CORPUS THEATRE MORALE
Dans son texte, Jean-Jacques Rousseau nous fait part de sa vision des choses ; selon lui, les gens n'aiment pas un spectacle pour ce qu'il leur apprend mais par le plaisir qu'ils ont a le regarder ; “c'est nécessairement le plaisir qu'ils donnent, et non leur utilité, qui la détermine.” Dans le texte A, on comprend que la comédie peut faire rire les hommes ; seulement, le rire provoque le plaisir, et ainsi, l'objectif d'instruire les spectateurs sur eux même n'est pas respecté. De même le texte C, de Racine ; la tragedie de Phèdre accentue toutes les reactions ce qui engendre une peur du public qui ne se sent plus concerné par les défaults énoncé ; cela sort du réel. Et donc la volonté de purger les passions et d'instruire n'est plus respectée.
Le théatre est tout comme une source de vertue ; selon Racine, il participe à la purgation des passions. Les textes A et C peuvent être rapprochés malgré le différent style théâtral (comédie/tragedie). La comédie (d'après Molière) montre les défauts de la société et des hommes. Donc, elle a une fonction morale. D'après Racine, les tragédies ont aussi une vertu morale puisqu'elle montrent les mauvaises passions pour les punir. L'auteur de Phèdre definie la tragedie où tout est accentué ; nous avons là une piece hyperbolique ou la moindre action prend un caractère monumental. Molière souligne dans sa préface que le théatre sert a montrer et a mettre en valeur les defaults des specateurs “les plus