Rivière Charles

Odeurs douces. Donnent plaisir. Délivrent. Par dessus tout, le soleil qui règne reflète les couleurs de l'arc en ciel pleurant en bruine. Un vrai pays de Toscagne, te dis-je, où les petites bicoques sommeillent telles des anges. Au bord de la rivière, des pans de bois. Près, j'entends l'eau couler et pouffer légèrement. Un peu plus loin de cette petite et paisible provenance, une place. Si simple te dis-je. Mais tellement belle. Sur l'herbe près des fontaines, on peut y admirer la vue de toute

Le dormeur du Val C'est un trou de verdure où chante une rivière,Accrochant follement aux herbes des haillonsD'argent ; où le soleil, de la montagne fière,Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant commeSourirait un enfant malade, il fait un somme :Nature, berce-le chaudement

d’ardoise aux mille cheminées. François Ier est un impatient, rien ne doit freiner la réalisation de son ambitieux projet. Rien pas même le cours de la Loire qu’il projette de faire détourner par Chambord ! Finalement, ce ne sera pas la Loire mais une rivière, le Courson, dont on aménagera le cours sans grand succès d’ailleurs puisque le problème du sol marécageux ne sera réglé qu’au milieu du… XVIIIe siècle ! Le plan du château s’organise autour d’un célèbre escalier à double révolution, qui permet à

peut recevoir; en effet, comme le disait Platon, l'homme tourne le dos à l'entrée de la caverne. De fait, seul le poète peut accéder à la vérité et la transmettre aux hommes: "J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans" (Les Fleurs du mal - Charles Baudelaire). Finalement, si on en croit Baudelaire, tout en s'éloignant de la réalité par sa forme et son expression, la poésie via le poète, nous dit beaucoup de la réalité. D'après Stéphane Mallarmé, dans Crise de vers, le poète "cède l'initiative

pluvieux, hivers froids. Les paysages sont tantôt plats et arides, tantôt vallonnés et verdoyants. A certains endroits des falaises de craie portent le nom de « montagne » avec un sous sol typique en craie. La forêt est très présente. Plusieurs rivières prennent leurs sources sur le plateau de Langres notamment la Seine. LES PRODUITS MARQUEURS Les légumes et céréales : blés, maïs, betteraves, pommes de terre, lentillons rosés de champagne Les charcuteries : IGP boudin blanc de Rethel, IGP

 » Guillaume Apollinaire « Partons, dans un baiser, pour un monde inconnu. » d'Alfred de Musset XIX Romances sans paroles, Paul Verlaine (1874) Ô la rivière dans la rue !   Ô la rivière dans la rue ! Fantastiquement apparue Derrière un mur haut de cinq pieds, Elle roule dans un murmure Son onde opaque et pourtant pure, Par les faubourgs pacifiés.  La chaussée est très large, en sorte Que l'eau jaune comme une

un tambour qui bat la charge ! Et qui ne peuvent plus sourire ! Ne suis-je pas un faux accord  Dans la divine symphonie, Grâce à la vorace Ironie  Qui me secoue et qui me mord ? Charles BAUDELAIRE (1821-1867) Un long poème de Charles Baudelaire, dont le titre signifie « Le Bourreau De Soi même ». C’est un poème en sept strophes (quatrains) avec des rimes embrassées du type ABBA. Il fait parti du recueil Les Fleurs Du Mal. J’ai choisi ce poème car il

«  le désespoir de la vieille », de Rimbaud avec «  Le dormeur du val » et pour finir de Nicolas Keszei avec un extrait (p30, 31) de son livre « Peau de clown » Tout d’abord, la littérature nous permet de mieux connaitre le monde. Par exemple, Charles Baudelaire nous révèle les sentiments de l’artiste incompris avec son poème  « le chien et le flacon ». «  Ah ! Misérable chien, si je vous avais offert un paquet d’excréments, vous l’auriez flairé avec délices et peut -être dévoré. Ainsi, vous-même

fleurs » Agrippa d’Aubigné - « l’amour de moi s’y est enclose » Anonyme - « le lac » Alphonse de Lamartine - « elle avait pris ce pli dans son âge enfantin » Victor Hugo - « la cloche fêlée », « Harmonie du soir » « la servante au grand cœur » Charles Baudelaire - « Il pleure dans mon cœur » Paul Verlaine - « enfance » Arthur Rimbaud - « complainte amoureuse » Alphonse Allais - « les passantes » Antoine Pol - « Soleil couchant » José Maria de Heredia - « Les pas » Paul Valéry POESIE DIONYSIAQUE

Macedonski, tout en proposant des poèmes de Charles Baudelaire, René Ghil, Maurice Maeterlinck ou Stéphane Mallarmé, n'en combat pas moins la tradition romantique. Avec son camarade de lycée Marcel Janco, Samuel crée, en 1912, sa première revue, Simbolul, qui transpose en roumain les acquis du symbolisme, notamment de Maeterlinck, Laforgue et Verhaeren2. Il s'imagine en « ange noir du symbolisme triomphant ». Il y publie l'un de ses premiers poèmes, Sur la rivière de la vie. En 1915, il adopte le pseudonyme