Rire Pour Corriger Critiquer Dénoncer

Corrigé du commentaire littéraire Durant l’année 1678, alors sous la protection de madame de la Sablière, chez qui il réside, La Fontaine a l’occasion régulière de rencontrer bon nombre de personnages de la cour. Il écrit cette même année un second recueil de Fables, jugées beaucoup plus spirituelles, mais aussi plus engagées politiquement. On trouve au livre VIII de ce recueil une fable intitulée « Les obsèques de la Lionne ». Il s’agit de la fable 14, dont la construction en vers et achevée

aussi capable d’actions généreuses : Arnolphe ne donne-t-il pas trop librement son argent à Horace ? Et puisque c’est le personnage ridicule de la pièce, fallait-il lui faire faire l’action d’un honnête homme ? demande le pédant Lysidas, dans La Critique de l’École des femmes (Sc. 6). Molière, par la bouche de Dorante, a beau jeu de répondre qu’il « n’est pas incompatible qu’une personne soit ridicule en de certaines choses et honnête homme en d’autres ». Et plus loin, notre poète prend soin, tant

littéraire : comédie (selon Larousse:Pièce de théâtre destinée à provoquer le rire par le traitement de l’intrigue,la peinture satirique des moeurs,la représentation de travers et de ridicules) pourquoi une comédie:met en scène des personnages ordinaire qui vivent une vie normale,des personnalités exagérée, se moque des comportements humains afin de les corrigés,elle fait rire et le dénouement est généralement heureux,critique du comportement humain par des personnages ou l’on va exagérer certain aspect

roi ou le seigneur. Il constatait les infractions éventuelles et pouvait dresser des procès-verbaux.) Lors de ses tournées, il observait le comportement des animaux. Cela l'inspirait pour écrire des fables. La Fontaine utilise des animaux pour critiquer les hommes : derrière le lion se cache le roi, etc. En 1658 il s’est installé à Paris et a commencé à fréquenter les salons littéraires. Sous la protection de Nicolas Fouquet, ministre des Finances de Louis XIV, il publie les Contes et Nouvelles

tragédie qui veut instruire par le spectacle de la terreur et de la pitié (la catharsis : le fait de se purifier de ses propres angoisses et ressentiments) Molière veut instruire en divertissant ‘’ plaire et instruire’’. La comédie tend donc aussi à corriger et édifier, mais par le rire.L’une des contributions de Molière permettant à la comédie d’atteindre ses lettres de noblesse est de savoir inventer ‘’la comédie-ballet’’ en collaboration avec le compositeur de la Cour ‘’Lully’’. La comédie connaît

de la scène 3 : réalisme, jeux de mots, exagérations. Comment réagit le spectateur ou le lecteur ? La longue réplique de Gorgibus (l. 6-12) nourrit le comique de mots à travers une série de procédés amalgamés les uns aux autres dans le but de faire rire le spectateur : - réalisme du vocabulaire : « pendardes...brimborions...usé le lard d'une douzaine de cochons...pieds de moutons » ; - jeux de mots : « c'est trop pommadé » ; - exagérations : « une douzaine de cochons...quatre valets ». Genres

liberté du metteur en scène). + mise en scène 2 + dénonce l’imposibilité ds laquelle se trouve le valet 2 dire ce qu’il pense : sa condition 2 valet le contraint au silence. Farce 2 maître Patelin, anonyme, M.A ( SATIRE 2 la justice. Pierre Patelin, avocat, parvient à voler à 1 marchand 2 draps et à faire acquitter 1 berger malhonnête sans être inquiété par le juge qui se laisse berner par ses habiles paroles. ) Tartuffe, Molière (Dénonce des Faux dévots : attitude hypocrite 2 ceux qui simulent

soit abba aba abbaa soit cdcd dccd cdcc. • Les vers sont des octosyllabes. 3/ La ballade Ballade du dernier amour Mes souvenirs sont si nombreux Que ma raison n’y peut suffire. Pourtant je ne vis que par eux, Eux seuls me font pleurer et rire. Le présent est sanglant et noir ; Dans l’avenir qu’ai-je à pousuivre ? Calme frais des tombeaux, le soir !... Je me suis trop hâté de vivre. Amours heureux ou malheureux, Lourds regrets, satiété pire, Yeux noirs veloutés, clairs yeux bleus

monde, et corriger les vicieux. » De la même manière, au livre X, après qu’il fut sorti du château du gouverneur où on l’a pris pour le goutteux qui a semé le tumulte dans la ville, il est expliqué qu’il se sort de tous ses malheurs car il est tourné vers le bien. Aussi, au même livre et dans celui qui le précède, Francion étant pris tantôt pour un trompette, tantôt pour un mage noir, désire se rendre utile à la communauté villageoise en usant de ruses et de stratagèmes pour dénoncer les femmes

avec lesquelles nous allons entrer en discussion dans une délibération, solitaire (monologue délibératif) ou collective (dialogue). Pour convaincre, celui qui argumente fait appel à la raison, aux facultés d’analyse et de raisonnement, à l’esprit critique du destinataire pour obtenir son accord après mûre réflexion. Il formule une thèse2. Il s’aide d’arguments, c’est-à-dire des éléments de preuve destinés à l’étayer ou à la réfuter. Ces arguments sont eux-mêmes illustrés par des exemples variés