — Charbonneau, Johanne ; et al. — Boucherville : Gaëtan Morin Éditeur,1996. — ISBN 2-89105-606-X Les fleurs du Mal. — Baudelaire, Charles. — Pössneck : Librio, 1995. — ISBN 2-277-30048-9 Le bateau ivre. — Rimbaud, Arthur. — Pössneck : Librio, 1995. — ISBN 2-277-30018-7 Des ressources sur l'enseignement de la poésie au secondaire, par exemple: Perspectives 5e Images et mots. — James Rouselle et Michel Monette. — Montréal : Centre éducatif et culturel inc

référentiel ordinaire du langage commun : au lieu de dénoter, les mots connotent et nous autorisent à une analyse symbolique. LES RIMES DEFINITION Deux mots riment ensemble quand leur dernière voyelle sonore, et éventuellement les consonnes qui la suivent, ont le même timbre : espoir / soir barbu / pointu Il s'agit donc ( entre deux ou plusieurs mots ) d'une homophonie de leur dernière voyelle tonique ainsi que de tous les phonèmes qui, éventuellement la suivent. REMARQUES 1 - Bien qu'un "e" muet

de mot que l'on prononce pas REGLE DU E MUET Dans le vers e muet suivi d'une consome donc le E muet est prononce le E muet compte Dans le vers e muet suivi d'une voyelle le E muet ne se prononce pas donc il ne compte pas DIERESE : Découpage en deux parties d'une diphtongue fu rieux dierse ( fu ri eux ) ce sont deux voyelle qui se suivent qui sont prononcé séparément Les rimes A)Genre *Rimes féminines est une rime qui termine par un e muet, *Rimes masculines c'est tout le reste B)

III. Ecriture et stylistique Après avoir exposé les principaux traits de la vie d’Arthur Rimbaud et de Jim Morrison, nous allons maintenant nous intéresser à la technique d’écriture utilisée par les deux poètes. Auteur du XIX° siècle, Rimbaud à une écriture assez conventionnelle à ses débuts, mais étonne par la suite à cause de sa poésie « libre ». C’est sûrement cette « bouffée d’air » dans la poésie de l’époque, - qu’il trouvait trop classique - , qui valut au poète d’être considéré par les surréalistes

être compté. Il ne compte pas en fin de vers ou s’il est suivi d’une voyelle ou d’un h muet. Parfois, il faut compter deux syllabes pour deux voyelles habituellement prononcées en une seule syllabe : c’est la diérèse (« division »). Dans le vers suivant, il faut prononcer vi-olon : - Le vi-olon frémit comme un cœur qu’on afflige. (Baudelaire) - L’ennui, fruit de la morne incuri-o-sité, (Baudelaire) Parfois, il faut lier deux voyelles que l’on prononce habituellement séparément : c’est la synérèse («