Rousseur

Camille : Camille est le fils de Mme Raquin et le mari et le cousin de Thérèse. Il travaille aux chemins de fer d’Orléans. « Il était petit, chétif, d’allure languissante, les cheveux d’un blond fade, la barbe rare, le visage couvert de tâches de rousseurs, il ressemblait à un enfant malade et gâté. » Voilà comment Emile Zola le décrivait dans son incipit. A travers la description physique de ce jeune garçon on peut conclure qu’il ne semble pas très mure et assez immature. L’auteur utilise beaucoup

ses parents : elle a dit : « J’espère que vous les aimez et qu’eux vous aiment …. Qu’ils vous aiment autant que je vous aime ». Si ce n’est pas là l’équivalent d’un oui qu’est-ce ? Adorable Susan aux doux cheveux sombres, aux tendres taches de rousseurs a peine marquées, aux grands yeux noirs si doux …JUSTE Nous -- On en était enfin à ce milieu d’après-midi ou Susan nous avait dit de venir. Nous nous levâmes de son notre banc et un peu engourdis par sa sieste, nous nous étirâmes voluptueusement

veloutée de pêche, un nez drôle, un bec rose, des quinquets luisants auxquels les hommes avaient envie d’allumer leur pipe. Son tas de cheveux blonds, couleur d’avoine fraîche, semblait lui avoir jeté de la poudre d’or sur les tempes, des taches de rousseur, qui lui mettaient là une couronne de soleil. Ah ! une jolie pépée, comme disaient les Lorilleux, une morveuse qu’on aurait encore dû moucher et dont les grosses épaules avaient les rondeurs pleines, l’odeur mûre d’une femme faite. Maintenant

avait été un amour en coup de foudre, pratiquement, raison pour laquelle il ne connaissait pas encore les parents de la jeune fille. Adorable Susan aux doux cheveux sombres, à l'adorable nez tout petit, presque de carlin, aux tendres taches de rousseur à peine marquées, et aux grands yeux noirs si doux... C'était la chose la plus merveilleuse qui lui fût jamais arrivée, la chose la plus merveilleuse qui pût jamais arriver à n'importe qui. On en était enfin à ce «milieu d'après-midi» où Susan

polyester et les renforce avec de la fibre de verre, ce qui permet des reproductions détaillées. La sculpture est peinte avec de l'acryllique puis à l'huile, de manière très réaliste et avec tous les détails possibles : couleur de la peau, taches de rousseur, pilosité, allant jusqu'au veines et aux rides. Elle est ornée de véritables vêtements, de vrais cheveux, d'œils de verre et de toute sorte d'accessoires. La couleur de ses vêtements attire le regard sur elle. Contexte de l'œuvre : Aux États-Unis

camoufle les rougeurs et les soignes. orangée : cernes bleu , casser couleur noir-gris chez peau noir. violette: teints jaunatre , peaux aciatique, augmente le blanc. péche-abricot : sur tout le visage avoir un teint chaud déconseiller sur : taches rousseur , cernes brune car elle accentue. rosée: peaux ternes , fatiguer, malade. blanc-nacré: pour tache brunatre,rousseuret déconseiller:peaux ridée. fond de teint fluide:hydrater la peau , ne camoufle pas le grain de peau ,garde le naturel, fluide->élasticité

l'absence d'amour paternel. Elle passera son enfance aux côtés de sa tante, âgée d'une soixantaine d'années, et de son cousin, Camille, petit chétif, d'allure languissante, les cheveux d'un blond fade, la barbe rare, le visage couvert de taches de rousseur. Tout deux, finiront par se marier, action, que Thérèse, avoue être un remerciement, auprès de sa mère adoptive. Face aux envies de carrière de Camille, Madame Raquin et Thérèse trouvent une petite boutique noire et mal aérée, et un appartement

probablement créé par Rimbaud « azurs verts » (v.23) « rousseurs amères de l’amour » (v.28) * Latinismes et néologismes témoignent de la liberté de la langue rimbaldienne : « infusés », « bleuités », « flottaison », « lactescent » (latinisme, devenu « laiteux ») * Adjectif de couleur qui métamorphose le réel : « azurs verts » (v.23) * Technique des correspondances qui ici donne goût à la couleur : « dévorant les azurs verts » (v.23) « rousseurs amères » (v.28). Rimbaud joue avec tous les codes

rencontrai Laïla. Laïla est belle, mais elle ne le sait pas. Elle porte les cheveux coupés courts, d’une couleur ressemblant à la mienne, oscillant entre le brun et le pourpre. Son petit nez se retrousse quand elle rit, elle a des taches de rousseurs et des petits yeux étirés, comme ceux d’un chat. Laïla ne connait pas l’amour. Elle agit mécaniquement, comme un robot. Nous avons été créés pour ça. Laïla n’a pas d’émotions. Ça ne l’intéresse pas. Quelque chose chez elle, je ne saurais expliquer

était à peine huit heures du matin. Rose et Ric avaient pris l’habitude de prendre le matin un café avant de partir travailler. Ric était ni trop grand, ni trop petit ; avec des cheveux remarquablement bien fait, des yeux verts avec des taches de rousseur sur le visage. Il était pompier à Paris. Quant à Rose, elle avait des cheveux longs brins et lisses. Elle suivait des Etudes de droit. Rose prit comme d’habitude un cappuccino et Ric un café bien serré. Ils y avaient un problème, ils ne disaient