Roman épistolaire

« Les liaisons dangereuses » de Laclos Lettre 124, La Présidente de Tourvel à Madame de Rosemonde CONTEXTE Situation du passage : La lettre 124 est la dernière lettre de la troisième partie du roman Argument du passage : Dans cette lettre, La présidente de Tourvel raconte à Mme de Rosemonde ce qu'elle vient d'apprendre par le Père Anselme. Valmont veut se repentir en reprenant le droit chemin de la religion. Il souhaite donc la rencontrer une dernière fois pour lui rendre ses lettres et oublier

Fiche de lecture Les lettres de mon petit frère Les lettres de mon petit frère est un roman épistolaire, écrit par Chris DONNER, écrivain français du XXème siècle. Il a été édité en janvier 1991, puis en novembre 2007, par les éditions L ‘école des loisirs, dans la collection Neuf. Le narrateur est « le petit frère », Mathieu , qui utilise la première personne du singulier. Les personnages principaux sont le petit frère, Mathieu : c’est un jeune adolescent, issu de la classe sociale moyenne

Texte 1 Emile Zola, chef de file du naturalisme, écrit le roman Nana : neuvième roman de la série des Rougon-Macquart, publié en 1880. Cet extrait de texte fait partie du chapitre 10. Cet auteur est séduit par la thèse selon laquelle les comportements humains dépendent de l’hérédité et de l’influence du décide de prouver cette hypothèse en écrivant des romans naturalistes dont les plus importants sont ceux que contient le cycle des Rougon-Macquart.A travers cet extrait, nous verrons que Zola

donc temps d'examiner complètement cette héroïne qu'est Roxane. Corrigé PARTIELLEMENT rédigé Introduction : Dans sa préface à l'édition de 1758 des Lettres persanes, Montesquieu parle de celles-ci comme d'« une espèce de roman ». Il s'agit en effet d'un roman épistolaire abordant des sujets très variés et qui ne paraît pas soutenu par une intrigue constante. Cependant il s'ouvre et se ferme sur des lettres informant Usbek de ce qui se passe dans son sérail. Ce grand seigneur persan s'est absenté

Montesquieu, Lettres Persanes, lettre XII, 1721 Introduction : Les Lettres Persanes est un roman épistolaire (roman fondé sur un échange de lettres et de correspondance, le plus connus d’entre eux est Les Liaisons Dangereuses de Laclos) écrit au XVIII ème siècle par Montesquieu. Le XVIII ème siècle est le siècle des lumières, durant lequel des philosophes tels que Voltaire, Diderot ou D’Alembert luttent contre l’obscurantisme. Ces philosophes sont contre la superstition, le fanatisme et l’intolérance

L’écriture épistolaire implique toujours une absence du destinataire. Car lors de la rédaction d’une lettre, l’épistolier ne peut pas être en présence de son destinataire. On écrit donc toujours à quelqu’un qui n’est pas là. C’est cette solitude de l’épistolier qui l’amène à écrire des lettres. Cependant l’absence du destinataire s’exprime-t-elle toujours sous la même forme ? Et quelles en sont les raisons ? Pourquoi le scripteur choisit il la lettre ? Enfin quels enjeux la communication épistolaire implique-t-elle

pour aller vers un monde inconnu, tous auront tendance à avoir un regard neuf et critique de ce qu’il verra…. En 1721, après plusieurs voyages, Montesquieu écrit un roman, Les Lettres persanes, qui lui a permis de critiquer la société de son temps à travers le regard de deux étrangers tout en évitant la censure. Ce roman épistolaire montre en effet la correspondance entre Usbek et Rica, deux Persans en voyage en Europe. Dans leurs lettres sont relatées leurs découvertes des mœurs du monde parisien

Ce roman épistolaire de Kressmann Taylor a été publié pour la première fois dans sa version intégrale dans Story Magazine en 1938. Un an après éclatait la seconde guerre mondiale. Dans « Inconnu à cette adresse », Kressmann Taylor reconnaît ne pas avoir tout inventé. Elle s’est servie de lettres réellement écrites qui ont constitué la trame de cette nouvelle, mais a eu l’art de les agencer pour maintenir le suspense. Durant tout le livre, nous assistons à une correspondance épistolaire débutant

de Merteuil. » Le thème du libertinage n’est pas nouveau au XVIIIème siècle puisque d’autres auteurs que Laclos l’ont déjà traité, tel Molière en 1665, dans son œuvre Dom Juan. Pourtant l’œuvre intitulée Les Liaisons Dangereuses, roman épistolaire de 175 lettres écrit en 1782, fait scandale à sa parution, au point que les salons parisiens seront fermés au romancier, et qu’il sera lui-même menacé dans sa carrière d’officier d’artillerie. Dans la lettre LXXXI, c’est une femme, la marquise

1988) reprend assez fidèlement le roman de Choderlos de Laclos (Les Liaisons dangereuses, 1782). Il est considéré comme l’un des exemples canoniques de l’adaptation réussie d’un livre au cinéma et est à ce titre souvent étudié en classe. Il est cependant interessant de remarquer que le film de Frears est en fait l’adaptation cinématographique (par son auteur) d’une pièce de théâtre du dramaturge Christopher Hampton, transposition dramatique du roman épistolaire de Laclos. L’adaptation au cinéma repose