Roman émouvoir

valet romanesque ( du valet de comédie au héros de roman) développement: I / un morceau d'anthologie: LE MONOLOGUE Pour commencer, Etymologiquement, le monologue vient du grec « mono » (un seul) et « logos »(le discours). Ce dernier désigne généralement une conversation qu’une personne tient avec elle-même. On le retrouve dans le théâtre ; lorsqu’un personnage, seul sur scène, s’adresse au public afin de nous attendrir, de nous émouvoir ou de nous faire rire. Ici, Figaro se livre avec naturel

entre la pauvreté du réel et l’aspiration à l’idéal). L’école réaliste, vers 1850, oppose l’exigence de vérité aux illusions romantiques. Elle sera plus pauvre en littérature qu’en peinture. Le réalisme au sens large caractérise déjà vers 1830 les romans de BALZAC ou de STENDHAL (marqués par le romantisme, mais qui représentent la société réelle), et le mot sera appliqué à FLAUBERT (Madame Bovary, 1857). Le naturalisme de ZOLA (vers 1880) définit plus rigoureusement cette esthétique de la vérité en

éléments le retardent. Le dictionnaire de l’Académie (1694) définit le conte ainsi :  « narration, récit de quelque aventure, soit vécue, soit fabuleuse, soit sérieuse, soit plaisante »  (Stalloni, p. 134) Définition qui s’appliquerait aussi bien au roman. Un  peu à l’instar des Lettres persanes (1721), les contes philosophique posent des questions philosophiques sur le bonheur, la liberté et la vertu. Au service d’une idée, les personnages éponymes de Voltaire incarnent un thème philosophique annoncé

métaphore, de l’hyperbole pittoresque, et à l’assouplissement du vers français pour privilégier la musicalité des phrases. °Genre Privilégié° : En matière de littérature, deux genres sont privilégiés par les artistes romantiques, la poésie et le roman, passablement méprisés au cours du siècle précédent mais qui leur permettent une meilleure expression de leurs émotions personnelles. °Types de Romantisme° : On peut distinguer deux types de Romantisme : - Le Romantisme lyrique, dans lequel

Exercice de Dissertation : Héritier du genre épique, le roman s’est peu à peu constitué puis développé, fondé sur la fiction, jusqu’à l’apparition du roman moderne (Mme de La Fayette, La Princesse de Clèves). Traditionnellement, le roman n’a pas à être vraisemblable. Pourtant, avec la montée du romantisme, l’on peut assister à l’émergence du « moi », et à l’intégration de l’Histoire dans l’histoire. Un point commun entre romantisme et réalisme est que l’on observe une forme d’actualité

Préface La nouvelle est un récit court écrit en prose qui, contrairement au roman, se concentre sur un seul évènement, avec un cadre spatio-temporel restreint. Guy de Maupassant est l'auteur de nombreuses nouvelles réalistes, dans celles-ci il y présente des scènes de vie quotidiennes qui peuvent parfois surprendre, choquer ou au contraire faire sourire le lecteur. Elle permet aussi de faire découvrir le monde d’une façon étonnante, cruelle ou encore pessimiste. La réalité chez Maupassant

INTRO : ABBÉ PRÉVOST (1697- 1763) - - - I. - - - - Le roman au XVIIIe siècle est marqué par une recherche de naturel et de simplicité qui se traduit, de la part des romanciers, par le choix du récit à la 1ère personne, comme c’est le cas chez Marivaux dans La Vie de Marianne ou chez Prévost dans son Histoire du chevalier Des Grieux, récit à la 1ère personne que l’on retrouve également dans le roman épistolaire. Idée récurrente  les apparences sont fausses, seule compte la

fauteuils.Albert Camus, La PesteLa Peste est un roman  d’Albert Camus publié en 1947 qui permit en partie à son auteur de remporter le prix Nobel en 1957. Il a pour théâtre Oran, durant la période de l’Algérie française. L’histoire se déroule dans les années 1940. Le roman raconte sous forme de chronique la vie quotidienne des habitants, pendant une épidémie de peste qui frappe la ville et la coupe du monde extérieur.Cet extrait se situe au milieu du roman ; la ville d’Oran a été fermée par les autorités

ironiquement sans doute et comme dans l’espoir de mettre fin au discours ; mais vainement : Justinien reprit ; rien ne décourageait son éloquence. A présent c’est le comte de Passavant qu’il couvrait des fleurs de sa rhétorique. Il parla de la barre fixe (roman de Passavant) comme d’une Iliade nouvelle. On but à la santé de Passavant. Edouard n’avait pas de verre, non plus que Bernard et Sarah, ce qui les dispensa de trinquer. Le discours de Justinien s’acheva sur des vœux à l’adresse de la revue nouvelle

auditeur, dont il doit connaître la psychologie. Le pathos est une des clés de la persuasion, à laquelle tend tout discours. Fine psychologue et connaissant parfaitement le marquis, Mme de La Pommeraye manie efficacement tous les ressorts propres à émouvoir et donc à persuader son ancien amant. En s’accusant, elle parvient à obtenir la bienveillance et la compassion du marquis (en rhétorique, on parle de captatio benevolentiae) Non seulement le marquis avoue sa faute (elle provoque en lui un sentiment