Role Du Dramaturge

Au XVIIème siècle, le mouvement du classicisme souhaite plaire et instruire tout en observant les mœurs de la société. De nombreux dramaturges utilisent le spectacle et la comédie pour faire réfléchir tels que Molière dans Le Malade Imaginaire en 1673. Ce qui nous amène à nous demander si le spectacle n’est-il seulement au service du divertissement dans l e Malade Imaginaire. Tout d’abord, le spectacle sert en effet au divertissement. Cependant il sert également

pièces de théâtre dont des tragédies et des comédies. L’Illusion comique marque un tournant dans la carrière littéraire de son auteur puisqu’après l’avoir écrite, Corneille n’écrira plus que des tragédies (sauf Le Menteur, 1643). Dans cette pièce le dramaturge se sert de tous les genres théâtraux : « Le premier acte n’est qu’un prologue » qui s’inspire de la pastorale, « les trois suivants font une comédie imparfaite » ; puis cette « comédie imparfaite » évolue vers une tragi-comédie avec ces épisodes

tragédie, la comédie permet aussi une dénonciation du pouvoir. Bien qu’elle ait pour rôle premier de divertir en faisant rire, son rôle second est aussi de dénoncer les mœurs, les défauts humains et par conséquent de remettre en cause, de dénoncer certains aspects et contextes politiques et hiérarchiques. Dans Tartuffe de Molière, Orgon, père de famille haut placé hiérarchiquement est incompétent quant à son rôle de protecteur de famille du fait de sa naïveté. Il n’en reste pas moins détenteur du

didascalies indiquant les sentiments des personnages : avec le texte « Le Mariage de Figaro » Acte II, scène 1. Dans cette scène, plusieurs didascalies guident l'interprète avec précision : "se jette dans une bergère" suggère à l'actrice jouant le rôle de la comtesse d'adopter une attitude extrêmement libre, décontractée. Ensuite les didascalies rythment l'évolution des états d'âme : "souriant", puis "rêvant", enfin "en se servant fortement d'un éventail" lorsque le ressentiment contre le comte remplace

gloire en même temps qu’il voit ses habitudes et son moi s’évanouir peu à peu, dans une pesante atmosphère pathétique. Alliage de lyrisme et de pathétique le monologue de Maître Bridaine s’inscrit dans l’ère romantique de l’époque contemporaine au dramaturge. En fait, Alfred de Musset va plus loin mettant un tel mélange de registre au service de la comédie.  III. Alfred de Musset s'amuse avec la palette des registres si bien qu'il parvient avec art à dresser le véritable portrait de Maître Bridaine

formation (IIIème et IIème av. J-C.) • Plaute (Dramaturge, il écrit des comédies qui vont beaucoup influencées le théâtre classique de Molière par exemple.) • Caton l’Ancien (Grand modèle de vertu, il écrit sur la dégénérescence des mœurs, très ractionnaire). • Thérance (Dramaturge dans la lignée de Plaute, mais qui insiste d’avantage sur une certaine finesse psychologique) Période classique (République) Ier siècle a.v. J-C. • Cicéron : Rôle politique (avocat). Il se bat contre l’empire pour

ces gentillesses . Ne vous faisait-il point aussi quelques caresses ? », a travers c'est trois exemple on peux voir que le quiproquo est souvent utilisé au théâtre pour faire sortir l’effet comique d'une pièce , Dans le second objectif des dramaturges comique souhaite souligner le rire avec un second type de comique celui de langage dans lequel les réplique ou apartés des comédiens nous font rire comme l'emploie des mots a double sens qui alimentent les quiproquo . C'est mots reviennent souvent

sait le moment précis où il tira son mouchoir et où les larmes couleront ». Ainsi que Bernard Dort qui conçoit la création du personnage comme une « incarnation » ou une « fabrication ». «La représentation émancipée » fait apparaître la multitude de rôle que l’acteur peut jouer « sans s’y perdre ». Il révèle l’importance de la liaison du texte et de la scène qui sont éphémère car il son sans cesse rejouer, reproduit ou relue mais ils gardent tout de même une originalité hors normes, puisque les théâtres

Tout d'abord, nous pouvons voir dans tous les textes une présentation des personnages. Molière dans Monsieur de Pourceaugnac écrit en 1669 nous présente trois personnages qui sont Julie Eraste et Nérine, nous pouvons dès le début comprendre le rôle de chaques pesonnages. Avec la première réplique de son oeuvre qui est « Mon dieu ! Eraste » Molière nous présente Eraste à travers Julie puis Nérine grace à une didascalie « ( à Nérine ) ». Alfred de Musset par son texte On ne badine pas avec l'amour

ont de plus horrible..” Il insiste sur le fait que les dramaturges maquillent les passions pour les rendres plus attrayantes, et cela ne permet pas au public de tirer une leçon ce qui rapproche les textes B et D. Les spectateurs cherchent avant tout à être séduit et ne prennent pas toujours conscience de la portée d'instruction de la piece; ils sont manipulés par leurs désirs et leurs plaisir mais ne se rendent pas compte de ce que le dramaturge leur fait comprendre.  Le but étant de corriger les vices