Roumélie orientale

plus méditerranéen. La Roumanie est entourée de la Bulgarie au sud, la Serbie à l'ouest, la Hongrie au nord-ouest, l'Ukraine au nord-est et la Moldavie à l'est. Economie [modifier] La Roumanie est le pays le moins urbanisé d'Europe centrale et orientale. Après avoir subi une nationalisation de type soviétique, le pays bénéficie d'un programme de stabilisation économique lancé par le FMI en 1997. Si la situation économique s'est améliorée, le malaise social et politique en est exacerbé : les

La
deuxième
mutation
politico‐culturelle
des
Balkans
hellénisés
est
représentée
par
leur
 incorporation
dans
l’Empire
romain.
Au
cours
des
3°
et
2°
siècles
avant
JC,
devant
les
 querelles
des
successeurs
d’Alexandre,
les
troupes
romaines
prennent
pied
sur
la
côte
 orientale
de
l’Adriatique.
C’est
la
deuxièmes
fois
que
la
péninsule
balkanique
sera
unifiée
 sous
un
commandement
unique,
les
romains
dominant
l’ensemble
des
territoires
 pendant
quatre
siècles.
On
considérait
à
l’époque
les
provinces
de
Crête,
d’Achaïe

deux alliances. Il rapproche d’abord l’Allemagne de la Turquie, notamment économiquement. Puis il essaie de se rapprocher de la GB qui refuse. c. Les aménagements du système bismarckien (1887-1890) Nationalités dans les Balkans. Les princes de Roumélie du nord et du sud ( ??) souhaitent se réunir pour former une seule Bulgarie sous la protection de Vienne. Cela marque la fin du 2e traité des Trois empereurs en 1887 parce que le tsar refuse de rester allié avec l’Autriche. Bismarck renforce alors

imparfait. La crise balkanique (1875-1878) Depuis le XIXe siècle, l’Empire ottoman connaît un déclin. En 1871, seule la GB reste profondément attachée à l’intégrité de l’Empire, seul moyen pour elle de s’opposer à une hégémonie russe en Méditerranée orientale et de contrôler la route des Indes. La France et l’Allemagne sont indifférentes, tandis que la Russie et l’AH souhaitent tirer profit de la faiblesse de l’Empire turc, pour établir leur influence dans les Balkans. Les peuples chrétiens soumis au

La crise balkanique (1875-1878) Depuis le XIXe siècle, l’Empire ottoman connaît un déclin. En 1871, seule la GB reste profondément attachée à l’intégrité de l’Empire, seul moyen pour elle de s’opposer à une hégémonie russe en Méditerranée orientale et de contrôler la route des Indes. La France et l’Allemagne sont indifférentes, tandis que la Russie et l’AH souhaitent tirer profit de la faiblesse de l’Empire turc, pour établir leur influence dans les Balkans. Les peuples chrétiens soumis

• 1324-1360 : Sous le règne d’Orhan (1324 – 1360), fils d’Osman, Les Ottomans prennent la rive sud de la mer de Marmara, leur donnant accès aux Dardanelles. Cet accès leur permet d’atteindre l’Europe et de prendre le contrôle du sud de la Thrace Orientale. • 1361 : Murad 1er (1360 – 1389) prend Andrinople (Nouvelle capitale du Sultanat), et conquêt du sud de la Bulgarie. • 1363 : Les Byzantins deviennent les vassaux des Ottomans, même si Constantinople n’est toujours pas annexée.

publique internationale, pour la première fois, sera d’un tel poids, que les gouvernements sont obligés d’agir. Pour la première fois aussi les « intellectuels » (therme anachronique) se mobilisent : Byron y meurt les armes à la main, Hugo écrit les Orientales, Lamartine, Chateaubriand se mobilisent. Nous venons de la Grèce, c’est la culture classique, Echille, Sophocle … A Londres, à Paris, des comités de soutient apparaissent pour voler au secours de la Grèce. Quand en 1822 les Turcs envoient leur armée

se faisait attendre, Alice avait beau s’appliquer à sa table de travail, il lui était impossible de coucher sur le papier la moindre formule. Elle trempait une bandelette dans un flacon d’essence de rose, et ses pensées filaient vers des jardins orientaux qu’elle imaginait magnifiques. Soudain, elle entendit la mélodie d’un piano. Elle aurait juré qu’elle provenait de l’appartement de son voisin. Elle voulut en avoir le cœur net et traversa la pièce, mais, dès qu’elle ouvrit sa porte, la mélodie s’arrêta

États italiens à la veille des guerres d’Italie. I. Le royaume de Naples et la question napolitaine. — II. L’État pontifical. — III. Les républiques et les duchés du nord. — Bibliographie. Chapitre VI. — La monarchie polonaise et le monde oriental. I. Casimir IV Jagellon et la conquête de la basse Vistule. — II. La mainmise polonaise sur la Bohême. — III. La mainmise polonaise sur la Hongrie. — IV. L’orientation nouvelle de l’État polonais à la fin du XVe siècle et la Scandinavie. — V

passer le vent ; un bruit violent et terrible se fit entendre, montant des profondeurs de l’Océan ; sa surface se rida et se couvrit d’écume, comme si une herse de bronze l’eût labourée ; puis une espèce de brouillard transparent accourut de l’horizon oriental. C’était enfin la tempête. – Courage, enfants ! cria le capitaine ; le vent nous vient de la terre, et nous avons de l’espace à franchir avant de trouver un rocher… La barre au vent !… Nous marcherons devant la tempête jusqu’à ce qu’elle