Ronsard Eloge Pour Marie

Thames & Hudson, Paris, 2003. Hervé DRÉVILLON, Introduction à l’histoire culturelle de l’Ancien Régime (XVIe-XVIIIe siècles), SEDES, « Campus », 1997. Ingo F. WALTHER (sous dir.), La peinture de la Renaissance, Taschen, « Époques et Styles », 1997. Marie-Madeleine FRAGONARD, Les dialogues du Prince et du Poète, Gallimard, « Découvertes », Paris, 1990. Erwin PANOFSKY, Essai d’iconologie : les thèmes humanistes dans l’art de la Renaissance, Gallimard, « NRF », Paris, 1979. E. Panofsky, La Renaissance

l'éternité et à I'infini. Les romantiques, se sentant visés, affectèrent désormais de prendre Musset pour un «amateur». Le poème était aussi, mais combien plus légère et spontanée que celle de Hugo dans ses ‘’Odes et ballades’’, une imitation de Ronsard et des acrobaties prosodiques de la Pléiade, avec leur syntaxe archaïque, leurs inversions et les évocations des déesses lumineuses de I'Antiquité dans le style du XVIe siècle. Les neuf dernières strophes, ouvertement égrillardes, ne furent pas publiées

victoire par des orgies et des réjouissances de plusieurs jours, durant lesquels leur roi, sous l’effet de l’ivresse peut-être, voulut mêler du sang humain au vin. » ■ LEONARDO DI CHIO, archevêque de Mytilène, récit de la chute de Constantinople (trad. Marie-Anne Péric). 1. Présentez les auteurs des deux récits de la prise de Constantinople. 2. Quelle vision en donne chacun ? 3. Quelle interprétation les chrétiens ont-ils fait de la chute de Constantinople ? Expliquez la phrase soulignée dans le texte

l'éternité et à I'infini. Les romantiques, se sentant visés, affectèrent désormais de prendre Musset pour un «amateur». Le poème était aussi, mais combien plus légère et spontanée que celle de Hugo dans ses ‘’Odes et ballades’’, une imitation de Ronsard et des acrobaties prosodiques de la Pléiade, avec leur syntaxe archaïque, leurs inversions et les évocations des déesses lumineuses de I'Antiquité dans le style du XVIe siècle. Les neuf dernières strophes, ouvertement égrillardes, ne furent pas publiées

pour Napoléon qui l’exile de Paris. Elle se met à voyager et séjourne à Coppet où elle reçoit des visiteurs illustres du monde. Là, elle fait connaissance de B. Constant avec lequel elle expérience un amour orageux qui dure quelques 14 ans. Deux fois mariée (de Staël était son premier mari). Elle devient très populaire parmi ses contemporains grâce à ses romans (aujourd’hui illisibles) – ce sont des intrigues stéréotypiques dépeignant deux êtres qui s’aiment mais que les conventions sociales forcent

Problématique de l’espace littéraire francophone du/aux» SUDS ».....................................................................8 Engager une réflexion sur les espaces et leur utilisation pour ne pas « perdre le nord » (ni le sud)...........9 Marie BERCHOUD Université de Bourgogne, France......................................................................................................................9 I – ESPACE ET USAGES DE L’ESPACE : UNE NOTION PLURIELLE ET (RE)FONDATRICE.......9 1. Pluralité

chapitres 7 à 12 et des deux postfaces d’Un parfum à sentir ou les Baladins. Vacances à la campagne. Un matin, Flaubert embrasse Caroline Heuland « sur le cou », et l’aprèsmidi écrit des vers : « Mais j’eus le sens de les brûler ». Naissance à Paris de Marie-Adèle, la fille de Maurice et Élisa Schlésinger. Rédaction de Chronique normande du Xe siècle. Arrivée pour un mois de la mère de Caroline Heuland accompagnée de son fils. Rédaction de La Femme du monde. Début de la rédaction d’Angoisses, regroupées

@ Julien BENDA LA TRAHISON DES CLERCS Un document produit en version numérique par Pierre Palpant, bénévole, Courriel : ppalpant@uqac. ca Dans le cadre de la collection : “ Les classiques des sciences sociales ” fondée et dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web : http://classiques.uqac.ca/ Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile Boulet de l’Université du Québec à Chicoutimi Site web : http://bibliotheque.uqac

personnages qu’Octave est venu voir, sa mère et sa sœur. Il évoque d’abord Jeanne, la petite sœur (l. 18 à 23), puis il donne des informations sur le passé de la mère, Mme Sarrasin : ce retour en arrière commence à la ligne 24 avec « Madame Sarrasin, mariée très jeune » et s’achève à la fin du texte, ligne 28 : « toutes ses espérances ». (1 pt) b. Ce retour en arrière a pour principale utilité de nous faire comprendre pourquoi Mme Sarrasin éprouve pour ses enfants une affection particulièrement forte

inspiré par la légenda du voyage de Charlemagne à Jérusalem. C'est un fabliau. « La pointe d'immoralité Gaston Pâris_, a et d'impiété de ce conte^ dit tenté les écrivains du XVIII® siècle. La Chaussée nier en ont fait et Marie-Joseph Chéchacun une imitation celle de ; ce dernierj, bien qu'elle ne rende pas le ton naïf et l'ironie esprit et modérée de l'original, est écrite avec peut passer pour un de ses meilleurs contes. » Ces divers poèmes occidentaux