Roi Heenok

Don Salluste (Louis de Funès) est ministre du roi d'Espagne. C'est un être fourbe, hypocrite et cupide qui collecte lui-même les impôts, qu'il détourne en partie à son profit. Il est détesté par la population qu'il opprime. Accusé par la reine, une belle princesse bavaroise, d'avoir fait un enfant illégitime à une de ses dames d'honneur, il est déchu de ses fonctions et condamné à se retirer dans un monastère. Décidé à se venger, il entre en contact avec son séduisant neveu, César, devenu brigand

l'adjectif "propre" dont ils font partie au même titre que les catholiques, cette idée est renforcée par l'emploi de l'adjectif possessif « leur ». Ensuite l’auteur nous donne un bref retour sur le passé en isolant quelques citoyens qui ont influencé le roi en dévoilant leurs véritables motivations, à savoir, l’ambition personnelle. Puis formule une sorte d’utopie en utilisant le domaine de l'imaginaire et la suggestion ; l’écrivain propose une définition du gouvernement idéal : ce qui devrait être un

Primogéniture : le premier biais par les mâles. 2 conséquences : une femme ne peut être souveraine de France, une femme ne peut transmettre le droit de régner. Exemple : Roi → frère du Roi ↓ ↓ Fille du Roi Le fils du frère du Roi (neveu du Roi) ↓ ↓ Fils Fils La France est le seul pays qui n’a jamais eu de guerre dynastique

L’écrivain humaniste défend une nouvelle conception de l’homme. Certes, il a besoin de l’appui du roi ou d’un puissant protecteur pour résister aux attaques de la Sorbonne (faculté de théologie de Paris hostile aux nouveautés) mais il réussit cependant à s’imposer comme une figure essentielle du royaume. François 1er l’aide à remplir sa remplir sa tâche d’éducateur de la noblesse. En 1530, le roi fonde le Collège des lecteurs royaux, où l’on enseigne le latin, le grec et l’hébreu. Le succès

vers 7 : Avec son sceau ; Cour plénière (9) ; Qui ne fût aïl au prix (24) ; Que sens-tu, (29) ; sans odorat (32).Chaque fois, on a une cassure ds le rythme et certains mots st mis en valeur : Avec son sceau (7) + Cour plénière (9) : importance du roi et sentiment d’importance qu’il tient à montrer, à « étaler » (12) Qui ne fût ail au prix (24) + Que sens-tu ? (29) + Sans odorat (32) : importance de ce que sentent les courtisans, symbolique de ce qu’ils sont prêts à faire en tant que courtisans

Tristan dévoila sa vie à Kaherdin. Il dit comment, sur la mer, il avait bu l’amour et la mort ; il dit la traîtrise des barons et du nain, la reine menée au bûcher, livrée aux lépreux, et leurs amours dans la forêt sauvage ; comment il l’avait rendue au roi Marc, et comment, l’ayant fuie, il avait voulu aimer Iseut aux Blanches Mains ; comment il savait désormais qu’il ne pouvait vivre ni mourir sans la reine. Kaherdin se tait et s’étonne. Il sent sa colère qui, malgré lui, s’apaise. « Ami, dit-il enfin

France. Jean Bodin est lui même un des instigateurs de cette idée puisque dans sa définition de la souveraineté, il dispose que la république, l'Etat, qui est un ensemble d'organes, se doit d'être mené par un pouvoir incontestable qui est celui du roi, le seul créateur de droit qu'il définit par le terme de puissance souveraine. Cependant, Bodin admet qu'il existe des limites à la souveraineté, elle ne peut pas déroger aux lois fondamentales comme par exemple la loi Salique ni au droit commun à

l’autorité suprême. Dans les sociétés démocratiques comme la nôtre, elle appartient au peuple. La souveraineté royale, quant à elle, apparait au milieu du 12ème siècle, période où le roi commence à retrouver un certain pouvoir. Ce redressement se fait grâce aux juristes qui mettent en place la théorie de la mouvance des fiefs. Le roi est alors placé à la tête de la pyramide féodale et il est considéré comme le suzerain suprême de tout le royaume. Il est donc possible de se demander comment apparait ce concept

de la ville - élaboration d’une véritable culture civique qui prend vie lors manifestations festives - sous réserve de loyauté de la ville, le roi est garant de ces privilèges + franchises (même si le lien n’est pas formellement contractuel) . si nécessaire, les droits sont réaffirmés par lettres patentes à chaque règne (même lorsque le roi annexe de nouveaux territoires, il maintient les anciennes institutions municipales tout en appliquant ses lois - cf Lille, 1668 ou Strasbourg, 1682)

Coutumes de Beauvaisis est un recueil qui réunis tous les droits des régions françaises comme les adages, les coutumes ou les traditions. Ici on parle des paragraphes 1043, 1512, 1513 et 1515, ou on traite le pouvoir souverain du roi. En effet, vers 1260 on reconnaît que le "roi est emprereur dans son royaume" ainsi il passe du suzeraineté à la souverainneté ou il ne reçoit pas d'ordre supérieur. Par conséquent son autorité ne dépend plus de personne. Ainsi on est amener à se demander est-ce que la