Roman Heros Invraisemblable

catharsis : le plaisir est suscité par deux émotions désagréables, qui sont purifiées de l’amertume qu’elles ont dans la réalité. Cette théorie fonde la pratique théâtrale sur l’identification, il faut que le spectateur adhère pleinement. Il faut que le héros soit entre les extrêmes pour que le spectateur puisse s’identifier à lui ; de plus, il ne faut pas que le malheur apparaisse comme mérité ou justifiable (sinon, pas de pitié). Difficulté de concilier l’idéalisation et l’identification. Le vraisemblable

-Perspective principale. Histoire littéraire et culturelle : l’humanisme -Perspectives secondaires. Genres et registres. Genre : œuvre hybride, entre roman, conte merveilleux (les géants)et traité argumentatif. Mélange des registre : comique, épique, didactique. Plan de la séquence Problématique : Gargantua, du rire médiéval à la réflexion humaniste. Edition : RABELAIS Gargantua (Pocket n° 6089) A. LECTURES ANALYTIQUES   |5 extraits, étudiés en classe, feront partie de la liste d’oral

l’inspiration de l’énonciateur. Les exemples peuvent se trouver dans des genres aussi différents : dans Fin de partie de Beckett la parole de Hamm est empreinte de cette discontinuité délirante, de ces phénomènes d’inversion et de renversement soudain. Le roman de Kafka Le procès offre un grand nombre de ces incongruités, de ces extravagances plus ou moins parodiques Burlesque et parodie 1. Dérision de l’épique C’est la parodie burlesque la plus courante. L’épopée est travestie en épopée burlesque avec

émotions dans la glande pinéale. Néanmoins le problème des passions est largement discuté dans les textes théoriques des médecins et des moralistes de l’époque, mais c’est surtout la littérature qui en apporte les analyses les plus persuasives. Avec les héros passionés de sa poésie épique et son théàtre tragique la Grèce de l’Antiquité avait fixé les modèles de cette production1. Au seuil de l’époque moderne c’est surtout, semble-til, le récit bref qui soulève ce thème. Les « histoires tragiques qui paraissent

gestes sont les exploits eux-mêmes + accompagnement des récits de ces exploits. C'est en fait une épopée ou encore poésie épique. Une loi qui veut que ce soit la première forme de littérature comme chez les grecs. Il s'agit en fait des exploits d'un héros mythique (L'homme est sous l'emprise d'une force surnaturelle), dans un monde merveilleux et fondateur ce qui permet à la société de se trouver des origines. C'est en fait un mythe fondateur recherché 3 siècles plus tôt : époque Carolingienne de

PLAN DE LA SÉQUENCE Problématique : La Princesse de Clèves, un roman qui met en scène le conflit entre un monde du paraître, celui de la cour et un monde de l’être, celui du coeur et de la passion. Edition de référence : Biblio lycée (Hachette) n° 49 A)LECTURES ANALYTIQUES | 5 extraits, étudiés en classe, feront partie de la liste d’oral : | |1. Le portrait de Melle de Chartres, tome I lignes 224 à 261 p 21 et 22.

locale, détail typique (d’où beaucoup de décors, de détails) ➢ Expressivité baroque, hyperbolique => supprime la contenance 2) Personnages : nombreux de toutes classes sociales. ➢ Personnage centrale : Héros romantique : ➢ Habité par un idéal de vie, volonté héroïque de sois => tourments intérieurs (déchirements entre rêve et réalité) ➢ Excessif, passionné, qui ne supporte pas la médiocrité du monde, veut accomplir ses désirs

noms des dieux de la mythologie olympienne. La notion de dieu a perdu sa notion historique, de peur du dieu. 2 penseurs sont à l’origine de cette crise de Dieu : Epicure et Evhémère : « Les dieux grecs ne sont en réalité que les figures divinisées de héros humains remarquable par leur exploit ou par leur vice durant leur existence terrestre ». Les Dieux servent d’ornement à la représentation du réel. L’ardeur rhétorique : (pour la prose) Ce qui va donner cette idée de beauté de la prose est la notion

c’était moi qui pouvait rester toujours jeune et le portrait qui devait vieillir ! Pour cela…pour cela…je donnerais tout ! Oui, je donnerais tout au monde ! J’irais jusque’à donner mon âme ! Prêt aux pires immoralités pour préserver sa jeunesse, le héros d’Oscar Wilde concrétise son désir brulant et irrationnel en vendant son âme au diable. Mais le portrait ne se contente pas de vieillir, il se marque, se déforme, s’enlaidit, à chaque nouveau péché de Dorian Gray, devenant « le visible emblème de

réalise enfin le retour à cette rue du Docteur-Kurzenne, apparue déjà dans les ouvrages antérieurs, et devenue « du Docteur-Dordaine » à cette maison du 38, derrière le Temple, à cette « rue en pente » qui descend à la gare. Alors que la construction du roman sur le collège offrait des échappées successives dans les destinées des divers camarades de classe, avec des retours réguliers au centre du récit, cette fois toute l’action reste confinée dans le périmètre étroit de ce carrefour. Il faut rappeler que