Roman De Rimbaud

Préface…………………………………………………………………………..3    Olivier de MAGNY (XVIème) ­ Aurons­nous point la paix ?.......................4  De la Fontaine (XVIIème) ­ La Ligue des rats……………………………….5  Claude Joseph Rouget de Lisle (XVIIIème) ­ La Marseillaise……………..7  Arthur Rimbaud (XIXème) ­ Le dormeur du Val……………………………..9  Victor Hugo (XIXème) ­ Depuis six mille ans la guerre……………….......11  Victor Hugo (XIXème) ­ Après la bataille………………………..……….....12  José Maria de Hérédia (XIXème) ­ Les Conquerants………………….....14  Boris Vian (XXème) ­ La Java des Bombes Atomiques……………

pour ne rien dire. Candide c’est forgé un esprit critique, il s’oppose patiemment aux paroles de Pangloss. Poésie : Les cahiers de Douai de Rimbaud « Ma Bohème » C’est un sonnet qui évoque les fugues du poète. Il peint son autoportrait en coureur de chemin. Ivre d’espace et de liberté. La nature l’accueille et le protège. • Rimbaud met en valeur la pauvreté - vêtements abîmés, troués - il dort à la belle étoile • un adolescent révolté, ivre d’espace et de liberté

LECTURES CONSEILLEES POUR PREPARER L’ANNEE DE 1ère : ð Romans : - Balzac : le lys dans la vallée, le Père Goriot - Stendhal : le Rouge et le Noir - Flaubert : Madame BOVARY - Maupassant : Bel-Ami, Pierre et Jean, Une Vie - Zola : Germinal, Nana, L’assommoir, Au bonheur des Dames, Thérèse Raquin… - Camus : l’Etranger, La Peste - Cohen : Belle du Seigneur, Le Livre de ma Mère - A. Fournier : Le Grand Meaulnes Et puis des romans plus contemporains comme La Mort du Roi Tsongor de Gaudé, les

», il est surnommé « le poète du bonheur ». Ami de Victor Hugo, de Charles Baudelaire et de Théophile Gautier, il est considéré dès son vivant comme l’un des plus éminents poètes de son époque. Il a notamment découvert le talent naissant d’Arthur Rimbaud. Théodore de Banville a fait ses études au lycée Condorcet à partir de 1830. Encouragé par Victor Hugo et par Théophile Gautier, il se consacra à la poésie, et fréquenta les milieux littéraires parmi les plus anticonformistes. Il méprisait la poésie

Arthur Rimbaud Recueil Demeny 1870 Les Réparties de Nina avine : Petit lit creusé par un ruisseau. Andante : Pièce musicale au tempo modéré. Flânant : Se promener sans but précis. Fientera : Excrément d'animaux. Missel : Livre qui contient les prières, les lectures de la messe. Lippe : Lèvre inférieure épaisse. Rimbaud essaye de convaincre une amoureuse fictive, Nina une citadine, de venir le retrouver dans sa ferme et partager un moment d'intimité chez lui, à la campagne. A la fin

6/ Retrouve quatre poètes parmi les noms suivants : J. Prévert, P. Fort, F. Rabelais, A. Daudet, C. Roy, A. Rimbaud, E. Zola. 7/ A qui devons-nous les romans suivants : L’Assommoir, Vipère au poing, Vendredi ou la vie sauvage, Le vieil Homme et la mer ? 8/ A qui devons-nous les pièces suivantes ? L’Avare, Les Plaideurs, Les Fourberies de Scapin, Le Cid ? 9/ Cite deux romans de Marcel Pagnol. 10/ Dis quelles sont les recueils de nouvelles parmi ces titres : Lettres de mon moulin, Mon

est de Fénelon écrit en 1693, c’est une lettre destiné à Louis XIV, qui a pour juste titre Lettre à Louis XIV. Puis, nous avons un extrait de discours de Victor Hugo, Discours à l’assemblée prononcé en 1850. En avant-dernier lieu, un poème d’Arthur Rimbaud, Les Effarés composé en 1870. Pour finir, nous avons un extrait de l’Assommoir écrit en 1877 par Zola. L’ensemble du corpus a pour thème récurrent, les inégalités sociales : la pauvreté en particulier. Ce sont les œuvres que nous allons comparer

la prétention d’en assimiler toutes les nuances mais j’ai l’espoir d’en capter l’essence. Cette essence même qui guide le lecteur dans une introspection, qui lui propose une critique de la société qui lui ouvre enfin les portes de son âme car "Le roman est un miroir que l'on promène le long d'un chemin"( Jean-Paul Sartre). Ce chemin est la vie mais qu’est elle exactement, quel est le sens de l’existence, où trouver son destin ? Et si la vie était juste… ailleurs ? « Sous des dehors innocents

HYPERLINK http//www.comptoirlitteraire.com www.comptoirlitteraire.com Andr Durand prsente Le bateau ivre (1871) Pome de RIMBAUD Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guid par les haleurs Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant clous nus aux poteaux de couleurs. 5 Jtais insoucieux de tous les quipages, Porteur de bls flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves mont laiss descendre o je

DANIELEWSKI Mark Z 1 www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Le bateau ivre’’ (1871) Poème de RIMBAUD Comme je descendais des Fleuves impassibles, Je ne me sentis plus guidé par les haleurs : Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles, Les ayant cloués nus aux poteaux de couleurs. 5 J'étais insoucieux de tous les équipages, Porteur de blés flamands ou de cotons anglais. Quand avec mes haleurs ont fini ces tapages, Les Fleuves m'ont laissé