Rotation synchrone

..................................................................... 4 1°) Nécessité d'une nouvelle hiérarchie ................................................................................. 4 2°) Définition des éléments de la hiérarchie synchrone......................................................... 6 3°) Insertion d’affluents dans un STM1................................................................................. 8 a) Insertion d’affluent 140Mbit/s dans un STM1................

Translation : y, z Rotation : x, y, z Schéma Schématisation spatiale et Schématisation plane Mouvements élémentaires Rot/transl Torseur Cinématique Torseur d’action mécanique transmissible  2/1 Forme conservée en P... R x  R y R z  0  Ty  Tz    21    21   21 0   Vy21  Vz21 C  RX |0 S |0 T 12 U | V 0| W 0 0  p  c, x b g C Droite Linéaire rectiligne selon (C,Y) de normale (C,X) Translation : y, z Rotation : x, y R x 

Résumé TORSEUR CINEMATIQUE DES LIAISONS USUELLES Page 1/2 Le tableau ci-dessous respecte les notations usuelles et à utiliser par défaut si aucune notation n'est imposée par le sujet. Nom complet de la liaison. Liaison encastrement de centre O. Schéma cinématique spatial. 2 z 1 x y O Liaison pivot de centre O d'axe y. Torseur cinématique associé à la liaison. Lieu de l'espace, ou la forme canonique est conservée. 0 0   V A2 / 1 VO2 / 1 2 / 1 OA 0      0  2 /1     0

Foucault ». BUT DE TP: 1_ Examiner la construction d'une machine à courant continu démonté et mesurer la résistance de chacun des enroulement. 2_ Apprendre à raccorder une génératrice à excitation séparée. 3_ Apprendre à raccorder un moteur synchrone triphasé (machine d'entraînement). INITIALISATION ET THEORIE: 1_ On a examiné une machine à courant continu démonté en attirant l'attention sur la construction des élément principale de la machine comme l'induit (rotor) et l'inducteur (stator)

| |2.2.1 Les moteurs universels | |2.2.2 Les machines synchrones | |2.2.2.1 Les moteurs sans balais | |2.2.3 Les machines

alternatif 1) Les moteurs universels 2) Les moteurs synchrones 3) Les moteurs asynchrones 4) Les moteurs autosynchrones D) Les moteurs pas à pas IIII Les Moteurs linéaires I Historique En 1821, après la découverte du phénomène du lien entre électricité et magnétisme : l'électromagnétisme, par le chimiste danois Ørsted, le physicien anglais Michael Faraday construit deux appareils pour produire ce qu'il appela une « rotation électromagnétique » : (mouvement circulaire continu

. . 70 3.41 Exercice 21 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70 ` TABLE DES MATIERES 7 3.42 Corrig´e . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71 4 Les Machines synchrones Triphas´ es 73 4.1 Exercice 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73 4.2 Corrig´e . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73 4.3 Exercice 2 . . . . . . .

service, les normes La méthode d'accès : ses optimisations La couche Physique : les équipement, les supports, le placement Le codage : NRZI et 4B/5B La trame FDDI : les champs, les trames, les états, les temporisateurs Les services de transmission : synchrone, asynchrone, à priorité, restreint La gestion de FDDI : les processus de contrôle, d'initialisation Analyse des performances FDDI-2 Conclusion ____ Bernard Cousin- © IFSIC -Université Rennes I 2 s FDDI s 1. Présentation Topologie :

turbine……………………………………………………………………………………………. *Expression de Cp…………………………………………………………………………………………………………….. *Couple éolien…………………………………………………………………………………………………………………. c. Conversion électromécanique…………………………………………………………………………………………… A.I.3 Modèle de la génératrice synchrone à aimant permanent…………………………………………………. A.I.3 .1.Constitution…………………………………………………………………………………………………………………….. a - Inducteur …………………………………………………………………………………………………………………………. b - Induit ……………………………………………………………………………………………………………………………….. A.I.3.2 - MODELE

Ie ) Cette méthode particulièrement simple de variation de vitesse rencontre cependant des limites dans la plage de vitesses possibles. En effet, selon la charge entraînée, le couple nécessaire croît comme le carré ou le cube de la vitesse de rotation. Donc le courant absorbé par l’induit va croître d’autant plus vite que le flux inducteur a été diminué pour augmenter la vitesse et atteindre d’autant plus vite sa limite haute que le flux inducteur aura été fortement diminué : C= k ⋅ Φ (