Rohan

Thématique: Art, Etats, Pouvoir: Delacroix représente les émeutes qui ont eu lieu pendant la monarchie de Juillet en 1830. Le combat devant l’Hôtel de ville le 28 juillet 1830, Jean-Victor Schnetz Trouvé sur http://www.wikipedia.fr Combat de la rue de Rohan le 29 juillet 1830, Hippolyte Lecomte Trouvé sur http://www.wikipedia.fr Lecture à l'Hôtel de Ville de Paris de la Déclaration des Députés et de la Proclamation du Duc d'Orléans, lieutenant général du Royaume (31 juillet 1830), François Gérard 1836

tragédie à succès, on le compare à Racine. Il écrit « La Henriade » Poème épique qui lui vaut le surnom du Virgile français. Le 17 Avril 1726, nouvel exil en Angleterre en raison de « La querelle du Chevalier de Rohan ». Issu d’une grande famille illustre du Royaume de France, le chevalier Rohan Chabot inflige une humiliation publique à Voltaire en pleine Comédie française. Il l’apostrophe « Monsieur de Voltaire, Monsieur AROUET, comment vous appelez vous ? » La réplique de Voltaire, « Voltaire, je commence

décède trois ans après. Il écrit la Ligue en 1723. (Hommage à la Tolérance et de Henri IV) En 1726, le chevalier Rohan Chabot se moque de son nouveau nom. Voltaire lui répond « Mon nom, je le commence, et vous finissez le votre ! » . Cette querelle lui vaut une bastonnade et un nouveau séjour à la Bastille. On l’autorise à s’exiler pendant en Angleterre. L'épisode avec le chevalier de Rohan laissa sur Voltaire une empreinte indélébile et à partir de ce moment-là il devint un défenseur de la réforme

portrait d’un souverain idéal, ennemi de tous les fanatismes : 4 000 exemplaires vendus en quelques semaines (soixante éditions successives du vivant de l’auteur). La querelle avec le Chevalier de Rohan En janvier 1726, il subit une humiliation qui va le marquer toute sa vie. Le Chevalier de Rohan-Chabot, jeune gentilhomme arrogant, descendant d’une des plus anciennes familles du royaume, l’apostrophe à la Comédie-Française : « Monsieur de Voltaire, Monsieur Arouet, comment vous appelez-vous

les milieux libertins et les salons littéraires, compose des écrits satiriques qui le conduisent à la Bastille. En prison, il rédige Œdipe (1717). Il fait des voyages en Europe et connaît des intrigues de cour. Une altercation avec le chevalier de Rohan-Chabot lui vaut douze jours à la Bastille, puis l'exil en Angleterre (1726). Premiers succès : rentré en France en 1728, il fait jouer son théâtre ; il triomphe avec sa pièce Zaïre (1732). Il se retire à Cirey, chez Mme du Châtelet. Les Lettres philosophiques

portrait d’un souverain idéal, ennemi de tous les fanatismes : 4 000 exemplaires vendus en quelques semaines (soixante éditions successives du vivant de l’auteur). La querelle avec le Chevalier de Rohan En janvier 1726, il subit une humiliation qui va le marquer toute sa vie. Le Chevalier de Rohan-Chabot, jeune gentilhomme arrogant, descendant d’une des plus anciennes familles du royaume, l’apostrophe à la Comédie-Française : « Monsieur de Voltaire, Monsieur Arouet, comment vous appelez-vous

il est bastonné sur ordre du chevalier de Rohan qui, manifestant du mépris pour ce bourgeois sans nom, s’est vu répondre : "Mon nom, je le commence, et vous finissez le vôtre". Le 17 avril, il est embastillé sur la demande du chevalier de Rohan, pour deux semaines. Le 5 mai, il est à Calais en partance pour l'Angleterre. Il y passera deux ans et demi. En juillet: Il revient secrètement en France pour provoquer et battre en duel le chevalier de Rohan. 1727: Voltaire est séduit par la monarchie

avec l'aristocratie : un écrit satirique sur les amours du Régent le fait enfermer onze mois à la Bastille (1717). Puis, une rivalité amoureuse avec le chevalier de Rohan, à qui il dispute les charmes d'une comédienne, lui vaut une bastonnade et un nouveau séjour à la Bastille (1726). On se souviendra de sa réplique à Rohan, qui le raillait de n'avoir pas de nom : «Mon nom, je le commence, et vous finissez le vôtre.» On comprend mieux dans ces conditions l'animosité de l'auteur de Candide

beau-frère Joseph II du Saint-Empire. L’AFFAIRE DU COLLIER ; En juillet 1785, éclate l’« affaire du Collier » : les joailliers Boehmer et Bassange réclament à la reine 1,6 million de livres pour l’achat d’un collier de diamants dont le cardinal de Rohan a mené les tractations, au nom de la reine. La reine ignore tout de cette histoire et, quand le scandale éclate, le roi exige que le nom de sa femme soit lavé de l’affront. Le cardinal est arrêté en pleine journée dans la Galerie des Glaces, sous les

bourgeois, son père était notaire. Il fait de brillantes études chez les jésuites de Louis-Le-Grand. Des vers irrévérencieux l'obligent à rester en province, puis provoquent son incarcération à la Bastille (1717). Une altercation avec le chevalier Rohan-Chabot le conduit à nouveau à la Bastille, puis le contraint à un exil de trois ans en Angleterre. Au contact des philosophes d'Outre-Manche où la liberté d'expression était alors plus grande qu'en France, il s'engage dans une philosophie réformatrice