Rire Schopenhauer

l’énonce Rabelais  « le rire est le propre de l’homme ».Ainsi le rire est donc un constituant inhérent à l’homme et revêt par conséquent la forme qu’on lui donne. De ce fait nous pouvons nous demander si le rire est un bon moyen pour dénoncer les travers de la société. Nous verrons donc le rire comme un acte naturel qui peut être transformé en une véritable arme. I- Un acte naturel, Inné A- Définition du Rire B- Un constituant propre a l’homme C- Les fonctions du rire II- Qui devient

Jo’ tu ne vas pas porter ça devant toute la population féminine et ultra sexy de « A la ville ». Une idée vient de me traverser l’esprit !.. Et si grâce à mon super costume, j’attirai toutes ces femelles qui font leurs courses. Oui, car je les ferai rire aux éclats et puis comme disait ma grand-mère ( d’une voix de personne agée ) «  Femme qui rit, femme à moitié dans ton lit ! » Je suis fier de cette idée géniale … Attendez, si je fais ceci, je suis infidèle à ma Josiane ! Et mince ! Que faire, que

c’est au diable qu’on attribuait plutôt le rire. Mais aujourd’hui, celui-ci est réhabilité, au cœur même du religieux. Il ne s’agit donc pas dans ce numéro de la satire religieuse, mais du rire des croyants. Y a-t-il un concept théologique de l’humour qui traverse les religions ? Quelles en sont les formes d’Orient en Occident et d’hier à aujourd’hui ? Cette exploration dans le temps et l’espace fait l’objet du recueil. Au sommaire : B. Sarrazin, "Le rire et le sacré d’Orient en Occident" ; J. Deperne

défauts de prononciation… c'est le comique de mots coups, chutes, grimaces… c'est le comique de gestes personnages naïf, coléreux, avare, malade… c'est le comique de caractère quiproquos et malentendus …c'est le comique de situation la farce fait rire par tous les moyens, même les plus simples (coups de bâton, gestes et mots grossiers..)

vérité, il ne pense qu'à nous faire rire. Le théâtre n'est pas un moyen, c'est un but. La comédie n'a pas sa fin hors d'elle-même, dans une moralisation par le rire à laquelle personne ne peut ajouter foi [...] : elle est une création autonome qui se justifie par sa seule existence, par la force avec laquelle elle s'impose au spectateur. » (Paris, Mercure de France, 1992, p. 32). En effet, du point de vue du critique, le dramaturge « ne pense qu'à nous faire rire », sans se soucier de la morale, et

Je serais maintenant capable de jouer avec n’importe quelle situation imprévisible… ou presque! « Si pour certains, l’intégration s’est faite en douceur, pour d'autres, la tâche a été plus ardue. Malgré tout, chacun a eu ses moments de fou rire et d’allégresse. »[3] Pendant la première semaine qui suivit le retour, je comprenais tranquillement que j’avais appris beaucoup de ce stage. J’avais énormément développé ma sensibilité face aux pays en voie de développement. Aussi, j’avais

cacher et de sortir vivant de la guerre - culpabilité envers les autres juifs déportés, ceux qui sont revenus et ceux dont on attend encore le retour. De tableau en tableau, au rythme des saisons et des années, l'intensité dramatique augmente et le rire se fait " pleurire ". Aux côtés de cette femme en quête incessante de l'acte de décès de son mari, aux prises avec ses difficultés pour survivre à la disparition, s'effectue la prise de conscience d'un passé plus ou moins occulté. Dans ce monde immuable

Cette nuit là Sade rêvait qu'elle répondait au téléphone dans le bureau de papa. La voix est celle de Donna. C'est un rire nerveux, la menaçant avec Marcia et son frère. Papa saisit l'intérupteur mais la voix n'est plus là. 'Les tyrans sont lâches!' Il dit en renvoyant, Il y a un coup féroce à la porte. Joseph court pour l'ouvrir et maman se dépêche derrière lui. Marcia est debout là, indiquant Sade. C'est elle ! Elle appelle sur son épaule. Deux fissures pointues se brisent dans l'air. Elle entend

oublier ses soucis est recherché par beaucoup et le rire semble être le moyen le plus efficace. C’est pour cette raison qu’il est devenu aujourd’hui une industrie en plein essor.Le film Bienvenue chez les Ch’tis de Dany Boon, sorti en 2008, est l’exemple le plus frappant de ces dernières années. Mais il n’y a pas que le cinéma : Nathalie Simon dans son article publié dans Le Figaro du 23 avril 2010 et intitulé « De Gad Elmaleh à Florence Foresti, le rire fait recette », fait le tour du commerce du comique

introduit dans un monde magique fait de conventions, dont il sait qu'il est conventionnel. Le fantastique produit l'angoisse, car il est à la lisière du naturel et du surnaturel. • Ironie : dénonciation au second degré de quelque chose ou de quelqu’un, le rire étant alors chargé d’un rôle destructeur, méchant ; v. persiflage, sarcasme, dérision. • Lyrique : ton de l’expression des sentiments personnels ; évocation exaltée de sentiments communs à tous les hommes. • Pamphlet : écrit satirique d’actualité