Rodrigues

spatio-temporel, faire des résumés, complets mais courts). Rodrigue, fils de don Diègue, et Chimène, fille de don Gormas, amants, vont se marier. Mais un problème surgit, Don Diègue « souffleté » par Don Gormas, obtient de son fils qu'il le venge. Rodrigue tue Don Gormas. Chimène exige son châtiment, sans cesser toutefois de l'aimer. Mais, l'honneur lui interdit de le dire tout haut, elle ne le dit qu'à la fin de la pièce, sûre de la vertu de Rodrigue qui a sauvé le royaume en triomphant des Maures, puis

de devenir impuissant. Savoir que notre impact sur le monde n'a pas ou plus d'effet et vouloir disparaître parce qu'on le sait. Ce n'est pas aussi simple qu'on pourrait le penser. Rodrigue Aquilina AXES DE RECHERCHE Comme le dit Sarah Kane : «Rien qu'un mot sur une page et le théâtre est là » Rodrigue Aquilina base depuis des années son travail sur la recherche de la « non mise en scène », ou comment ne pas noyer les mots dans la mise en scène, comment faire entendre un texte sans

: Corneille écrit Le Cid en 1637 et la pièce rencontre un immense succès. Apres avoir vengé son père en tuant le comte, le père de Chimène, Rodrigue qui ne peut ni épouser Chimène, ni en aimer une autre, est prêt à mourir. Son père lui conseille alors de prendre la tête des nobles qui se sont réunis pour affronter les Mores menaçant la cité. Rodrigue, revenu glorieux, fait le récit des ses exploits au roi Don Ferdinand, (acte IV, scène 3). Dans les vers 4 à 27 de cette tirade, le jeune héros

le théâtre. Réflexion Politique sur le pouvoir royal et ses faiblesse, l’indépendance / roi. Mort Omniprésente : la vie de Rodrigue est menacée à la fin de chaque acte. Personnages complexes : double aspect (comte à la fois bon père, bon combattant mais courtisan vaniteux et rebelle) déchirés entre deux aspirations contraires (amour/honneur, amitié favorable à Rodrigue/pouvoir, et devoir royal.) double discours selon l’interlocuteur. Apparences trompeuses (les pères se battent comme des enfants

vengeance. Don Diègue et le comte de Gomès prévoient d'unir leurs enfants Rodrigue et Chimène. Le père de Chimène, jaloux de Don Diègue parce que celui ci reçut un poste auprès du roi, lui donne une gifle. Terriblement blessé dans son orgueil et étant trop vieux pour le faire lui-même, Don Diègue demanda alors à son fils Rodrigue de le venger pour sauver l'honneur familial. Mais Rodrigue et Chimène s'aiment et donc, Rodrigue se retrouve face à un dilemme. Il ne sait que choisir entre son père et sa

tragique car Rodrigue se voit remettre un dilemme par son propre père car celui-ci veut qu'il se batte contre le père de sa bien-aimée, Chimène. Le père de Rodrigue, Don Diègue a été nommé gouverneur du prince de Castille mais le Comte, père de Chimène jaloux et déçu tape Don Diègue au cours d'une dispute. Celui-ci étant trop vieux pour se défendre, demande donc à son fils, Rodrigue de combattre le comte. Mais voilà, le comte est le père de son amour, Chimène qu'il aime tant. Rodrigue se retrouve

lever de rideau. Cet entretien, nous le comprenons bientôt, a été provoqué et arrangé sur la demande de Chimène, dans le but de sonder le Comte au sujet de Rodrigue. Car Chimène aime Rodrigue : « Il estime Rodrigue autant que vous l’aimez » (v.4). Et Rodrigue aime Chimène : « Il vous commandera de répondre à sa flamme » (la flamme de Rodrigue, v.6). Mais un autre prétendant s’est déclaré : Don Sanche (v.14). Il s’agit donc de tester discrètement le point de vue du père. Elvire donne là-dessus des

théâtral classique trouble profondément les défenseur du théâtre classique et suscita une violente polémique. Cependant la querelle du Cid n’empêche pas son succès, « Pairs, qui n’a jamais connu un tel triomphe ne parle plus que du cas de conscience de Rodrigue », Louis XIII accord au père de Corneille des lettres de noblesse. Le cid fit Pierre Corneille comme le maître incontesté de la dramaturgie. LE THEME ET CONTEXT HISTORIQUE « Corneille peint les hommes tels qu’ils devraient être et Racine

Comte de Gormas, réunis dans sa demeure, devisent avec lui de Rodrigue qui va, le jour même, être armé chevalier ; Chimène est là, qui se réjouit car son père est favorable à son union avec le jeune guerrier. Restée seule avec elle, l’Infante lui avoue son amour secret et sans espoir pour Rodrigue. Devant la cathédrale de Burgos le peuple rend grâce à Dieu. Le Roi annonce la victoire sur les Maures, puis, non content d’avoir armé Rodrigue chevalier, il nomme Don Diègue gouverneur du prince héritier

de   l’acte  III,  où  l’honneur  et  la  prouesse  guerrière  de  don  Diègue  sont  atteints  par  le  soufflet  du  Comte  de  Gormas.  C’est  cette  insulte  qui  débute  l’intrigue  dans  l’oeuvre:  le  don  Diègue  demanderai  plus  tard  à  Rodrigue de lui venger, ce qui mènera aux péripéties. Par ailleurs, l’honneur est  un  trait  intégral  dans  plusieurs  personnages.  Prenons  le  cas de don Diègue; étant un homme qui a servi  le  roi  pour  de nombreuses années de sa vie, il est fier de ses accomplissements et exploits