Roman psychologique

véritable documentation. Il faut aller sur place, comme le font les Goncourt et Zola, accumuler des notes, s’informer auprès de spécialistes : Maupassant et Flaubert fréquentent les milieux médicaux. Ce souci constant du réel explique aussi l’étude psychologique des individus perde de son importance au profit de l’analyse du milieu et de la mise en relief des types sociaux. C’est en cela que le Réalisme ouvre la voie au Naturalisme, qui le prolonge sous une forme qui se veut encore plus scientifique.

première rencontre entre M De Nemours et Mme de Clèves → Introduction : Madame de La Fayette (1634-1693) écrivit La Princesse de Clèves en 1678, sous le règne de Louis XIV. Ce sera son plus grand succès. En plus d'être considéré comme le premier roman, La Princesse de Clèves est également un des premiers à doter ses personnages d'une réelle psychologie, mais il attira egalement de nombreuses controverses morales concernant cet amour impossible entre Mme de Clèves et M De Nemours. Dans cet extrait

Les anti-héros : médiocrité et espoirs déçus Dans cette série d'extraits de romans d'auteurs français du 19e et 20e s , nous voyons dépeintes , avec réalisme , parfois ironie , plusieurs figures de anti-héros. Gustave Flaubert , écrivain du 19es a marqué la littérature par l' analyse psychologique fine de ses personnages et son souci du réalisme ; L'Education sentimentale , roman écrit en 1869 qui comportent de nombreux éléments autobiographiques, évoque le parcours de vie d'un jeune

bourgeoisie voulait la révolution politique afin que leur classe trouve sa place dans la société. Dans la révolution, ceux qui l’ont portée étaient les membres de la bourgeoisie, tandis que la noblesse ou l’aristocratie supportait le roi. Stendhal dans son roman, critique soit la bourgeoisie que la noblesse, et Julien Sorel, comme Napoléon, ne prend pas la place dans une des deux strates. Néanmoins, Julien Sorel possède des visées bourgeoises, comme l’ascension économique et sociale. Doué d’une intelligence

appellera par la suite des Impressionnistes. Il fait également la connaissance de nombreux écrivains et journalistes et publie ses premiers romans. En 1867, il publie « Thérèse Raquin » qui fait scandale et donne le coup d’envoi de l’esthétique naturaliste. Zola épouse Alexandrine Méley en 1870 et continue d’écrire et de publier une série de romans. C’est avec « L’Assomoir », publié en 1877 que l’écrivain rencontre le succès. Grâce à cette réussite, Zola part s’installer à Bordeaux avec sa femme

LE CONTE VOLTAIRIENI. Résultat d’une longue évolution : A l’origine (pendant le Moyen-âge), le conte est un récit oral (troubadours) qui est plutôt grossier et satirique (les fabliaux), tantôt merveilleux (les Romans de la Table Ronde). C’est Rabelais qui va au 16ème siècle, faire la synthèse des deux courants antérieurs (réaliste et satirique) : énorme succès. Au 17ème siècle : la grossièreté disparaît mais le merveilleux reprend ses droits (les contes de Perrault 1698) et on traduit les conteurs

implique non seulement l'observation mais une véritable documentation. Il faut aller voir sur place, comme le font Goncourt et Zola, accumuler des notes, s'informer auprès des spécialistes. Ce souci constant du réel explique aussi que l'étude psychologique des individus, perde de son importance au profit de l'analyse du milieu et de la mise en relief des types sociaux. C'est en cela que le Réalisme ouvre la voie au Naturalisme, qui le prolonge sous une forme qui se veut encore plus scientifique.

1°) Présentation du livre 2°) Présentation des personnages 3°) Schéma actantiel 4°) Vocabulaire 5°) Biographie de l’auteur 6°) Avis personnel Présentation du livre Ma cousine Rachel Auteur Daphné du Maurier Genre Roman Psychologique Version originale Titre original My Cousin Rachel Éditeur original Victor Gollancz Langue originale anglais Pays d'origine Royaume-Uni Date de parution originale 1951 Résumé : Philip, sans la connaître, déteste cette femme que son

lecteur, à lui permettre de s'évader. C'est le cas des romans policiers ou d'aventures, mais aussi des romans historiques. Ces derniers toutefois s'attachent évidemment à recréer une période historique, et prennent parfois la forme du roman-feuilleton, publié par épisodes (par exemple les romans d'Alexandre Dumas, très en vogue au xixe siècle). D'autres romans se recentrent sur le personnage pour privilégier l'analyse de ses ressorts psychologiques et de ses sentiments (par exemple La Princesse de Clèves

Le personnage de roman : du héros à l'anti-héros Un roman est une œuvre en prose, assez longue, retraçant le parcours d'un « héros » : comment se constitue l'identité du personnage, et que recouvre précisément le termehéros ?  1. Le personnage de roman : qui est-il ? • Le personnage principal du roman s'oppose au héros antique ou à celui du théâtre tragique : il n'a pas la grandeur et la noblesse des héros légendaires, il ne représente pas la lutte digne face à un destin implacable. De manière