Rousseau De La Religion Naturelle

Œuvre : Emile Livre IV (Jean-Jacques Rousseau) ANALYSE CRITIQUE D’UN EXTRAIT DE CETTE OEUVRE Dans ce texte extrait d’Emile et de l’éducation, Rousseau aborde le sujet de laconscience morale. Il cherche à répondre aux questions suivantes : quelle est la nature et l’origine de la conscience morale ? Est-elle innée ? Comment comprendre que « cette voix intérieure » soit sisouvent brouillée en chacun de nous ? Pour Rousseau, la conscience fait partie de la nature humaine mais, de par

Profession de foi du vicaire savoyard En janvier 1758, Rousseau adresse à Sophie d'Houdetot les Lettres morales, dans lesquelles il entreprend de dépasser les opinions contradictoires des philosophes pour établir ses principes sur une certitude inébranlable. Ces éléments sont repris et mis en ordre dans la Profession de foi du Vicaire savoyard, que Rousseau inclut au livre ÌV de l'Emile. L'inspiration cartésienne du projet, attestée dès le début du texte, ne doit pas masquer l'orientation générale

éclairée si nous souhaitons être heureux. La liberté et la loi Rousseau et Kant ont cherché à dépasser ces « apories » (difficultés insurmontables). Etre libre, pour Rousseau, c’est obéir à la loi que l’on se donne à soi-même. Un peuple est libre dans un système républicain puisque, en obéissant à la loi, le citoyen suit la règle qu’il a lui-même promulguée : « Soumis aux lois, le peuple en doit être l’auteur » écrit Rousseau dans Du contrat social . Etre libre, c’est pouvoir dire « non » (protester

JEAN JACQUES ROUSSEAU 1- Biographie de ROUSSEAU 2- Bibliographie de ROUSSEAU II- ETUDE THEMATIQUE DU LIVRE III CHAPITRE VI A IX 1- Les principaux themes 2- Rapport notionnel des themes 3- Difference notionnelle des themes III- ACTUALISATION DE LA THEMATIQUE ET RESUME 1- Résumé du livre III du chapitre VI à IX 2- Résumé général CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE INTRODUCTION Le Contrat social a été écrit à la même période que L’Emile. Rousseau après avoir

l’homme. ← Au niveau de Dieu Au cours des siècles, l’homme est livré à lui-même et se cherche des valeurs dominantes ; la raison, la liberté, le besoin de s’écarter des idées reçues, …, bref toutes sortes de valeurs sauf Dieu. Dieu et la religion deviennent des phénomènes privés. On passe du théisme (= quand la relation entre l’homme et Dieu est conçue comme une personne) au déisme (= le fait de considérer Dieu comme un principe universel avec lequel il n’y a plus de relation). ← Au niveau

principe des droits naturels en société, nous nous situons au XVIIe siècle. Ë Le « mouvement des Lumières » est un processus historique très marqué en France qui se nourrit des fruits de la raison, en croissance aux siècles précédents en France et hors de France ÿ Quels sont les apports des Lumières ? o Les philosophes portent un regard optimiste sur les sociétés humaines : tous croient au progrès. o Ils exaltent l’individu, redécouvrent l’enfant (importance de Rousseau, Emile, 1762), et affirment

gouvernement, ils peuvent être tirés au sort (ce procédé convient à la démocratie, où une charge ne peut être imposée à un particulier) ou choisis (système plus approprié à l’aristocratie). Pour décrire un bon exemple de bonne gestion de la cité, Rousseau consacre un long chapitre (IV) au fonctionnement de la cité romaine. Ce n’est pas une simple digression : la république romaine est à ses yeux le modèle d’un ordre social reposant sur la loi. Après avoir expliqué la distribution des tribus romaines

du doute et de la méthode - Fondation du rationalisme moderne - Rationalisme : doctrine qui soutient que toutes connaissances certaines proviennent de la raison - Fondation du subjectivisme - La poursuite de l’humanisme 5. Jean-Jacques Rousseau (1712 – 1778 (siècle des lumières)) 5.1 Introduction historique - Symbole du siècle des lumières : Encyclopédie - Définition empirisme : toutes connaissances proviennent d’expérience sensibles 5.2 Biographie - Spécialisation en musique

Cela génère une angoisse pour l’homme. Pour se libérer de cette dernière, il va tenter de trouver le salut. - En quoi les questions de la finitude humaine et du salut trouvent réponse différente dans la philosophie que dans les religions ? Pour les religions, on arrive à vaincre cette peur de la mort et donc de la finitude humaine par la foi et par la grâce de Dieu. Si on a foi en Dieu, alors il nous sauvera. C’est ainsi que certains trouvent le salut. Pour les philosophes, l’homme est

grands philosophes se questionnent à propos de la religion, de la vie, de leur existence, de la société ou même de la politique. En effet, toutes ses questions traitent sur un seul sujet, l’être humain, l’élément principal de la philosophie. Pour Rousseau,l'homme à l’état nature est bon et c'est la société qui le rend mauvais. Il prétend que l'homme a de l'amour de soi et l'amour propre. Pour Rousseau l’amour de soi est une passion primitive, inné, naturelle. Cet amour est toujours bon, c'est une émotion