Ronsard Commentaire Sonnet

majeure) : La fuite du temps en poésie. Problématiques : – en quoi la fuite du temps est-elle une source constante d'inspiration poétique ? – Quelles sont les spécificités du langage poétique ? Lectures analytiques : 1- Pierre de RONSARD, Sonnets pour Hélène, « Quand vous serez bien vieille », 1578. 2- Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du Mal, « L'Horloge », 1861. 3- Guillaume APOLLINAIRE, Alcools, « Le Pont Mirabeau », 1913. Prolongement : La fuite du temps, thème pictural :

Enfin, on ne peut oublier que les modèles ont été et sont constamment construits comme tels, au fil de l’histoire. Un ensemble d’opérations y contribue : sélection des œuvres majeures, opérations d’adaptation ou de traduction, accumulation de commentaires. Pour n’en citer qu’un exemple : les comédies-ballets de Molière ont été reçues dans le canon littéraire en passant de la scène à la lecture et plus encore en étant dépouillées, pour la lecture – et parfois pour la scène même –, des ballets qui

même qu’il faut suivre un ordre précis et ne pas mêler les différents niveaux d’interprétation. Pour cela, il est utile d’opérer par un double mouvement et partir :· du sens littéral aux significations symboliques, · de l’interprétation simple au commentaire plus subtile, · de la notation particulière à la généralisation, etc.III- Savoir-lire et savoir-analyser un texte littérairePour optimiser son potentiel de lecture, il convient de s’exercer à lire à haute voix : · en solitaire et en présence d’amis

solitude » ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE A. de Lamartine, Méditations poétiques, « Le lac » ANALYSE D’IMAGE C. D. Friedrich, Homme et femme contemplant la lune TEXTE 2 A. de Musset, Poésies nouvelles, « Nuit de décembre » D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 L. Labé, Sonnets, « Prédit me fut… » TEXTE 3 G. de Nerval, Odelettes, « Les Cydalises » et « Une allée du Luxembourg » D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 Tibulle, Élégies TEXTE 1 D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 HISTOIRE DES ARTS S. Gainsbourg, La Nuit d’Octobre 101 102 102 103

Ils sont ainsi directement confrontés à l’écart et au parti pris de tout traducteur, et cette phase d’observation peut préparer le travail d’appréciation de traductions qui leur est proposé à l’épreuve. Questions sur le texte pour diriger le commentaire : 1) Expliquez, en prenant appui sur tout le texte, l’idée suivante, développée par Sénèque : « Nihil accidere uiro bono mali potest » (Rien de mal ne peut arriver à l’homme de bien). 2) A quels domaines Sénèque emprunte-t-il ses exemples, pour

molle et trop dure. » Louise Labé, « Sonnet VIII », 1555 Louise Labé est une figure presque légendaire du cénacle des poètes de Lyon. Belle, cultivée et talentueuse, elle est surnommée « la nymphe ardente du Rhône » pour l’évocation passionnée qu’elle fait de l’amour dans son œuvre. « Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ;/J’ai chaud extrême en endurant froidure :/La vie m’est et trop molle et trop dure. » constitue la première phrase d’un célèbre sonnet de la poétesse. Celle-ci est emblématique

hypothèse ». Question En quoi le texte 2 est-il une réécriture du texte 1, et le texte 4 une réécriture du texte 3 ?Vous vous en tiendrez aux éléments principaux. Travaux d'écriture Vous traiterez au choix l'un des trois sujets suivants : Sujet 1 : commentaire de texte Vous commenterez le texte d'Aragon (texte 4). Sujet 2 : dissertation Selon vous, réécrire, est-ce chercher à dépasser son modèle ? Vous développerez votre argumentation en vous appuyant sur les textes du corpus, ainsi que sur ceux étudiés

en particulier dans le faux-dialogue - permet de mieux comprendre la personnalité ou les motivations de celui-ci. 57. Connotation - Réalités implicites auxquelles un mot peut faire penser, ce que le mot peut suggérer ou évoquer. Un des buts du commentaire de texte sera d'identifier les connotations des mots choisis par celui qui a produit le texte. 58. Conte - Récit assez bref, de faits imaginaires ou prétendus tels, qui plonge le lecteur dans un univers déroutant, différent du monde réel (merveilleux

une image du temps de l'écriture : "Le blanc n'est pas en effet seulement pour le poème une nécessité matérielle imposée du dehors. Il est la condition même de son existence, de sa vie, de sa respiration." (Claudel, La philosophie du livre, 1925. Commentaire du grand poème typographique de Mallarmé). Le "blanc" est donc un élément essentiel de l'écriture du recueil et non seulement une "mise en page" du poème. Une conséquence majeure de cette énonciation spécifique au recueil concerne le "je" de l'écriture

s'adonne à une initiation inextinguible. Amoureux transi des femmes, il embrasse, caresse et séduit toutes celles qu’il croise, ne reculant devant aucun fantasme ni aucune perversion pour assouvir ses désirs et parfaire son apprentissage amoureux. Commentaire C’est un roman d'initiation amoureuse et sexuelle, à la fois drôle et provocant, comme le prouvent l'incipit tiré du "Cid" de Corneille aussi bien que la dernière phrase du roman. ____________________________________________________________