Robert Brasillach

travers la multiplication des collaborateurs. Francis Bergeron dans son livre sur Béraud, déclare que Gringoire compte « près de 700 collaborations différentes, au cours de ses 16 années d’existence ». Parmi les plus célèbres on peut citer, Robert Brasillach, Jean Cocteau, Marcel Aymé, Léon Daudet, Raymond Poincaré, Irène Nemirowsky ou encore Georges Simenon. C’est ce mélange des opinions qui fait le succès de ce journal et qui ne permet pas, du moins au début, de l’affilier à tel ou tel mouvement

cadres pr gérer le pays et le reconstruire…qq ho polq liés à Vichy reprennent leur carrière. - En revanche l’épuration chez les intellectuels marq les esprits : pose quest°de la responsabilité morale des élites ds la Collaboration : l’écrivain Robert Brasillach, à tê de journx collabora°istes condamné à mort-exécuté malgré mobilisa° d'1 60ne d’intello(Camus, Mauriac…) 1.2. Le refoulement de certaines mémoires : le « syndrome de Vichy » Expre° de l’Hen Henry Rousso désignant l’ensemble des manifesta°

Pétain qu'elle juge iniques. Alors que la première est un échec, Antigone deviendra avec le temps l'œuvre la plus emblématique (et la plus jouée) de l'auteur. À la Libération, Anouilh s'érige contre l'épuration. Tentant de sauver la tête de Robert Brasillach, au même titre que 50 personnalités dont Albert Camus, François Mauriac, Paul Valéry ou Colette, il écrit en 1945 : « J'avoue avoir une certaine compassion pour les vaincus et redoute les excès de l'épuration ».[réf. nécessaire] Des écrits plus

avec les chrétiens de gauche qui s'expriment dans les revues Esprit ou Sept, aux côtés des Républicains espagnols (cf. ses articles dans Le Figaro et Temps présent). Cet engagement provoquera une première rupture avec sa famille politique. Robert Brasillach lui dédicacera son ouvrage sur la guerre d'Espagne : « à F.M. égaré16 ». Sous l'Occupation, après quelques hésitations devant la Révolution nationale lancée par le maréchal Pétain, il publie en 1941 La Pharisienne, qui peut se lire en creux

Antigone. Cette pièce connaît un immense succès public mais engendre une polémique. Certains reprochent à Anouilh de défendre l'ordre établi en faisant la part belle à Créon . En 1945, il s'engage pour essayer de sauver l'écrivain collaborateur Robert Brasillach de la peine de mort ; en vain. Cette exécution le marque profondément. Il écrira encore plusieurs pièces dans les années soixante-dix, dont certaines lui vaudront le qualicatif "d'auteur de théâtre de distraction". Il n'en reste pas moins qu'il

qu’il détruisit même. En 1935, il interviewa à Vichy l'éditeur Denoël qui l'emmena à Paris, et l'engagea comme chef de fabrication. Il allait gravir les échelons de la hiérarchie de la maison d'édition pour finir directeur littéraire. Il confia : «Robert Denoël était devenu un ami. C'est lui qui a fait de moi un écrivain. En 1939, je lui avais apporté le manuscrit du roman qui devait s'appeler ‘‘Ravage’’ et auquel j'avais voulu donner comme titre : ‘’Colère de Dieu’’. [...] Il n'a pas aimé le titre

peut être considéré comme l'allégorie de la Résistance s'opposant aux lois édictées par le roi Créon / Pétain. De plus, à la Libération (fin de l’occupation allemande en France en 1945), Anouilh dénonce l’épuration et tente de sauver la tête de Robert Brasillach, écrivain ayant collaboré pendant la seconde guerre mondiale. 2) Dans la première moitié des années 1940, de nombreux pays d’Europe sont aux mains de régimes totalitaires et connaissent la montée d’idéologies extrémistes : - l’URSS

Antigone. Cette pièce connaît un immense succès public mais engendre une polémique. Certains reprochent à Anouilh de défendre l'ordre établi en faisant la part belle à Créon . En 1945, il s'engage pour essayer de sauver l'écrivain collaborateur Robert Brasillach de la peine de mort; en vain. Cette exécution le marque profondément. Il écrira encore plusieurs pièces dans les années soixante-dix, dont certaines lui vaudront le qualificatif "d'auteur de théâtre de distraction". Il n'en reste pas moins qu'il

Antigone. Cette pièce connaît un immense succès public mais engendre une polémique. Certains reprochent à Anouilh de défendre l'ordre établi en faisant la part belle à Créon. En 1945, il s'engage pour essayer de sauver l'écrivain collaborateur Robert Brasillach de la peine de mort; en vain. Cette exécution le marque profondément. Il écrira encore plusieurs pièces dans les années soixante-dix, dont certaines lui vaudront le qualificatif "d'auteur de théâtre de distraction". Il n'en reste pas moins

Pétain qu'elle juge iniques. Alors que la première est un échec, Antigone deviendra avec le temps l'œuvre la plus emblématique (et la plus jouée) de l'auteur. À la Libération, Anouilh s'érige contre l'épuration. Tentant de sauver la tête de Robert Brasillach, au même titre que 50 personnalités dont Albert Camus, François Mauriac, Paul Valéry ou Colette, il écrit en 1945 : « J'avoue avoir une certaine compassion pour les vaincus et redoute les excès de l'épuration ».[réf. nécessaire] Des écrits plus