Robert Brasillach

nationalités confondues, le quatrième auteur de langue française, et l'auteur belge le plus traduit dans le monde. Il a été choisi comme un des « Cent Wallons du siècle », par l'Institut Jules Destrée, en 1995. André Gide, André Thérive et Robert Brasillach sont parmi les premiers hommes de lettres à le reconnaître comme un grand écrivain. André Gide, fasciné par la créativité de Georges Simenon qu'il avait souhaité rencontrer dès son succès policier, le questionna à maintes reprises, échangea une

pièces "noires", "roses", "brillantes", "grinçantes", "costumées", "secrètes" et "farceuses"*, suivant leur degré de pessimisme, de férocité et d’hypocrisie. - S'érige contre l'épuration* lors de la libération -> Tente de sauver la tête de Robert Brasillach, Albert Camus, François Mauriac, Paul Valéry, Colette et beaucoup d'autres -> écrit en 1945 « J'avoue avoir une certaine compassion pour les vaincus et redoute les excès de l'épuration ». - Romeo et Jeannette est mis en scène par André Barsacq

totalitaires. Cette idée s'intègre aussi dans une idée plus large de l’homme issue de la révolution française et de l’esprit des lumières et des mouvements révolutionnaires du XIXème siècle et du XXème siècle. Dans le document 1 nous avons l’auteur Robert Brasillach qui nous présente le fascisme par le jeune présenté comme un homme nouveau, il forge ce nouvel être. « Le jeune fasciste, appuyé sur sa race et sur sa nation, fier de son corps vigoureux, de son esprit lucide, méprisant des biens épais de ce

théâtre : Le Malentendu et Caligula et rencontre d’André Gide et de Jean-Paul Sartre. * 8 Aout 1945 : Seul intellectuel à dénoncer l’usage de la bombe atomique dans un éditorial paru dans le Combat. * 1945 : Demande à De Gaulle la grâce de Robert Brasillach (personne intellectuelle, qui a collaboré durant la 2ème GM). * 1946 : Part aux Etats-Unis * De retour en France il publie des articles contre l’expansionnisme soviétique. * 1947 : Succès avec La Peste. * 1949 : Succès de

Pétain qu'elle juge iniques. Alors que la première est un échec, Antigone deviendra avec le temps l'œuvre la plus emblématique (et la plus jouée) de l'auteur. À la Libération, Anouilh s'érige contre l'épuration. Tentant de sauver la tête de Robert Brasillach, au même titre que 50 personnalités dont Albert Camus, François Mauriac, Paul Valéry ou Colette, il écrit en 1945 : « J'avoue avoir une certaine compassion pour les vaincus et redoute les excès de l'épuration ».[réf. nécessaire] Des

relations tendues. En 1932, il écrit sa première pièce, l’Hermine, puis en 1937 il écrit Sauvage et a un succès réel. Il se marie avec une comédienne, Monelle Valentin a cette époque et il a une fille avec elle. En 1945, il s’engage pour sauver Robert Brasillach d’une peine de mort, mais il n’a pas pu le faire et l’exécution le marque profondément. Apres la guerre, il continue à écrire des œuvres : L’invitation au château (1947), Ardèle (1948). En 1961, après l’échec de La grotte, il se tourne vers

engagé dans la résistance. Il fut tout d'abord en accord avec la peine de mort mais la dérive de la justice qui n'était pas tout à fait impartiale le monta contre cette peine. Il signa en 1945 une pétition demandant la grâce pour l'écrivain Robert Brasillach, condamné à mort et publia en 1957 le livre intitulé « Réflexion sur la guillotine ». L’abolition de la guillotine n'est pour lui qu'une étape symbolique qui doit servir d'exemple à toute l'humanité. Dans son livre est entre autre écrit « Ni

atomique deux jours après les bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki dans un éditorial resté célèbre, dans Combat. En 1945, à l'initiative de François Mauriac, il signe une pétition, afin de demander au général De Gaulle la grâce de Robert Brasillach, personnalité intellectuelle connue pour son activité collaborationniste pendant la Seconde Guerre mondiale. En 1946, Camus se lie d'amitié avec René Char. Engagement politique et littéraire La rupture avec Jean-Paul Sartre a lieu en 1952

par Créon / Pétain qu'elle juge iniques. Alors que la première est un échec, Antigone deviendra avec le temps l'œuvre la plus emblématique (et la plus jouée) de l'auteur. À la Libération, Anouilh s'érige contre l'épuration. Tentant de sauver la tête de Robert Brasillach, au même titre que 50 personnalités dont Albert Camus, François Mauriac, Paul Valéry ou Colette, il écrit en 1945 : « J'avoue avoir une certaine compassion pour les vaincus et redoute les excès de l'épuration ».[réf. nécessaire] Des écrits plus

d'estime, et il faut attendre 1937 pour qu'il connaisse son premier grand succès avec le “Voyageur sans bagages”. L'année suivante le succès de sa pièce la Sauvage confirme sa notoriété. Il s'engage pour essayer de sauver l'écrivain collaborateur Robert Brasillach de la peine de mort; en vain. Cette exécution le marque profondément. Puis éclate la seconde guerre mondiale. Il ne prend position ni pour la collaboration, ni pour la résistance. Ce non-engagement lui sera reproché. Pendant l'occupation