Rousseau De La Religion Naturelle

cellule familiale qui est naturel, dans les tribus et pour autant toutes sociétés soumise à un pouvoir n'est pas un État. Plusieurs conceptions s'affrontent quand à l'origine de l’État et chacune de ses théories peuvent infliger des critiques quand à leur justesse. On peut essentiellement opposer 3 approches différentes même si elle réunis chacune une multiplication d'auteurs, certains voit dans l’État un produit de la volonté des hommes, d'autres y voit une évolution naturelle de la soc et certains

sociétés. Cela signifie que  la frontière entre le naturel et le culturel n’est pas établie et que le propre de l’homme, sa nature, est de ne pas en avoir. Plan possible : L’opposition nature et culture Les définitions La culture c’est tout ce qui appartient à un héritage, tout ce qui s’acquiert par l’intermédiaire d’un apprentissage, d’une éducation. La transmission se fait soit au sein d’un groupe par l’intermédiaire du langage. Ex. L’art, la religion, la cuisine, les techniques, le droit, les règles

avec le mode extérieur ou il commence à apprendre les différents comportements de l’extérieur, puis la religion joue aussi un rôle très important sur cette formation puisqu’elle impose différentes comportements et interdictions. D’une autre part, nous pouvons voir dans l’ouvrage d’Aristote Le civisme antique, dans l’extrait de l’éthique et l’apolitique, que la vie en société est un fait naturel à l’homme. De même le but de la vie en société, qui se trouve sous l’autorité du gouvernement, est d’assurer

mais tandis que les sociétés animales sont naturelles et gouvernées par l'instinct, les sociétés humaines, organisées selon des institutions mobiles, véhiculent une culture. • peut : Est-il possible, est-il légitime. • religion : Étymologie discutée. Cicéron fait dériver le mot du latin relegere qui s'oppose à neglegere comme le soin et le respect s'opposent à la négligence et à l'indifférence. D'autres font dériver le mot de religare: La religion est avant tout le lien qui rattache l'homme

plastiques et musique a) Le style Rococo b) Le Néoclassicisme -Bibliographie - Documents utilisés II/Les combats des Lumières a) Le combat religieux Les philosophes des Lumières étaient contre les superstitions liées à la religion. En effet, ils pensaient que celle-ci était la signification de l’ignorance et le coupable de l’intolérance de l’Homme. La plupart des philosophes des Lumières avaient des doutes sur l’existence d’un Dieu. C’est le cas de Denis Diderot qui devient

les faveurs des savants et des intellectuels ; Montesquieu procède à des expériences de biologie, Voltaire expose en vers le système de Newton. Des sciences à la littérature, c’est un échange ininterrompu et souvent fécond. Dans son histoire naturelle, Buffon a parfois des accents épiques tandis que Diderot, plus aventureux que le savant mais aussi plus hardi, conçoit dans une sorte de vision lyrique l’hypothèse évolutionniste. à la fin du siècle, Chénier rêvera dans d’une poésie scientifique

c’est à dire que c’est la Nature (ou Dieu) qui régit les rapports entre les animaux et au delà des animaux, les Hommes. - Finalement, les religions ont une place très importante dans la vie des Hommes et ont fondé beaucoup de rapports sociaux en posant les bases du juste et de l’injuste. - Exemple : ce qui est considéré comme « péché » dans les religions + accès au Paradis ou à l’Enfer.

sociabilité 2. L’analyse de la société politique C. Les théories contractualistes au fondement des sociétés politiques 1. La première théorie contractualiste : HOBBES 2. La société civile et la naissance du libéralisme : LOCKE 3. ROUSSEAU le second état de nature et la décadence de la société II. L’Etat comme instance nécessaire à la société A. La théorie hégélienne de l’Etat, une critique de la société civile HEGEL B. La théorie marxiste de l’Etat, de la nécessité transitoire

-Despotisme= gouvernement anti démocratique -Le rejet de la religion, de la métaphysique, du dogmatisme, des préjugés et donc une analyse rationnelle fondée sur la raison. -La métaphysique : c’est une discipline qui prétend analyser les choses d’une manière rationnelle scientifique. Ce n’est pas le cas en réalité cette discipline met ensemble certaines connaissances scientifiques de l’époque (vraies ou fausses) et des dogmes religieux c’est ce qui donne d’ailleurs naissance à la scolastique

constitue t il pas une utopie ? Comment pourrait on parler de principes moraux universels dans un monde où, d'un état à un autre, d'une religion à l'autre, voire même d'une famille à l'autre, il existe d'immenses disparités au sujet de la notion de morale ? Dans certains états laïcs on considère même que la morale est forcément connotée comme émanant de la religion, qu'elle est souvent régressive et même inerte. La loi est pour sa part considérée comme une règle générale et évolutive qui est, par essence