Rivers

coureurs du bois, Pierre Radisson and his brother-in-law Medard Chouart des Groseilliers, were the first Europeans to penetrate deep into the forest region of the north, negotiate with the Cree and explore the sources of the Mississippi and the Missouri Rivers. “They had actually travelled by river from Lake Superior to the shores of Hudson Bay, and that the Bay gave access to the richest fur-bearing regions of North America” (Woodcock, 1970, p19). In 1660, their large quantities of furs were confiscated

le niveau de production qui permet d’employer toute la population active. Cette condition peut aussi etre exprim´ e en termes de taux de croissance (d´ riv´ e logarithmique) ˆ e e e ln (λYt ) = ln (Nt ) ln (λ) + ln (Yt ) = ln (Nt ) ln (Yt ) = ln (Nt ) − ln (λ) = ln (Nt ) + ln (1/λ) En derivant les deux membres de cette egalit´ , on obtient les d´ riv´ es logarithmiques donc, des ´ e e e taux de croissance ˙ ˙ Yt Nt (1/λ) gn = = + Yt Nt (1/λ) ˙t Y gn = = δ + Yt 9 · (2.10) o` δ est le taux de

avais demandé à voir le pasteur. « Alors, repris-je, c'était ici la maison de son père ? – Oui, le vieux M. Rivers demeurait ici ; et son père, son grand-père et son arrière-grand-père y avaient demeuré avant lui. – 540 – – Alors, le monsieur que j'ai vu s'appelle M. Saint-John Rivers ? – Oui, Saint-John est comme son nom de baptême. – Et ses sœurs s'appellent Diana et Marie Rivers ? – Oui. – Leur père est mort ? – Il y a trois semaines. Il est mort subitement. – Ils n'ont pas de mère

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69 69 69 74 76 79 8 Le discret et le continu 86 8.1 Les op´rateurs de sommation et de d´rivation discr`tes . 86 e e e 8.2 L’op´rateur ”d´riv´e seconde” . . . . . . . . . . . . . . . . . 87 e e e 8.3 La succession de 2 d´riv´es premi`res est-elle une d´riv´e e e e e e seconde ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 91 8.4 L’´quation des ondes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92 e 9 Annexes 9.1 Annexe : Le produit

12 2 www.L es-M athematiques.net 1 1.1 Equations diff´ rentielles e Introduction — d´ finitions g´ n´ rales e e e ´ ´ Une equation diff´ rentielle (ED) d’ordre n est une equation faisant intervenir une e ´ fonction y ainsi que ses d´ riv´ es y (k) jusqu’` l’ordre n. Par exemple, une telle equation e e a ˆ pourrait etre 1 y (t) = 2.y(t) ou y = x2 y − 5 x . 2 Dans le 2e exemple, il est sous-entendu que y est fonction de x, ou plutˆ t que x signifie o ´ l’application id = (x → x) : c’est

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urbain. Ces membres sont César, Dufrêne, Hains et Arman. Ils sont tous assemblagiste et faisaient des collages souvent en 3 dimensions. Ces derniers comme les Néo Dadaïstes sont des précurseurs du Pop Art américain : Rauschenberg, Jasper Johns et Larry Rivers. Leurs activités s’étendent essentiellement de 1960 à 1963 (voir ligne 129 à 148).Les néo dadaïstes étaient considérés comme des artistes manquant d’originalité car ils représentaient simplement des objets de la vie quotidienne. Ils ont été blâmés

`¸ ˚† ¢ •¤ · § ‡ [ ˆ ]‹ ´ ¡⁄ ˛ › ł , 1992 ˜Œ , † –ø¨ º , ¶ ˆæ•¤ •¤ ˇ ˜ ¡ 169 ‡ ¡£ – …—˛ ¡•, —„œ ‡ ¢ R ene D avid, T he civ il cod e in F rance tod ay , L ou isiana l L aw R eview 34 ( 1974). of Com p a ra tive L aw , 1994. p riv d ¡aujou rd ¡hu i , 1959, pp. 526. ¢ J. H a lp erin, L ¡Im p ossible C od e civ il , 1992, pp. 56257. ¢ R. Sava tier, L es M tam orp hoses conom iques et socia les d u d oit ¡⁄ 179 ¡⁄ ¢ J. Go rdley, M y ths of the F rench C iv il C od e, the Am

Supposons de plus qu’en dehors d’un ensemble n´ gligeable la fonction t → f (t, x) soit d´ rivable sur I et e e ∂ e e e que | ∂t f (t, x)| ≤ g (x) pour une fonction int´ grable g , alors la fonction h d´ finie ci-dessus est d´ rivable ∂ sur I, et sa d´ riv´ e est ∂t f (t, x)µ(dx). e e Preuve. Noter d’abord que l’hypoth` se |f (t, .)| ≤ g µ-p.p. entraine que pour chaque t la fonction f (t, .) est int´ grable, e e donc h est bien d´ finie. Pour (a) il suffit de montrer que si une suite (sn ) de points de

COEFFICIENT:2 DE9 Tempsde réverbérationd'un local Tr 3Êr;hea& N;irssr de sçrl oç cro:r*qf de l'arrôl b*t*que .{ " ,' .-! t ; t : ô1 ol ,6{Jii3 dereou+dÊ t t | i . : I . Ianpr iÀstent rie l'arét Lru:que .lie**nt cù æ riv*o* p:rviert à ,Jneeeil ds ô$ ië hr# u*à ùs {:rùit On appelledurée de réverbération d'un local , le tempsmis par un sonpour décroîtrede 60 dB après I'arrêt de la sourceémettrice. Dansuneégliseou un hall de gare, la duréede réverbération très est longue