Robe d'avocat

d’abord derrière un fauteuil, puis, par un mouvement tournant, s’y blottit sous une robe, lorsque le Comte, entendant entrer quelqu’un, lui prend sa première cachette (scène 8). Ce n’est que Bazile, venu jouer son rôle d’entremetteur. Mais une allusion aux sentiments de Chérubin pour la comtesse provoque la colère du Comte, qui se dresse brusquement ; en mimant sa découverte de Chérubin à Fanchette, il tire sur la robe et stupéfait, voit de nouveau apparaître le page ! Il en est d’autant plus irrité

C/ La présentation des requêtes. Devant le Tribunal administratif, il y a dispense du ministère d’avocat. Devant le Conseil d’Etat ou les Cour d’Appel Administrative, le ministère d’avocat est obligatoire. Les mandataires autorisés ne peuvent être que des avocats mandatés. Les avocats au Conseil sont des officiers ministériels (il faut acheter la charge) de plus, il passe les mêmes examens d’avocats mais en plus ils ont des examens spécifiques à passer devant le Conseil d’Etat. Ils sont 60, fixé

contrôleurs générales des finances ils proviennent généralement du corps des requêtes, cad qu’ils ont une formation en droit et issus pour une bonne partie d’une noblesse qui se développent largement a partir du 16e s= la noblesse de robe. Ce sont des hommes de robe longue. Les intendants sont des commissaires, cad des fonctionnaires, ils sont révocables a la volonté du roi et il touchent un traitement honorables prélevés sur les finances royales, ils sont soumis théoriquement a des mutations nombreuses

d'épée, de race) il faut cependant quatre quartiers de générations pour l'être, ce sont habituellement les descendants des seigneurs féodaux, ou on devient noble par l'exercice de charges anoblissantes (noblesse de robe) ou par lettres d'anoblissement (accordées par le roi). La noblesse de robe est la plus nombreuse, la plus turbulente et la plus attachée à ses privilèges. Il y a un fossé entre la noblesse de cour et la noblesse de province, d'ailleurs cette différence entraina une inimitié. A)

je l’ai questionné pour savoir s’il était absolument nécessaire d’en avoir un. “Pourquoi ?” a-t-il dit. J’ai répondu que je trouvais mon affaire très simple. Il a souri en disant : “C’est un avis. Pourtant, la loi est là. Si vous ne choisissez pas d’avocat, nous en désignerons un d’office. ” ». (I.p.97) Cette partie nous conduit complètement dans une institution juridique : arrestation, interrogation, juge d’instruction, avocat, loi. On trouve ainsi que les personnages judiciaires ne portent pas de

|ドレス |Doresu |robe | |  |ワンピース |wanpiisu |robe (une seule pièce) | |  |ガウン |Gaun |robe | |  |カクテルドレス |kakuteru doresu |robe de cocktail | |白衣 |はくい

L’expression est le mouvement de l’intérieur (de l’individu) vers l’extérieur (vers l’environnement). Il signale et communique des informations par le langage visuel et symbolique. L’uniforme informe sur l’appartenance à tel ou tel corps de métier (la toge d’avocat par exemple) ainsi que le style du bâtiment communique sur sa fonction (la solennité et austérité des palais de justice). Le pouvoir et la position sociale dominante sont des exemples de l’expression par les biais de l’architecture et du

entouré d'une dizaine de présidents qui sont ses conseillers (des laïques et des clercs) car elle est parfois amené à juger des affaires ecclésiastiques. Ces conseilleurs sont des personnages considérables, ils constituent le sommet de la noblesse de robe ce qui lui donne une très forte autorité politique. – Les Chambres des Enquêtes : composées d'une trentaine de conseillers présidés par un président. Le nombre de chambres est monté jusqu'à cinq Chambres des Enquêtes. – Chambres des Requêtes :

correspondent aux substituts du TGI. On a aussi des substituts généraux, qui ont une mission administrative. Devant la cour de cassation, il existe un parquet général, dirigé par le procureur général près de la cours de cassation, qui est assisté d'avocats généraux ( 1er avocat général, deuxième avocat général, etc..) . Au sein de la cour de cassation il n’y ni substituts ni substituts généraux. Devant toutes les juridictions d'ordre judiciaire, le parquet est occasionnel. Toute fois, le procureur

délibérant. La règle est la même pour les EP. B/ La présentation des requêtes Traditionnellement, les requêtes sont présentées par ministère d’avocat. Devant le TA, le principe est qu’il y a dispense du ministère d’avocat, sauf exception où il est obligatoire. Devant le CE et les CAA, la règle est inversée : le principe c’est que le ministère d’avocat est obligatoire et qu’il est facultatif par exception. Les mandataires autorisés ne peuvent être, en procédure administrative, que des avocats