Rivière Charles

| |- Donne-lui quand même à boire, dit mon père. | (La légende des siècles)   II104.  Le dormeur du Val  - (Arthur Rimbaud 1854-1891)   |C'est un trou de verdure où chante une rivière | |Accrochant follement aux herbes des haillons | |D'argent ; où le soleil de la montagne fière, | |Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons

1873………………….8 6) Guillaume Apollinaire, « Le pont Mirabeau », Alcools, 1913, Editions Gallimard………………………………………………………………………………9 «A une passante» de Charles Baudelaire: | | |La Esméralda de Charles de STEUBEN | La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant

au confluent de trois rivières, le Beiro, le Darro et le Genil. Elle compte 260000 habitants en 2006. Les dates importantes de l’histoire de Grenade sont : En 756 : Fondation de Grenade par les Maures. Du Xème-XIIème siècles : La ville est prise par les Almoravides, puis par les Almohades. Du IXème-XIVème siècles : Construction de l'Alhambra. En1319 : Construction du Généralife par Aben Walid Ismail. Au XVIème siècle : Construction du Palais de l'empereur Charles Quint. Christophe Colomb

Anthologie Poétique Aydin Samet Delafond Diégo Préface : Sommaire : 1)L’homme et la mer, 1857 de Charles Baudelaire. Charles-Pierre Baudelaire est un poète français, né à Paris le 9 avril 1821 et mort dans la même ville le 31 août, il est tourné vers le classicisme. 2 ) Une nuit où on entendait la mer sans la voir, 1837 de Victor Hugo. Victor Hugo, né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai 1885 à Paris, est un poète

reflet de ta rivière Hausser les ailes turquoises verdoyantes ! Tu veux exploser, cracheuse du feu d’artifice! Tu en as marre du tremblement incessant Dans ton âme amoureuse, terminé le silence patient. Ne voltige plus, voler loin caresser les vents du Nord utiliser les nuages pleurer tout ce que tu veux hurler à faire peur. Il faut prévenir La Terre de la défaillance finale. Plus jamais d’impitoyable loi de silence. Chantonner, bourdonner, rigoler jusqu’au retour à ta chère rivière. Ta voix retrouvée

Gargantua, le quatrième est celui de Victor considérant, Description du phalanstère en 1846, et pour finir le cinquième texte de Godin, Familistère en 1905.Les six images présente sont celles de L’abbaye de Thélème, Gargantua, Le Phalanstère de Charles Fourier, La Cité idéale, L’ile d’utopia et Le Familistère. Tous ces textes et image sont des lieux et des descriptions liées à l’utopie. Nous pouvons tout d’abord nous demander qu’est-ce qui fait de ces lieux des lieux utopiques ? et en quoi la nature

Conte de Charles PERRAULT A sa mort, un meunier laisse à ses trois enfants, un moulin, un âne et un chat. L’aîné prend le moulin, le deuxième prend l’âne et il ne reste pour le plus jeune que le chat. Le jeune frère se dit : « Mes frères gagneront bien leur vie en se mettant ensemble, mais moi, je vais mourir de faim ! » Le chat a entendu les paroles de son maître, lui dit : « Mon maître, vous n’avez qu’à me donner un sac et une paire de bottes pour aller dans la forêt et vous verrez. »

LE CYGNE Charles Baudelaire INTRODUCTION : Le poème « Le Cygne », de Charles Baudelaire, est un long poème en deux parties, de 52 alexandrins, répartis en 7 et 6 quatrains à rimes croisées, issu de son recueil Les Fleurs du Mal. Il a été intégré à la partie « Tableaux Parisiens » rajoutée à la seconde édition de Les Fleurs du Mal en 1861. Comme les poèmes de la partie « Tableaux Parisiens », il a pour thème Paris. Baudelaire fut le premier à prendre la ville comme thème de poésie. Il se promène dans

Histoire des empires et états de la lune 5- Molière, Dom Juan ou Le Festin de pierre, ( 1665) , Acte I scène 2, la tirade de l’inconstance Textes complémentaires : Jean-Baptiste Chassignet, « Assieds-toi sur le bord d’une ondante rivière » Jean-Baptiste Chassignet, « A beaucoup de danger est sujette la fleur » Ronsard, « je n’ai plus que les os », 1586 Agrippa d’Aubigné, « Tout cela qui sent l’homme », Stances Montaigne, del’imagination ? Shakespeare, Roméo et Juliette

monde qui surpasse La froide cruauté de ce soleil de glace Et cette immense nuit semblable au vieux Chaos; Je jalouse le sort des plus vils animaux Qui peuvent se plonger dans un sommeil stupide, Tant l'écheveau du temps lentement se dévide! Charles Baudelaire C’est le premier poème que j’ai choisi d’incorporer dans cette anthologie car pour moi il représente très bien le spleen et surtout la vision baudelairienne de la chose. Le dit « tourmentée » Baudelaire évoque dans ce poème la mélancolie