Ronflement

l’énorme cornue d’où tombait un filet limpide d’alcool. L’alambic, avec ses récipients de forme étrange, ses enroulements sans fin de tuyaux, gardait une mine sombre ; pas une fumée ne s’échappait ; à peine entendait-on un souffle inté- rieur, un ronflement souterrain ; c’était comme une besogne de nuit faite en plein jour, par un travailleur morne, puissant et muet. Cependant, Mes-Bottes, accompagné de ses deux camarades, était venu s’accouder sur la barrière, en attendant qu’un coin du comptoir fût

l'un après l'autre en grommelant » 2ème partie : L'envoûtement de la lecture 1ère sous-partie : le calme produit par cette lecture « Ils ne bougeaient plus et hormis quelques reniflements, le silence était total » « On entendait juste le ronflement d'air chaud » « Elle lisait dans ce calme » « Elle ignorait qui ,de la chaleur ou de l'histoire, les apaisait d'un seul coup » 2ème sous-partie : La magie de la lecture « Ils entraient petit à petit dans la chose du papier, ce miracle cet

l'énorme cornue d'où tombait un filet limpide d'alcool. L'alambic, avec ses récipients de forme étrange, ses enroulements sans fin de tuyaux, gardait une minesombre; pas une fumée ne s'échappait: à peine entendait on un souffle intérieur, un ronflements souterrain; c'était comme une besogne de nuit faite en plein jour, par un travailleur morne, puissant et muet. Cependant, Mes-Bottes, accompagné de ses deux camarades, était venu s'accouder sur la barrière, en attendant qu'un coin ducomptoir

ruiner son apparence de héros, et il écoute aux portes comme un vulgaire valet ou un personnage de vaudeville. L’ennemi que redoute Julien est lui aussi décrédibilisé par un « ronflement » (14) comique, qui enlève toute gravité à la scène. « Il en fut désolé » (14) crée un décalage entre le ridicule de la cause (le ronflement) et l’excès de son effet (le désarroi). La double négation « Il n’y avait plus donc plus de prétexte pour ne pas aller chez elle » (14-15) explicite la raison de sa désolation

feuillage (vert clair, vert foncé, roux, jaune), la couleur de l'eau (vert émeraude, grise)... Ce que l’on entend : bruits, voix, sons, chants, cris …le silence • Des bruits provoqués par des personnes : un cri de douleur, de peur, de surprise, un ronflement, un murmure, des bavardages, le brouhaha de la foule, les pleurs d'un bébé... • Des bruits produits par des choses : le grincement d'une porte, le claquement des volets, le cliquetis des fourchettes, le vrombissement du moteur des voitures, le

permet de reproduire le bruit des rivelaines justement, ce travail sur la sensation du bruit par les souvenirs d’Etienne se retrouve d’ailleurs dans la suite du texte « il les entendait » (l.6) « dont le souffle montait si rauque accompagné par le ronflement du ventilateur » (l.7) on a aussi une autre répétition en plus d’un rythme ternaire pour représenter le bruit des rivelaines une autre fois « Encore, encore, de plus en plus distinctement, comme s’ils se fussent rapprochés du sol, les camarades

infini (« cela durerait toujours »), puis, à travers le rêve d’Emma, comme contraste entre la réalité ennuyeuse et le monde excitant et féérique du rêve. Le climat a augmenté lorsque Emma est brusquement réveillée par la toux de Berthe ou par les ronflements de Bovary, ce qui créé un dualisme presque drôle et ridicule. Madame Bovary » est le roman de la faillite amoureuse, du désespoir et de la quête incessante du bonheur, en vain. Le ménage a tout le potentiel pour être heureux, pour bien élever la

arrondissait sa courbe au pied des collines vertes, et les îles, de forme oblongue, semblaient sur l'eau de grands poissons noirs arrêtés. Les cheminées des usines poussaient d'immenses panaches bruns qui s'envolaient par le bout. On entendait le ronflement des fonderies avec le carillon clair des églises qui se dressaient dans la brume. Les arbres des boulevards, sans feuilles, faisaient des broussailles violettes au milieu des maisons, et les toits, tout reluisants de pluie, miroitaient inégalement

une glande située sur sa poitrine. Celle-ci est marron, et est le moyen de reconnaître un mâle d'une femelle. La femelle gémit également pendant cette période mais ne marque pas son territoire. Le koala communique en émettant un bruit comme un ronflement puis qui se termine par le son d'un rot !

comme des lycéens) Si l'homoïde A rencontre un homoïde homologue C, alors le point de contact est un disque de rayon r < l. Déterminer la hauteur h de ce point de contact par rapport à l’axe vertical de l’homoïde A. Acte 2 Des bruits de ronflements se font entendre très fortement à travers la musique qui continuait. Le COMMISSAIRE gêné fait signe à la régie de d’éteindre la musique pour savoir d’où ils proviennent. La musique s’éteint, le commissaire inspecte les gradins pour vérifier que