Rivage

immense, elles portent dix Romes de couvents et d'églises, de maisons et de rues, de palais avec blasons ou de commanderies ; Dix Romes par les armes et les lettres, par la justice si droite, et par cette Fondation de la Miséricorde, honneur de ce rivage, qui serait un honneur pour notre Espagne aussi, et même un exemple. Ce que je loue le plus dans la ville orgueilleuse, c'est que de son château, à six lieues à la ronde, on voit soixante endroits avec la mer à leurs portes ; l’un d’eux est le couvent

verdoyant en trois plans de profondeur. Un rivage, un lac et l'autre bord du rivage qui se perd dans une chaine de petites montagnes. Une ligne verticale sépare en deux le tableau avec une dynamique transversale de l'avant droite à l'arrière gauche avec une bande ouverte suivant la transversale. Le paysage est celui d'une nature relativement construite par l'homme, une architecture humaine stabilise la composition à l'arrière plan, de l'autre côté du rivage. Les personnages sont répartis en petits

et quitta l'ile. Malheureusement Poséidon, le dieu de la mer, qui n'aimait pas Ulysse, déclencha une terrible tempête. Le radeau fut disloqué et Ulysse fut projeté sur le rivage. Il échoua sur l'Ile du roi Alkinoos, roi du peuple phéacien. Il fut découvert par Nausicaa, la fille du roi Alkinoos, venue sur le rivage faire la lessive avec ses compagnes. Découvrant Ulysse, elle le réveilla et lui conseilla de se rendre au manoir de son père où il serait bien accueilli. Au cours de la soirée

modèle exquis et pur qui lui permet de représenter pleinement les grâces et les mystères du corps féminin. La déesse se tenant debout sur une coquille Saint-Jacques légèrement stylisée quitte le monde marin originel et est poussée en douceur sur le rivage (certainement l'île de Cythère). Elle est accompagnée par une pluie de roses, symbole de l’amour et de la connaissance. Zéphyr enlacé par la personnification de la brise Aura, soufflent ensemble sur la belle. Ils sont tous les deux ailés, l’un paré

région. Certains pensent que cela favorise le tourisme mais d’autres, comme les nationalistes, s’y opposent durement puisque pour eux cela revient à bétonner les plus beaux rivages de Corse. La loi Littoral ne se résume pas à interdire les constructions dans la bande des 100 mètres. Elle protège aussi les espaces proches du rivage (jusqu'à la première ligne de crête) et les espaces remarquables par leur intérêt écologique. Dans ces zones, on ne peut pas, en théorie, construire de villa isolée ni d’hôtels

la trace ? » (v. 43)  Traduit son désespoir devant ce constat d’impuissance C.B. : L’homme subit le joug impitoyable du temps. C. Il constate ses effets néfastes 1. Métaphore filée + allongement du vers dû aux fréquents enjambements a) « nouveaux rivages » (v. 3), « emportés sans retour » (v. 4), « l’océan des âges » (v. 5), « Coulez, coulez » (v. 28) b) toutes les strophes où l’on entend la voix du poète, évident dès les premières strophes  Analogie avec l’eau dévoile la nature fuyante du temps

est développée à travers plusieurs expressions d’un texte, on parle de métaphore filée «  Ainsi, toujours, poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges Jeter l’ancre un seul jour ? » (Lamartine) Métaphore filée de la vie humaine comparée à un voyage en mer à travers les termes rivages, emportés, océan et jeter l’ancre Personnification Attribution à une chose/animal les caractéristiques d’une personne humaine

J'ai fondé une cité illustre, j'ai vu mes propres murailles, j'ai vengé mon époux, et obtenu la punition de mon frère, mon ennemi. Que je serais heureuse, trop heureuse hélas, si seulement les navires des Dardaniens n'avaient jamais touché  nos rivages ! » Elle dit et, pressant ses lèvres sur le lit : « Nous mourrons invengée » 4, 655 sed moriamur » ait. « Sic, sic iuuat ire sub umbras : hauriat hunc oculis ignem crudelis ab alto Dardanus, et nostrae secum ferat omina mortis. »   Dixerat ; atque

qui nous enivre, Tes jours, moins beaux que tes nuits, Tes champs, où Dieu voudrait vivre S'il quittait son paradis. Autrefois ta souveraine, L'Arabie, en te fuyant, Laissa sur ton front de reine Sa couronne d'Orient ! Un écho redit encore À ton rivage enchanté L'antique refrain du Maure : Gloire, amour et liberté ! Gérard de Nerval est un auteur romantique français du XIXème siècle, féru de littérature allemande, c’est lui qui s’est occupé de traduite « Faust » de Goethe. Il fréquente assidument

qui délimite le cadre spatial de la rêverie en même temps qu'il le présente :"Quand le lac agité ne me permettait pas la navigation je passais mon après-midi à parcourir l'île" (l.1) qui borde le lac, il parle de "parcourir des yeux [le] lac et ses rivages couronnés d'un côté par des montagnes […] et de l'autre élargis en […] plaines" (l.5 à 8) , et qui semble régir l'ensemble des journées de Rousseau. Le lac se définit également comme un thème annonciateur du romantisme (cf : Le Lac du poète Lamartine