Robert de Cotte

femme… et votre austère époux, livré à lui-même, ne l’aurait jamais conçue… Soyez franche, il ne connaît pas grand-chose aux femmes, votre Christian! — Je suis contente que vous aimiez le personnage, dit Claire, mais je n’y suis pour rien. Le lendemain Robert Kemp, dans son feuilleton, ne parla que de Myrrhine: „Désormais“, écrivit-il, „on dira une Myrrhine comme on dit une Agnès ou une Célimène“ [30]. Claire, qui lisait avec un bonheur infini par-dessus l’épaule de son mari, ne put s’empêcher de murmurer:

nous apprendre que celle-ci était fiancée à l'un des Curiaces, retard très étonnant chez Denys surtout, qui aurait pu ajouter ce détail au cousinage des deux familles pour accentuer le pathos. Reconnaissant sur les épaules d'Horace la tunique ou la cotte de mailles de son fiancé, par elle-même confectionné, elle pleure sa mort chez Tite-Live ou « déchire ses habits ; elle se frappe la poitrine de ses deux mains ; elle appelle son cousin ; l'air retentit de ses gémissements, et elle fait paraître tant

peintres impressionnistes. À partir de 1876, ils reçurent le peintre Renoir qui fit leur portrait. Charles Chaplin (1825-1891) fit un portrait de la comtesse de La Rochefoucauld en 1878. Il est plus difficile en revanche d'identifier le portraitiste Cotte, peut-être Pierre Cot (1837-1883), ou de retrouver un portrait de la princesse de Sagan qui intervient souvent dans le roman dans le personnage de la tante de Mme de Guermantes. 20. Ici Proust a laissé inachevée une phrase: "Peut-être pourtant ce

de rigueur pour les apprentis bouchers comme pour leurs professeurs. Des vêtements chauds sont nécessaires pour passer plusieurs heures debout, face à un billot, dans une salle où la température ne dépasse pas les 10 °C. Chacun revêt également une cotte de mailles pour éviter un coup de lame malheureux et se coiffe d'une casquette pour des questions d'hygiène. La leçon du jour porte sur la préparation d'une pièce de bœuf. Stéphane Riquet, maître boucher, fait face à une vingtaine d'élèves. Couteau

tout autre vêtement ; la seule ouverture qu’il eût, à l’extrémité supérieure, était juste assez large pour laisser passer la tête ; donc, on peut en déduire qu’on le passait comme on passe aujourd’hui une chemise, et comme on passait autrefois une cotte de mailles, c’est-à-dire par-dessus la tête et les épaules ; des sandales, assurées par des courroies de peau de sanglier, protégeaient les pieds, et deux bandes de cuir mince et souple se croisaient sur les jambes en montant seulement jus- –9–

confie le commandement mlitaire à des personnes de confiance et octroie le titre de duc. Ce sont des personnages très puissants. A terme, celà va être dangereux pour le pouvoir royal. Le commandement militaire de la région d’angers et Blois à Robert le Fort, ancêtre de la future dynastie capetienne. Les ducs ont tendance à s’affranchir du roi et transmettre à leur fils le titre de duc et la fonction. Ainsi, en 1 ou 2 générations, de veritables principautés territoriales affranchies du

guerre 1661-1715, Paris, Seuil, 1997 (Nouvelle Histoire de la France moderne, t. 4). - Jean MEYER, La France moderne. Histoire de France, t. 3, Paris, Fayard, 1985. - René et Suzanne PILLORGET, France baroque, France classique. 1589-1715, Paris, Robert Laffont, 1995 (t. 1 : Récit ; t. 2 : Dictionnaire. Il s’agit donc à la fois d’un manuel et d’un instrument de travail). Des biographies contenant des informations sur les institutions et sur le contexte : - François BLUCHE, Louis XIV, Paris, Fayard

por museo : 5 €. Tarifa reducida (grupos a partir de 25 personas, 3ª edad) : 2,50 €. Gratuito para jóvenes menores de 25 años. Es el magnífico palacio de los príncipes-obispo de la ciudad, edificado entre 1732 y 1742, según proyecto de Robert de Cotte. Se trata de una bella obra de corte clasicista, con notable entrada y patio de honor con galería. Su interior es nota扬攠瑡浢 able también. Tal vez la imagen más elegante del edificio está a la orilla del canal, desde donde el espectador

c’était en 1072 seulement que le chef normand Robert Guiscard avait réussi à chasser les derniers Arabes de Palerme. Les Normands, ici, représentaient donc l’avant-garde de la latinité à la fois contre l’Infidèle et contre l’hérétique grec. Déjà, du reste, ils René Grousset — L’épopée des Croisades 12 avaient franchi le canal d’Otrante, afin de poursuivre le Byzantin dans les Balkans avant de relancer le musulman en Asie. De 1081 à 1085, Robert Guiscard et son fils Bohémond avaient porté

points de l’Allemagne, et dont la vente la plus productive paraissait être celle des almanachs, des images peintes et des lithographies: le Wolks-Kalender (Almanach du peuple), avec ses gravures sur bois, — les chansons politiques, les lithographies de Robert Blum et des héros de la guerre de Hongrie, voilà ce qui attirait les yeux et les hreutzers[sic] de la foule. Un grand nombre de vieux livres, étalés sous ces nouveautés, ne se recommandaient que par leurs prix modiques, — et je fus étonné d’y trouver