Robot L Homme

Problématique : À la recherche d’une “intelligence artificielle”, on pourrait tenter d’obtenir une machine qui est capable de raisonnement générique (par exemple : « Socrate est un homme, tous les hommes sont mortels, donc Socrate est mortel », « Je pense donc je suis (!)»). Depuis la Grèce Antique (Aristote, IVe siècle av. JC), l’homme (occidental) s’est intéressé à une approche systématique du raisonnement : la logique. À la fin du XIXe siècle, on va reprendre ces travaux pour en faire une

de brûler sa propre maison, ce qu'il fait, mais au moment d'être arrêté, il immole aussi le capitaine et le robot limier chargé de le surveiller. Il parvient donc à fuir grâce à l'aide du vieux Faber et à traverser le fleuve pour se mettre en sécurité avec d'autres "intellectuels" hors la loi avant qu'un autre robot limier le tue. 6° analyse des personnages principaux : Montag : Homme marié avec Mildred. Pompier de génération en génération. Pompier depuis 10 ans sous les ordres du capitaine

non plus que, dans le fond, c'est l'utile qui peut être un poids inutile, accablant. Si on ne comprend pas l'utilité de l'inutile, l'inutilité de l'utile, on ne comprend pas l'art ; et un pays où on ne comprend pas l'art est un pays d'esclaves ou de robots, un pays de gens malheureux, de gens qui ne rient pas ni ne sourient, un pays sans esprit ; où il n'y a pas l'humour, où il n'y a pas le rire, il y a la colère et la haine. Eugène IONESCO, Notes et Contre-notes

prolifèrent), des personnages qui se disent « philosophes », en réalité idiots. Ainsi, les êtres et les choses nous agressent mais leur profusion ne laisse que du vide et de la mort. Les personnages de Ionesco sont déshumanisés (cf. souvent marionnettes ou robots, dogmatiques et satisfaits), ils parlent avec des phrases toutes faites (clichés). Ils répètent des morceaux de discours pris aux autres, remplis de banalités et de querelles verbales. La scène devient un champ clos où ils débattent et se disputent

déforme les têtes des proches. L’un des gardes qui surveillent devant ma cellule travaille tous les après-midis et il part vers vingt heures quinze pour rentrer chez lui. Il a une tête de pirate, avec une grande cicatrice sur la joue. C’est un homme dépressif qui fume deux paquets de cigarettes par jour. Accrochés à la ceinture de son pantalon, trop petit et mal coupé, on remarque une matraque, un pistolet et des menottes. Il me fait penser à un guignol ! Provocant, il mange un croissant à seize

Les objets peuplent notre quotidien, ils nous envahissent et sont devenus indispensable dans notre vie. Les objets sont des choses concrète et perceptible, mais derrière chaque objet ce cache un homme. Actuellement ses objets sont très présents dans notre quotidien, cela signifie donc que la valeur de l’objet ne s’arrête pas à sa fonction. Cependant le monde change rapidement et les objets aussi, de ce fait les anciens objets sont vite remplacés par de nouveau objet plus moderne et plus utile. Nous

qu’une réalité. C’elle dans laquelle nous vivons tous les jours. C’est une réalité que l’on partage tous. On peut la connaître à travers l’expérience, le vécu, la vie. Petit à petit on découvre le monde, on s’applique à comprendre la réalité. Chaque homme doit essayer de s’adapter à elle si il veut vivre heureux. les réalistes en général pensent que le monde réel ne peut être connu qu'à partir de notre expérience sensorielle et de la réflexion rationnelle. Pour eux, la science doit chercher à décrire

réponses) A. Ils ont le teint crayeux. B. Ils portent des masques protecteurs quand ils sortent. C. Ils se détectent à l’odeur. D. Ils haïssent les étrangers. 3. Qu’est venu faire le narrateur sur Terre ? A. se marier B. un entretien d’embauche C. tuer un homme D. voyager pour le plaisir 4. Le narrateur doit intégrer un événement pour accomplir sa mission, il s’agit A. d’une cérémonie religieuse B. d’un match de basket C. d’une conférence sur le climat D. d’une émission télévisée 5. Comment les hommes restent-ils

ouvrages, Montag aiguise son esprit critique, sa réflexion sur la société. Des souvenirs surgissent : il y a quelques années de cela, Montag a rencontré un vieillard qui lui a donné un livre de poèmes. Egaré, le pompier décide de retrouver le vieil homme pour avoir des réponses, pour comprendre et se comprendre. Faber, le vieillard qui a inventé un système auditif de surveillance afin de se mettre à l'abri des pompiers, propose son aide à Montag : Le lendemain avec le soutien de son allié, il ira rendre

questions.  On  peut mettre ce sentiment en relation avec plusieurs films. En particulier dans Métropolis, où  l’on  va  même  jusqu’à  créer  un  homme  robot,  pour  faire  revivre  quelqu’un,  l’homme  est  réduit à un automatisme sans âme, et sens sentiments qui ne fait que suivre les instructions  sans réfléchir.        Métropolis, scène du robot.  3