Roturier

Les ordres La sciété d'Ancien Régime est une société hiérarchisée et différenciée. Cette hiérarchie vient de la distinction fonctionnelle du MA : ceux qui prient (les clercs 1%), ceux qui font la guerre (nobles 1%) et ceux qui travaillent (les roturiers 98%). a.Un ordre privilégié : la noblesse La question qui intéresse la noblesse est la conservation de ses privilèges et pour ceux qui n'en font pas partie est de savoir comment y accéder. Cela s'acquiert par la naissance ou l'anoblissement

cette volonté est inaccessible, certaines de ces notions peuvent s’écarter à court termes pour ensuite les retrouver des années plus tard, notamment lorsque c’est le cas de citoyens opprimé. A) L e contexte de 1788 Les roturiers, autrement appelé les citoyens du tiers état au Moyen-age constitue la plus grande partie des citoyens de France. Ils sont aussi de loin les plus nombreux puisqu’ils se composent de tout ce qui n’appartient pas à la noblesse ou au clergé, ce qui

vassalique, combattant à cheval et ceci dans le cadre de l'aide militaire. Le seigneur peut aussi imposer aux paysans de participer à la défense du territoire. Parfois, les paysans sont obligés de venir aider les vassaux. Encore dans ce cas, les roturiers ne sont concernés que par une guerre défensive, on leur demande rarement d'aller attaquer les voisins. Ces paysans ne sont pas astreint à un service militaire régulier. Il forme la piétaille car ils se battent à pied. Le plus souvent, on leur demande

compliqués et plus nombreux. Le besoin des lois civiles se fait vivement ressentir ». ▪ Le nivellement économique via le commerce : P14. « les rois se ruinent dans les grandes entreprises ; les nobles s’épuisent dans les guerres privées ; les roturiers s’enrichissent dans le commerce (…) les financiers deviennent un pouvoir politique (….) » TinainfTinainfTinainfTinainfTinainfTinainfTinainfTinainfTinainf2 P15. « A partir de ce moment, tous les procédés qui se découvrent, tous les besoins qui

précisent   les   caractères  de  la  liberté  individuelle  comme  la  présomption  d’innocence.       Les   articles   10   et   11,   qui   ont   été   écrit   par   des   roturiers   et   des   nobles,   sont   relatifs   à   la   liberté   d'opinion,   de   presse   et   de   conscience.   Leurs   auteurs   ont   été   tués   par   la   suite   par   le

l'invasion de la Gaule romaine par les Francs d'origine germanique. Boulainvilliers, lui aussi, à la fin du XVIIème siècle, raconta l’histoire de France comme résultant de la cohabitation de deux groupes hostiles : les descendants de Gallo-Romains (les roturiers) et ceux des Francs (les nobles). → Ce que Foucault cherche à montrer, en opposant l’« histoire normalisée » et ce qu’il nomme l’« historicisme politique », c’est le déploiement d’un champ conflictuel qui oppose, d’une part, une histoire codée

du renversement utopique des conditions sociales, car A aime E sincèrement et ne la traite pas en esclave malgré l'inversion. Ce texte traduit aussi une timidité de l'auteur qui n'a pas voulu heurter la bienséance de l'époque en faisant un couple roturier/aristocrate.

des privilégiés et même de son entourage. Deux années de résistance passent avant qu’il se résigne à renvoyer Turgot en 1776. * Le ministère Necker (1774-1781) Engager Necker à la place de Turgot est une triple révolution car Necker est un roturier protestant genevois. Il entreprend l’affranchissement des derniers cerfs dans le domaine royal (réformes des impôts et des droits de l’Homme + abolition de la torture). En 1781, encore une vaste opposition et Necker démissionne la même année.

unités + vraisemblance et respect des bienséances. Niveau de langue soutenu, voire précieux. Unité de ton : une pièce tragique ne peut pas être burlesque. Son ton doit être essentiellement dramatique, pathétique. • Personnages hors du commun. Pas de roturiers, de bourgeois mais des dieux, demi-dieux, empereurs (Cf. Andromaque, Bérénice, Titus…). • Des personnages qui se retrouvent dans des conditions terribles : ex => Corneille, Le Cid : Rodrigue doit choisir entre l’honneur de la famille et l’amour…

de l’aristocratie provinciale qui craint par-dessus tout une mésalliance. Lorsque, lasse de cette vie, elle décide de fuir cette atmosphère oppressante pour Paris, son orgueil d’aristocrate la poussera, une fois là-bas, à abandonner le malheureux roturier Lucien.