Rire Exutoire

expression au début de plusieurs vers ou phrases. Exemple : « Que tu es belle, ma bien aimée, Que tu es belle! Cantique des Cantiques » 2. L’hyperbole : on emploie des termes exagérés pour frapper l’imagination du destinataire. Exemple : « être mort de rire ». 3. La gradation : on fait se suivre dans une même phrase ou un même vers des termes de plus en plus forts. Exemple : « Va, cours, vole et nous venge! » 4. L’énumération : Succession de termes ou de groupes de mots qui donne une impression de quantité

tout blond avec des taches de rousseurs qui était devant lui se mit à rire, à rire, à rire tellement qu’il était plié en quatre, les mains sur les côtes. Jamais Nono ne s’était vu faire cela, il regarda ce garçon qui, tout en rigolant, le montrait du doigt en se moquant de lui. Nono fit un pas en arrière et s’apprêta à prendre les jambes à son cou, quand le petit garçon dans le miroir l’interpella soudain entre deux éclats de rire. - Eh ! Nono, tu as peur de toi ! Toi qui fait si souvent le fier,

interlocuteurs. « Ce n’est pas pour maintenant … » parvint-elle à articuler. Sa voix, à peine audible, les avait fait taire ; tous, sans exception. Puis, peu à peu, ils s’étaient mis à rire ; une personne, puis deux, puis trois … chacun riait à gorges déployées de ce rire arrogant et malsain, celui qui vous fait comprendre, et ce rire, elle l’avait compris.

ne comprend pas les subtilité de Dorine alors que le spectateurs les comprends. Dorine est satisfaite et le public aussi. En conclusion l'on aurai put attendre une apparition de Tartuffe plus glorieuse mais enfaite c'est un mauvais acteur qui fais rire le spectateurs pas son ridicule, provoqué par la ruse de Dorine et la finesse de Molière. 

portait un masque qu'il ne peut pas enlever. -G. ne peut s’empêcher de rire, c'est comme si il avait un masque car il ne peut pas montrer ses émotions; l.11 "on lui avait à jamais appliqué le sourire sur le visage"; l.7 "sa face riait, sa pensée non" B) L'effet donné par G. aux spectateurs. -G. est un artiste; l. "saltimbanque" qui a été "façonné" uniquement pour être vu par des gens; l.16 "il se fait voir en public" -G. fait rire les gens juste en se montrant; l.6 "il guérrisait les hypocondries

_ Sarah : Ah, tu es enfin arrivée. Tu es en retard. _ Moi : Je me suis rendormie. _ Sarah : Alors, tu as survécu au sourire ravageur de ton beau Guillaume ? _ Moi : À une minute près, je rougissais. Si ce n'était pas déjà fait. _ Sarah : (petit rire) Il n'y en a pas deux comme toi. _ Moi : Ou plutôt, pas deux comme lui. Regarde-le, avec ses cheveux châtains tirant vers le blond, qu'il recoiffe sans arrêt avec sa main. Et tu as déjà vu ses yeux bleus ? Accompagné de sa gueule d'ange. Il est vraiment

1 : * Le rire est d’autant plus fort que le groupe est important * Opposition entre un individu isolé, impréparé et un groupe soudé socialement. * Le ridicule du jeune Charles en fait une cible pour l’ensemble de la classe * Le groupe rit au détriment de l’individu isolé socialement Doc2 : * Le rire est contagieux, il se propage corporellement * Le rire vise ceux qui sont différent, soit par le statut sociale soit par la couleur de peaux ou l’identité * Le rire n’est pas

A la question "Peut-on rire de tout ?", Pierre Desporges répondait "oui, mais pas avec tout le monde". Humoristiquement correct Pour Emmanuel Pallas, humoriste et auteur d'un spectacle sur le sujet, "Le temps des Coluche et Desproges est révolu. Aujourd'hui, ils ne passeraient nulle part". D'ailleurs, on assiste à un renforcement de certaines limites. Car l'humour évolue avec la société. Ainsi, on a vu se multiplier depuis plusieurs années les actes antisémites et racistes. Le nécessaire durcissement

Le rire est une pratique courante et spontanée de l’homme. Bien souvent il présente des vertus thérapeutiques, et de ce fait génère des effets bénéfiques sur l'homme. Mais il n'est pas sans risque qu’il puisse porter atteinte aux individus. Les documents du corpus nous montrent qu'en effet le rire contre autrui a une place importante dans les rapports sociaux. Alors que Gustave Flaubert dans son roman « Madame de Bovary » suivi par Dely Denaud avec l’article « Contrairement à Dieudonné, Coluche

qu’il est impossible de recréer chez soi: une foule d’inconnus, ses murmures, ses éclats de rire, l’obscurité de la salle, les rideaux qui se tirent, les rangées de sièges, les trois coups, parfois même une rencontre avec les acteurs, l’entracte… en bref, une atmosphère singulière qui démultiplie les émotions ressenties du spectateur. Ainsi, le simple sourire du lecteur de la scène, fera place au fou rire du spectateur découvrant Scapin, roué de coups, enfermé dans son sac. Chaque représentation